Le Petit Parisien

« villégiature » ou enfermé dans sa chambre. Titres présents L’Autorité, Le Matin, L’Aurore, Le Journal des débats, Le Siècle, Le Gaulois, L’Intransigeant, La Gazette de France, L’Eclair, L’Univers, Le Petit journal (supplément littéraire illustré),, L’Assiette au beurre, Le Petit Parisien (supplément littéraire illustré), Le Rire, L’Illustration, La Bastille, La Libre parole, un journal algérien, L’Antijuif illustré, Le Placard antijuif, L’Avenir antisémite de Toulouse et du midi, « Hebdomadaire

et la récompense tant méritée par les sacrifices que cette guerre nous a forcés à faire. J’aurais voulu vous écrire hier, mais nous avons été obligés d’aller nous réfugier dans la cave, à cause des percutants qui tombaient dans Villers aux Bois, petit pays où nous nous reposons, avant d’aller aux tranchées. Merci encore de toutes vos bontés. Recevez, mes chers Parents, mes meilleurs vœux de bonheur et de santé pour la nouvelle année et mes plus sincères baisers. Votre fils qui vous aime. Gustave

maintenir le moral des Français, le mensonge patriotique prime sur l'effroyable vérité. N'en déplaise à la liberté d'expression...e 2 août 1914, la censure, baptisée Anastasie, s'empare de la presse française Le Figaro, Le Temps, Le Petit Journal, Le Matin, Le Petit Parisien... Aucun journal n'est épargné par la censure. Pour s'en assurer, un bureau de la presse est créé au ministère de la Guerre, à Paris, et contrôle les articles avant parution pour vérifier que ne s'y trouve des informations propices

lecture du journal devient une habitude dans toutes les catégories de la population et en 1900, les Français sont les 1er lecteurs de journaux au monde. => On a une presse contrastée: *Des JOURNAUX D’INFORMATION, presse populaire (Le Petit Journal, Le Petit Parisien, Le Journal, Le Matin): = les + diffusés : journaux assez neutres, sans opinion politique claire ; s'adresse à tt le monde, son but est de diffuser une informat° et non pas influencer les lecteurs,ils privilégient les faits divers et

et le sensationnel : Le Petit Journal est un des journaux les moins chers de la fin du XIXe siècle (5 centimes contre 15 centimes en moyenne pour les autres journaux). Il se prétend apolitique mais prend position lors de l'Affaire Dreyfus. Le Petit Journal connaît un essor considérable en couvrant les faits divers sensationnels et il est imprimé à plus d'un million d'exemplaires dans les années 1890, ce qui en fait un des journaux les plus imprimés au monde. Le Petit Parisien est un des principaux

font journalistes à l’occasion. • Les plus fortes ventes sont réalisées par des quotidiens populaires mais difficiles à classer politiquement (adoptent des positions mesurées pour ne pas heurter le lectorat), comme Le Petit Journal ou Le Petit Parisien (cf p.121 diffusion du Petit Parisien). • Mais des journaux d’opinion émergent également, comme le quotidien radical L’Aurore, Le Figaro, de centre-droit, L’Action française, d’extrême-droite, etc. le citoyen a dorénavant les moyens de lire le journal

1890 à 1944. 1) L’âge d’or de la presse française. doc 2 p 160: a- fin 19° siècle, presse française vit un véritable âge d’or. Avant WW1, ≈ 300 quotidiens, ≈ 10M d’exemplaires, ≈ 6000 journalistes. Quotidiens les + populaires (Le petit journal et Le petit parisien) tirent ensemble à 2,5M d’exemplaires / jour (en 2011, 20 minutes tirait à 870 000 exemplaires). Presse devient donc média de masse. b- Cette situation s’explique par: - Evolut° techniques → industrialisat° de product° (rotative depuis

constat : le récit de crime connaît un essor fulgurant, continu et multiforme de 1880 à 1914. Tout d’abord dans les journaux sous la forme de faits divers. Ces bribes se développent dans les journaux populaires de masse pendant longtemps. Le Petit Parisien, Le Petit Journal ou le Matin lui accordent ainsi un espace impressionnant. Mais dès le milieu des années 1880, ces faits-divers envahissent aussi les journaux à tirage plus limité et même la presse militante qui semblait pourtant très réticente au

en retour, idéalisait la presse. Il fallut très vite déchanter. Les désillusions, plus nombreuses d’année en année, ont pris le pas sur cet espoir que les journaux avaient fait naître. Un siècle après que le journal qui s’appelait alors le Petit Parisien, né en 1876, était devenu, avant 1914, le plus grand journal du monde, avec un million et demi d’exemplaires vendus chaque jour, après un demi siècle d’une télévision omniprésente, alors que les grands quotidiens sont pris en tenailles entre les

réduit de moitié entre 1871 et 1914) créent un média de masse. En France, des quotidiens tirent à plus de 9 millions d'exemplaires en 1914. À la veille de la guerre, les journaux d'opinion sont supplantés par des titres populaires (Le Petit Journal, Le Petit Parisien). Ceux-ci offrent une information brève et souvent dramatisée à une opinion dont la demande augmente. Le nombre croissant des lecteurs fait émerger une opinion publique qui devient un acteur majeur en temps de crise. En 1898, le «J'accuse»