Le Personnage De Gervaise

en méditant sur sa famille et sa tare, alors que passe un train « hurlant », symbole de la pulsion de mort qui l'habite...  Sommaire du commentaire composé 1. Un personnage torturé 1. Les questionnements de Jacques 2. Le naturalisme dans le récit 2. Le déterminisme d'après Zola 1. La « fêlure héréditaire » 2. L'aspect tragique du personnage 3. Conclusion 4. 5. Comme dans les autres volumes des Rougon-Macquart, Zola s’attache aux conséquences de l’hérédité qui forge les caractères et les tempéraments

du peuple ; comme quoi, à Paris, la soûlerie, la débandade de la famille, les coups, l’acceptation de toutes les hontes et de toutes les misères, vient des conditions mêmes de l’existence ouvrière, des travaux durs, des laisser-aller… Je prends Gervaise à vingt-deux ans, en 1850, et je la conduis jusqu’en 1869, à quarante et un ans. Je la fais passer par toutes les crises et toutes les hontes inimaginables… Je la montre à quarante et un ans épuisée de travail et de misère. » Cette étude physiologique

Constitution d'un nouveau couple aprés la rupture vécue au chapitre 1. Coupeau, propre et tendre, Gervaise, jolie et fine, (cf.premières lignes du chapitre ) .Ils viennent d'exprimer leur dégout pour l'alcool et s'apprêtent à quitter les lieux. LECTURE puis INTRODUCTION : Le texte s'organise autour de "cependant" puis de "alors". L'élément central est bien sûr l'alambic perçu différemment en fonction des personnages. D'une approche d'abord technique (naturaliste) de l'appareil on passe à l'expression des

Timothée Rosset Initiation au commentaire composé Dans l’Assommoir, Goujet est un forgeron et il souhaite impressionner Gervaise en faisant un concours avec un autre forgeron, modeler une tête d’un boulon à coups de marteau. Gervaise est abandonnée car elle a quitté son mari qui est alcoolique et qui la battait tous les soirs. Elle est maintenant secrètement amoureuse du forgeron, ce qui est réciproque. Dans l’extrait de l’Assommoir de Zola, nous observons que la vision du forgeron est positive

faire la connaissance de quatres personnages, Gil Blas de Santillane qui se présente lui-même grâce au point de vue interne d’un narrateur à la 1ère personne ; Gervaise qui est dévoilée par le point de vue omniscient d’un narrateur extérieur au récit ; dans le texte de Camus, il s’agit d’un narrateur personnage sans nom qui engage le lecteur dans un récit linéaire a la première personne du présent ; et, Lol V. Stein présentée par un narrateur personnage racontant à la 1ère personne. De plus

écrire le Ventre de Paris. Le naturalisme veut d’abord être un savant à l’instar d’un zoologiste qui se trouverait forcer d’étudier la plante sur laquelle vivent les insectes qu’il étudie. Il étudie longuement les milieux dans lequel vivent les personnages. Depuis Balzac, on ne peut plus ignorer que « l’homme ne peut être séparé de son milieu, qu’il est complété par son vêtement, par sa maison, par sa ville, par sa province. » La description naturaliste ne tend pas à rendre magnifique un lieu. Elle

provoque un destin tragique pour ces personnages. Nous allons nous intéresser au passage où Gervaise découvre et contemple l’Alambic du père Colombe qui fabrique l’absinthe. Nous nous demanderons en quoi cet extrait nous montre que l’alambic et l’absinthe jouera un rôle important dans le destin tragique de cette famille. Dans un premier temps, nous nous intéresserons sur l’instrument dévastateur, l’alambic. Puis nous nous pencherons sur l’intuition prémonitoire de Gervaise. Nous remarquons dès le début

désespoir de Gervaise et de Coupeau est mise en valeur. A. Souffrance qui inspire la pitiez -Champs lexical du froid : « hivers, pluie, froid » Permet d'insister sur la situation de misere de Gervaise et de Coupeau. -Concession péjorative : « S'ils mangeaient du pain au beau temps, les fringales arrivaient avec la pluie et le froid » Leurs situation est miséreuse l'été mais l'hiver et encore pire. Le froid et la faim s'accumulent pour détruire moralement et physiquement les deux personnages. -Pléonasme;

quartier de La Goutte d'Or à Paris. L'utilisation constante du discours indirect libre par le narrateur laisse croire à son absence : les propos des personnages semblent continuer au-delà de leurs échanges. Une voix anonyme qui pourrait être celle du peuple semble être la vraie narratrice du roman. L'attitude du narrateur à l'égard de ses personnages se garde de toute appréciation : nulle connivence, aucune trace d'ironie et peu de condamnation morale. Il est difficile de démêler ce qui dans leur

du Second Empire. Ce volet à choisi un quartier, la Goutte d’ Or, une microsociété misérable des êtres déracinés qui peuplent ce quartier (immigrés de fraîche date). Zola a choisi une nouvelle fois un roman où le personnage principal est une femme, Gervaise Macquart. La vie de Gervaise est racontée ici. Elle est faite de misère dans ses aventures commerciales, mais aussi amoureuses. Ce roman est aussi destiné à peindre les méfaits de l’alcoolisme. Le chapitre III contient un passage important :