Le Personnage De Gervaise

des sentiments, des émotions sont exprimés par l’auteur et ou les personnages. Chaque registre utilise des procédés qui lui sont propres. 1. L’épique : utilisé quand le texte rend compte d’un combat, d’une lutte. textes évoquant l’héroïsme, la chevalerie, les conquêtes, les grands voyages au péril de la vie… 2. Le lyrique : utilisé pour épancher les sentiments et les émotions à la première personne. Ton intime. Le personnage ou l’auteur utilise la nature, l’idée de Dieu ou de puissances surnaturelles

continuellement présent à cette époque. L’alcool serait à la fois la cause et la conséquence de la pauvreté. L’alcool va permettre aux personnages d’oublier tous les désagréments de la vie, tous leurs soucis mais les entraînent aussi de plus en plus dans la pauvreté ; ils ont de moins en moins envie d’aller travailler. Par exemple, dans le livre, Coupeau boit tout l’argent que Gervaise gagne. C’est un cercle vicieux qui ne s’arrête jamais. L’alcool dans le quartier de la Goutte d’Or est vu comme un échappatoire

par ses lectures romanesques et romantiques, se sent à l’étroit dans sa vie. Elle n’aime plus son mari Charles. B) Les éléments essentiels pour l’analyse du texte Il s’agit d’un PORTRAIT, celui de Charles Bovary. Le portrait moral ou physique du personnage est très important dans le roman, car il oriente notre vision et nous fournit des informations . C’est aussi un topos du roman romantique (comparer avec le portrait d’Horace de Beuzeval par Dumas à la fin du polycopié) que Flaubert va s’amuser à

car il utilise différentes sources et il se renseigne sur le sujet de son livre. Ce livre nous permet de savoir comment vivaient les gens du monde ouvrier à cette époque, il est donc intéressant de le lire. (5) Le temps historique : L’histoire de Gervaise se passe sous le Second Empire donc entre 1850 (6) et 1870. Zola a vécu à l’époque qu’il analyse dans le roman. Cette époque est aussi celle de la révolution industrielle. Les temps internes : Le temps de la fiction : Zola ne fait pas référence

sieste. 2. Le personnage de Frédéric Moreau est heureux puisqu’il est épris de Mme Arnoux. Les descriptions de Paris reflètent son état âme. Il est euphorique à l’idée de revoir Mme Arnoux et tout autour de lui, personnes, lieux… semblent refléter cette joie. La vision de Paris est idéalisée car Frédéric est amoureux. La description des quais, les « boutiques qui défilaient » (l.15) ne sont-elles pas une métaphore des divagations de la conscience du personnage ? Quant à Gervaise, elle a peur (l

Emile Zola, L'Assommoir, chapitre X, 1877 Au milieu de cette existence enragée par la misère, Gervaise souffrait encore des faims qu'elle entendait râler autour d'elle. Ce coin de la maison était le coin des pouilleux, où trois ou quatre ménages semblaient s'être donné le mot pour ne pas avoir du pain tous les jours. Les portes avaient beau s'ouvrir, elles ne lâchaient guère souvent des odeurs de cuisine. Le long du corridor, il y avait un silence de crevaison, et les murs sonnaient creux, comme

morceaux de l’oie permet de passer d’un invité à un autre : - pour Gervaise, les gros morceaux de blanc (ligne 3) font symboliquement référence à sa boutique, une blanchisserie. De plus, sa gourmandise révèle l’étendue de sa peur de la famine, laissant déjà augurer sa déchéance finale. - pour Goujet, amoureux chaste, il imite Gervaise et partage le repas avec elle comme substitut d’un amour impossible (s’emplissait trop lui-même, à

aime et ce n'est que le début de ses malheurs.Quand elle rencontre les Thénardiers et qu'elle doit leur verser de l'argent,ce couple devient l'élément déclencheur,le déclencheur sa misére.En vendant ses cheveux et ses dents,on comprend alors que le personnage est arrivé à un point de misère extrême: la souffrance et le malheur son bien présents.Lorsqu'elle se prostitue,on tombe tout de suite dans la fatalité,Victor Hugo présente la "chute dans la prostitution" de Fantine comme une fatalité.Elle aura

chapitres, divisés en deux ensembles symétriques, de part et d'autre d'un sommet (le chapitre vii), le récit raconte l'ascension, puis la chute de Gervaise Macquart, jeune ouvrière montée de Plassans, en Provence, à Paris en compagnie de son amant, Auguste Lantier. Le roman s'ouvre sur un départ : après l'avoir abondamment trompée, Lantier se décide à quitter Gervaise. Restée seule avec ses deux enfants, Claude et Étienne, la jeune femme finit par céder aux avances de Coupeau, un ouvrier zingueur, avec qui

la lecture de Frankenstein, roman de Mary Shelley, personne ne peut croire à la réalité du monstre issu du génie du docteur, cependant ce personnage a fasciné dès 1818 un très large public, attiré non seulement par sa force et sa laideur bestiales, mais aussi par sa sensibilité et son intelligence humaines. En 1897, c’est le comte Dracula, autre personnage invraisemblable, créé par l’écrivain irlandais, Bram Stoker, qui entre dans le roman et va incarner définitivement le vampire. Comme le roman