Le Pessimisme De Voltaire Dans Candide

cartésienne8. Si la Philosophiae Naturalis Principia Mathematica (Principes mathématiques de la philosophie naturelle) (1687) ne sont traduits pour la première fois en français qu'en 1759 par Mme du Châtelet, ses idées avaient été vulgarisées par Voltaire dès 17389. Sa mécanique céleste, sa tentative pour confronter et assembler les preuves axiomatiques et les observations physiques en un système cohérent, source de prédictions, donnèrent le ton de tout ce qui allait suivre. Newton utilise des

jamais de paix possible pour lui-même ». Sa réflexion est justifiée par la formulation d'une sorte de règle au présent de vérité générale : « il n'y a [pas] d'armistice […] pour l'homme qui ensevelit son ami ». Le texte s'achève donc sur un certain pessimisme, la mort de Tarrou débouchant sur une « défaite définitive ». III. Un monde tragique 1. La lutte vaine contre des forces supérieures Tarrou paraît être la victime de forces supérieures qui s'acharnent sur lui et contre lesquelles toute résistance

transformer la société. Ils défendent la liberté d’expression, l’égalité politique (abolition des privilèges de la noblesse), la tolérance vis-à-vis des autres cultures, la paix, la connaissance et le progrès en général (Encyclopédie). Auteurs : -Voltaire : Candide (conte philosophique) - Rousseau : Le contrat social (essai= argumentation développée) - Montesquieu : Les lettres Persanes (genre épistolaire= lettre) - Diderot : Le supplément au voyage de Bougainville (récit) - Beaumarchais : Le mariage

pommes et de combattre le dragon. Après 1492 , l'Histoire rejoint la fiction. Qd on découvre l'amérique , on découvre les Incas qui ont bcp d'or. Un nouveau mythe naît : l'Eldorado ( la cité d'or ). En littérature , a) Eldorado ex : Voltaire , Candide => roman Les 7 boules de cristales ( tintin ) => BD b) Atlantide P. Benoit , L'Atlantide => Ds le Sahara , une citée oubliée dirigiée par une reine cruelle ( Antinéa ) => Roman Jules Verne , 20 milliers sous les mers => roman E

Quelques auteurs 1- Cinq écrivains de l’époque des Lumières : Voltaire, Diderot, Rousseau, Montesquieu, D’Alembert. - Les écrivains et les philosophes fréquentaient les cafés, les salons et les clubs pour diffuser leurs idées et en débattre. 3- Montesquieu (1689-1755) : écrivain, philosophe, élu à l’Académie Française. Il a publié Les Lettres persanes en 1721 Voltaire (1694-1778) : écrivain et penseur du siècle des Lumières. Il a écrit Candide en 1759 Beaumarchais (1732-1799) : dramaturge, victime de

d'une famille de médecins, Gustave Flaubert est le fils du chirurgien chef d'un célèbre hôpital parisien. Le métier qu'exerça son père aura une influence sur sa sensibilité et son écriture : la manie du détail, de la précision extrême mais aussi le pessimisme et la tristesse se retrouvent dans toute son oeuvre. Très jeune, à peine 10 ans, il confie à l'un de ses amis qu'il écrira « les bêtises qu'une dame vient confier à son père. » Lycéen doué mais indiscipliné, il connaît l'exaltation romantique

diagnostique imparable des raisons effectives du lien entre les femmes et le mal : crédulité, curiosité, méchanceté, promptitude à se venger, bavardage !!! Robert Muchembled, dans son Histoire du diable, rappelle le profond pessimisme qui touche la seconde Renaissance : « Un profond pessimisme sur la nature humaine envahit la scène, détruisant pour deux siècles l’optimisme du libre arbitre érasmien » (de Erasme, humaniste hollandais, 1469/1536). La figure de Faust est un exemple idéal. L’homme semble avoir

que d’attribuer à l’homme une telle nature perverse), mais il a été globalement validé par la tradition théologique et moraliste. ● Voir le mal partout Cette expression traduit un travers fréquent, qui consiste à porter un jugement négatif, par pessimisme ou tendance moralisatrice, dans un nombre excessif de cas. Une telle attitude est donc mauvaise en soi, et montre que le mal réside précisément dans un excès, une démesure (voir le mal partout, y compris là où il n’est pas) ; elle traduit une erreur

jouissance dans l’action, et la passion de vivre, ‘malgré tout’ »34. « avaient conçu pour lui une si tendre vénération, que je lui ai entendu donner par quelques-uns d’entre eux le respectable nom de père »35. 34 35 « Contemporain de Voltaire et déjà son ami, il estime [...] qu’elle ne compte point assez parmi les hommes pour être le but enviable des efforts sérieux de toute une vie »47. « Vauvenargues hésite et résiste longtemps, car il espère toujours pouvoir s’employer plus utilement

l'époque de Shakespeare, en Angleterre, on définissait la tragédie comme l'histoire de la chute d'un personnage illustre, qui passe de la prospérité au malheur, et finit misérablement. Enfin, dans le langage courant, le mot tragédie est teinté de pessimisme: on qualifie de tragiques des événements terribles, tels que des guerres, des massacres, des désastres naturels... L'idée d'une tragédie qui se terminerait bien semble donc, à première vue, contradictoire. On se souvient qu'au début du XVIIe siècle