Le Petit Prince Renard

64 vers, alternance d’octosyllabes et d’alexandrins, présence d’un trimètre (« Le Berger », vers 29). • • • • • • • Exposition, v. 1-14 prise en charge par le fabuliste ; Conseil et discours du Roi Lion (15-33) ; immédiatement suivi du discours du Renard (34-42) ; reprise du récit (43-48) discours de l’Âne (49-54) reprise du récit et dénouement (55-62) morale (63-64) plutôt brève au regard de la longueur de la fable. De la composition aux pistes d’interprétation • Comme toujours chez La Fontaine,

pilotes de son réseau manifestent également un mépris de la vie petite-bourgeoise et une certaine forme d’anti-intellectualisme, somme toute assez banals pendant l’entre-deux-guerres, que les idéologies totalitaires reprendront à leur compte en les radicalisant. Robineau, dont le patronyme prend une signification très claire lorsqu’il est apposé à celui de Rivière, concentre à lui seul les figures de l’intellectuel et du petit-bourgeois. Inspecteur de la ligne, il découvre, face aux victoires

fables I.2:Morales et récits  I.3:La désignation des personnages, et autres difficultés liées à la lecture des Fables De La Fontaine  I.4:Les séquences dialoguées : la polyphonie des fables et la fonction persuasive I.4.1:Le corbeau et le renard et la persuasion I.4.2:Le loup et l’agneau et l’argumentation II : Ecrire  II.1:Réécritures  II.2:Transpositions génériques II.3:Continuations  II.4:Imitations  II.5:Copies III : Dire les fables  III.1:Lire à haute voix, seul ou

permettent de rendre les leçons plus claires : la cigale est insouciante, la fourmi est économe, le renard est rusé, le loup ne pense qu’à manger, etc.… Cette simplicité contribue à styliser certains traits humains, et les leçons de la fable sont plus faciles à saisir. C’est aussi le cas dans le petit Prince de Saint Exupéry : chaque personnage rencontré par le héros est symbolique. Ici, le renard est plutôt un exemple de solitude et de sagesse. La Fontaine affirmait qu’il utilisait « les animaux

Introduction Dans Gaspard, Melchior et Balthazar, Michel Tournier raconte l'histoire de Taor, prince de Mangalore. Le jeune prince, au cours d'un long périple, rencontre le rabbi Rizza qui lui raconte alors l'histoire de ses ancêtres, les premiers bédouins. En ce temps heureux, béni de Dieu, « le corps et l'âme étaient coulés d'un seul bloc », et la nourriture nourrissait l'un comme l'autre : « la bouche servait de temple vivant […] à la parole qui nourrit et à la nourriture qui enseigne, à la vérité

Quel âge à Guillaume ? * 18 ans * 22 ans * 15 ans 5) Qui est le comte Bérard ? * Le père de Guillaume. * L’ami de Guillaume. * Le Seigneur de Guillaume. 6) Guillaume compare le comte Bérard à : * Un lion rugissant. * Une bête malfaisante. * Un renard rusé. 7) Guillaume est : * Chevalier. * Serf. * Marchand. C) Réponds aux questions suivantes : Quel est le rêve de Guillaume ? ………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………… Pourquoi est-il recherché ? ………………………………………………………………………

l’époque, le monde du salon se trouve à la frontière entre la sphère privée et publique, en effet, des activités sont organisées au sein d’une maison, mais simultanément permettent aux femmes de communiquer avec des gens hors de leur famille. Dans ce petit cercle aristocratique, certaines femmes lettrées vont jusqu’à remettre en question leur statut social, et revendiquent une émancipation féminine. C’est dans ce contexte-là qu’est née un nouveau genre littéraire – le conte de fée. Selon Christophe

ce qu’elle veut dire pour moi, ensuite je vous parlerai de la différence et de ce qu’elle représente pour moi. Je vous parlerai aussi de quelques citations et proverbes qui mettent en valeur la différence et avant de terminer mon discours par une petite leçon de vie, je nuancerai mes propos. En premier lieu, je vais décortiquer cette phrase dans le but de mieux la comprendre. Le mot pervers désigne une disposition active à faire le mal intentionnellement, à être méchant, et quelque part, nous

jeunesse du futur Philippe II que publie le R. P. J. March, de façon paradoxale, nous renseignent assez peu sur les premières années du prince. On apprend à les lire que l'enfant aima moyennement l'étude et davantage la chasse, que son « maestro » Siliceo, futur cardinal de Tolède, fit preuve de faiblesse ou, pour le moins, de complaisance à son endroit, que le petit prince fut élevé dans l'admiration de son père, — on le savait, — qu'il fut d'une foi vive et précoce. Sur l'homme jeune, sur sa froideur

parlement de Paris. Entre temps, en 1647, son père lui organise un mariage de complaisance avec Marie Héricart, à la Ferté-Milon. Marie Héricart est la fille du lieutenant civil Louis Héricart, criminel du bailliage de La Ferté-Milon, et d’Agnès Petit. Le contrat de mariage est signé dans cette bourgade proche de Château-Thierry le 10 novembre 1647, chez le notaire Thierry François. Il est alors âgée de 26 ans et elle de 14 ans et demi. Elle lui donne un fils, Charles. Il se lasse très vite de son