Le Personnage De Madame De Renal

Pour cela, il transforme le crime passionnel en matricide : « Mme de Renal avait été pour moi comme une mère » ð le crime passionnel était peu puni à l’époque, alors que le matricide est considéré comme très grave. -          Il fait tout cela pour obtenir la peine maximale -            2)      L’éloge de la victime   -          Au lieu d’essayer de noircir sa victime, il en fait un éloge Idéalisation de Mme de Rênal   3)      La sentence de mort   -          Il revendique son

éloquents, contribue ainsi à alimenter ce relativisme culturel qu'on devait voir ensuite illustré chez d'autres auteurs du xviiie siècle. Mais ce roman par lettres vaut aussi en lui-même, en outre par sa peinture des contradictions déchirant le personnage central d'Usbek : partagé entre ses idées modernistes et sa foi musulmane, il se verra sévèrement condamné par la révolte des femmes de son harem et le suicide de sa favorite, Roxane. Le lecteur lisant ce roman épistolaire se moque du Persan faisant

modeste, est engagé comme précepteur dans une famille bourgeoise, la famille Michoud. Il tombe amoureux de Madame Michoud et quitte donc son travail pour éviter le scandale. Il trouve ensuite une place comme précepteur chez un aristocrate, le compte de Cordon, dont il séduit la fille. Chassé et humilié, Antoine s’arme d’un pistolet et se rend à l’église où, pendant la messe, il tire sur Madame Michoud, la blessant grièvement. Il est arrêté, jugé et condamné à mort. Il sera exécuté en 1828. Pour finir

partie 2 Les Personnages 3 Le Rouge et le Noir et son époque 3.1 L'affaire Berthet 3.2 Étude sociale, politique, historique 4 Un roman psychologique 5 Adaptations 6 Voir aussi 6.1 Articles connexes 6.2 Liens externes 7 Notes et références Résumé Le roman est divisé en deux parties : la première partie retrace le parcours de Julien Sorel en province à Verrières puis à Besançon et plus précisément son entrée chez les Rênal, de même que

dernier de Stendhal. Ces trois textes ont un thème en commun qui prédomine : c'est le thème de l'amour, de la séduction. Cela on le voit tout d'abord par le vocabulaire et les procédés employés. Puis ensuite on le voit à travers l'attitude des personnages. On remarque le jeu de séduction, l'amour, tout d'abord par le vocabulaire employé et les descriptions biens précises des scènes. Dans le texte A, l'auteur nous décrit bien précisément de quoi Mme de Clèves a l'air « L'on admira sa beauté et

imagination : 1) Personnages trop caricaturaux pour être réels (Dans Candide de Voltaire, Le Professeur Pangloss) 2) Roman d’héroic fantasy ( Actes héroïques. + Merveilleux 3) cadres spatio-temporels fictifs (science fiction). 4) Roman Fantastique (Pas d’explication plausible). (Le Horla, Maupassant). II/ Mais n’y a-t-il pas une part de vérité, de réalisme ? 1) Roman d’éducation. 2) Personnages ayant vraiment existé (l’Homme qui rit, Nicolas Poussin, personnage historique)

      -> Mme de Rênal : seule, naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue focalisation zéro => le narrateur est omniscient, alternance de points de vue entre Julien et Mme de Rénal A) Portrait de Julien par Mme de Rénal - focalisation interne

Napoléon à Saint-Hélène. Mais l’on ne se rend compte de l’étendue de la passion du précepteur pour cet empereur pourtant si controversé à cette époque que lorsque Julien fait part du portrait de lui qu’il possède et chérit, « je dois vous avouer, Madame, que j’ai un portrait ; je l’ai caché dans la paillasse de mon lit ». Portrait dans lequel il écrit « des lignes écrites de ma main ! et qui ne peuvent laisser aucun doute sur

Nous allons étudier ici trois extraits de romans du 19° : Les Misérables de V. Hugo, Les Trois Mousquetaires de A. Dumas, et Le Rouge et le Noir de Stendhal. Ces extraits mettent en scène des personnages en opposition totale avec l'image habituelle d'un héro, une image positive. En effet, les protagonistes dépeints ici paraissent au contraire antipathiques au lecteur. Tout d'abord, Julien Sorel et Milady, décrits respectivement par Stendhal et Dumas. Tous deux sont deux jeunes gens étouffés

I. Un personnage héroïque A. Un discours bien préparé: - La structure du texte : le discours de Julien/ les réactions à ce discours, offusquées chez le juge, émues chez les femmes suggère que le discours du jeune homme provoque de vives réactions: il est le centre de la parole et a quelque chose d’héroïque. - Discours très organisé: a. D’une adresse « Messieurs les jurés » b. D’une introduction: la raison qui « me fait prendre la parole » c. D’un exposé de son propre cas : « Mon crime est