Le Petit Coeur Brisé

Brise marine La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D’être parmi l’écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur défend Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Je partirai ! Steamer balançant ta mâture, Lève l’ancre pour une exotique nature ! Un Ennui

Prévert « Le miroir brisé » tiré du recueil Paroles publié en 1946, puis de Louis d’Epinay D’ETELAN (1604-1644) un sonnet « Sur un miroir » publié au XVII siècle, de Paul Eluard « Le miroir d’un moment » est tiré du recueil Capitale de la douleur publié en 1926, et de Louis Aragon « Elsa au miroir » du recueil La diane française publié en 1945, du côté des chansons, Le Miroir de Chimene Badi tiré de l'album Le Miroir publié en 2006-2007. J'ai rattaché le poème « Le miroir brisé » et « Elsa au

« républicains ». C’est « la guerre civile »! 4 Le 26 avril, l'aviation nazie bombarde la petite ville basque de Guernica. Picasso, marié à une française, est à Paris quand le drame se produit! 5 C’est un Jour de marché, à 16h30, vingt-deux trimoteurs de l’aviation allemande bombardent par surprise pendant quatre heures, en accord avec les forces fascistes du général Franco, le petit village basque de Guernica. C’est le premier bombardement massif de civils de l’histoire : 1654

de chacun des poètes suivants : Ronsard, Rimbaud, Baudelaire, Verlaine, Hugo, Apollinaire, Prévert, Vian, Desnos, Eluard, Ponge Page 2 : Ronsard Mignonne allons voir si la rose Page 3 : Rimbaud Ophélie Page 5 : Verlaine  Il pleut dans mon cœur Page 6 : Baudelaire Enivrez-vous Page 8 : Victor Hugo La plume de Satan et Ecrit au bas d’un crucifix Page 10 : Prévert Sable mouvant Page 12 : Ponge La bougie Page 11 : Eluard Suite Page 13 : Apollinaire Colchiques et Paris Page 15 :

les élèves travailler seuls (~20 minutes)]. 2. Récitation d'un poème au choix entre "Mon rêve familier", P. Verlaine ou "Un squelette je semble", P. de Ronsard 3. Le langage poétique. Dominante : Lecture Ch. Baudelaire, "Enivrez-vous", Petits poèmes en prose, XXXIII A travers l'étude d'un poème en prose, on tente de déterminer la spécificité du langage poétique (figures de style, syntaxe et choix du lexique) Lecture du poème et explication du vocabulaire (?) ; Les élèves réécrivent

voulut partir pour l’Egypte pour éviter le froid avec ses compagnons. Ses amis n’approuve pas cette relation car le roseau est pauvre et a une si grande famille il ne pourrait pas rendre le petit martinet heureux. Ceci a vite été prouvé en effet le petit martinet remarque que sa douce fait les yeux doux a la brise. De ce fait le martinet décide de rejoindre ses amis en Egypte pour cela il traversa la ville. Il faisait nuit donc le martinet décida de dormir sous la statue du prince heureux avant de

t'es entré dans ma vie, t'as mon coeur à tes pieds. Tu sais, j'ai des centaines de questions qui traversent mon esprit, j'ai des milliers de pensées qui sont encore dans ma tête, des millions de sentiments qui sont rien que pour toi. Alors explique-moi, explique moi comment t'as pu me faire ça.. " Lorsque nous grandissons, nous apprenons que certaines personnes qui sont supposées ne jamais nous laisser tomber le feront certainement un jour. Tu auras le cœur brisé, probablement plus d'une fois, et

vraiment, on est susceptible d’en faire très souvent. Le jour ou on apprend, que la personne que l’on aime passionnément veut nous quitté, on passe un moment tellement riche en émotions, et ce ne sont pas les meilleurs. On se met à trembler, notre cœur a envie de sortir de notre poitrine, il ne peut plus rester en place, il veut exploser, partir. On veut tout casser autours de nous, et en même temps on rêve de se cacher son un meuble. Quand un moment comme cela se passe, l’être humain se sent trahie

se rendit à la rue de Paris, la grande rue du Havre, éclairée, animée et bruyante. L'air assez vif de la côte embrassa son visage, et il marchait lentement, sa canne sous son bras et ses mains derrière son dos. Il était mal à l'aise, oppressés, de cœur, comme on l'est après avoir entendu nouvelles désagréables. Il n'a pas été bouleversé par toute pensée précise, et il aurait été fort embarrassé de compte, sous l'impulsion du moment, pour cet abattement de l'esprit et la lourdeur des membres. Il a

n'est jamais trop tard, et pourtant cette fois, je crois que si. Je pense que ça ne sert plus à rien de se battre, d'essayer de changer les choses, de s'accrocher. À part me faire du mal, ça ne fait pas grand-chose. J'ai décidé de changer, et que mon cœur redevienne de pierre. Je repars de zéro. Tes mots ne m'atteindront plus, tes gestes non plus. Je ferai comme si je ne t'avais jamais parlé, jamais connu. Je ne sais pas si c'est la bonne solution, mais c'est ça ou souffrir d'avantage. Et, personnellement