Le Personnage De Rodolphe Boulanger

Madame Bovary, donne d’emblée des informations sur le personnage désigné comme le personnage principal. Le fait que Flaubert le désigne par son statut marital, puisqu’il s’agit de Madame Bovary et non d’Emma Bovary, indique que ce statut est fondamental et que l’appellation ne désigne pas simplement l’héroïne de l’œuvre. C’est d’ailleurs ce que Rodolphe Boulanger pointe du doigt lorsqu’il cherche à ferrer sa nouvelle proie « Ce n’est pas votre nom, d’ailleurs ; c’est le nom d’un autre ! ». Il s’agit

vicomte. Elle s’achète un plan de Paris, s’abonne à des magazines pour suivre les nouvelles du monde, lit des auteurs comme Balzac ou Sand pour essayer de trouver une solution à ses convoitises. Dans ses lectures, elle établit des liens entre les personnages et le vicomte. Elle rêve de Paris, de luxe, de vie d’aristocrate et d’amour pur. Elle se comporte comme une aristocrate. Elle renvoie la bonne de Charles, Nastasie et engage une adolescente, Félicité, qu’elle forme comme sa suivante. Elle veut la

litterature. Comme son sous-titre l'indique, moeurs de province, c'est un roman de moeurs dans le sillage des Scenes de la vie de province de Balzac. Flaubert y decrit la vie quotidienne d'une bourgade normande sous la monarchie de Juillet, inserant ses personnages dans une geographie minutieusement detaillee. Mais la chronique est vite depassee par une veritable fresque sociale qui embrasse sur huit annees toute une societe provinciale, decrivant ses milieux et transformations. Yonville, a l'image de la France

qu’il ne semble plus vrai ; c’est pour cette raison que l’artiste doit extraire et grossir seulement les traits universels, généraux et probables de la réalité. Peu de traits sont suffisants à donner l’impression du vrai (dans la construction des personnages et de l’intrigue). * L’œuvre d’art jouit d’une autonomie totale par rapport aux restrictions morales ; elle ne se fait pas véhicule de ces valeurs et existe en fonction de règles qui s’imposent de l’intérieur. Flaubert écrivait dans sa correspondance :

sociales (sauf la classe ouvrière), Balzac est dit être un pilier du réalisme. Flaubert, lui, marquera la littérature française par ses analyses psychologiques, son souci du réalisme et son regard lucide. Plans : 1) Un cadre réaliste 2) Les personnages 3) Le souci de l’exactitude 1) Un cadre réaliste Premièrement, le roman Madame Bovary a un cadre spatial temporel précis ? Même si la présence de dates et d'événements historiques. Les seules dates que nous avons sont 1812(L'année ou le père

appartenant à ce mouvement littéraire si particulier qui a pour but de montrer un monde qui s'approche le plus possible de la réalité. Pour soutenir cette hypothèse nous pourrions prendre comme exemples les noms de famille des personnages dans ce livre: Rodolphe Boulanger, la veuve Lefrancais; ensuite nous voyons que le récit se déroule dans une ville tout à fait réelle,Rouen mais aussi leur fonctions, telle qu'aubergiste, paysan … représentant pour le mieux et au maximum la réalité, nous observons

Charles Bovary ancien aide-chirurgien major marié à une femme que l’auteur ne nomme point, ne travaillait plus utilisant l’argent de sa femme. Lorsque son beau père mourut il laissa peu d’argent « il en fut indigné » (Flaubert fait une critique de se personnage). Sa femme qui l’aimait follement avant, ne faisait que l’évité, aigris par les injustices qu’il lui a fait subir. Lorsqu’ils eurent un enfant celui-ci fut choyé et gâté, on ne l’envoyé pas à l’école avant ses 12 ans par soucis d’économie. Avant

XIXe siècle en France, depuis les années 1830 : étude d’un milieu social contemporain de l’écriture, souci d’objectivité et de précisions des données reproduites, effort de documentation, utilisation de la description, analyse psychologique des personnages. Résumé PREMIERE PARTIE C H A P I T R E I . Présentation de Charles Bovary. Un garçon d'une quinzaine d'années entre au Collège de Rouen dans la classe de 5e. Tout en lui, son maintien comme sa mise, est ridicule. Ce nouveau, Charles Bovary

Tostes et    s'installer à Yonville-l'Abbaye. Emma fait la connaissance des    personnalités locales : le pharmacien progressiste et athée M. Homais  ;   le curé Bournisien ; Léon Dupuis, clerc du notaire M. Guillaumin ;  le   noble libertin Rodolphe Boulanger. Emma    est déçue par la naissance de la petite Berthe, puisqu’elle aurait    préféré mettre au monde un garçon. Elle s'enlise dans l'ennui, et perd    tout espoir d'une vie meilleure. Elle n'éprouve plus aucun amour pour    Charles, qui pourtant

et du percepteur Binet, mène une existence insignifiante aux yeux d'Emma.Un jeune clerc de notaire romantique, Léon Dupuis, la courtise mais il ne se déclare pas et quitte la ville pour poursuivre ses études . Emma se laisse alors séduire par Rodolphe Boulanger; elle s'abandonne alors à une passion exaltée. Ce séducteur, effrayé par la violence de cette passion la quitte avec lacheté , après qu'elle eut projeté de partir avec lui en Italie.Remise de la maladie consécutive à cette rupture brutale, elle