Le Pib Est Il Un Indicateur Pertinent Pour Mesurer La Richesse Créée Dans Un Pays

2 Définissez et expliquez l’origine de la plus-value. © Nathan – La photocopie non autorisée est un délit. Définition : la plus-value est la différence entre la valeur créée par la force de travail des ouvriers et la valeur que cette force de travail coûte au capitaliste (salaire des ouvriers) : Plus-value = valeur créée par l’emploi de la force de travail – valeur de cette force de travail. Exemple : Prix de l’heure de travail = 8 €; valeur du bien = 16 €. Valeur de la force de travail = 12

implicitement ou explicitement sur l’idée qu’il existerait une «norme », ou « bon » partage, un partage « naturel », reflétant un équilibre du conflit capital/travail. Ce dernier peut être celui prévalant à une certaine période donnée ou encore celui d’un pays référence ou de la moyenne de l’OCDE. De fait, les approches non purement descriptives reposent sur des a priori, ce qui les expose de fait à des biais idéologiques. Pour objectiver l’analyse du partage, il faudrait non seulement s’entendre sur une

projet, auteur principal et macro), qui comprend Peter Lanjouw (la carte sur la pauvreté et analyses), Martin Ravallion et Michael Lokshin (impact de la de-protection céréale sur les ménages), Dominique van de Walle (répartition géographique des indicateurs sociaux et dépenses publiques) et Abdeslam Fazaoune, Fatima Bakass et Aziz Chaker (étude qualitative de l'éducation des filles). Des contributions et commentaires importants y ont été apportés par Touhami Abdelkhalek, Shaohua Chen, Piet Buys, Khalid

Economie Publique Master II RELATION DE CAUSALITE ENTRE CROISSANCE ECONOMIQUE ET CONSOMMATION D’ELECTRICITE A MADAGASCAR RESUME Théoriquement, il y a une relation entre les variables croissance économique et consommation d’énergie dans un pays. Nous avons voulu savoir dans cette étude quelle est la nature de cette relation dans le cas de Madagascar et qu’est-ce que cela implique en termes de politiques économiques. Pour cela nous avons utilisé l’analyse de la cointégration. Après avoir

quel échelon doit s’organiser cette prise en charge (Etat, région, communauté) ? quelle place doit-on accorder à « l’assistance publique » ? quel est le juste équilibre entre solidarité collective et prise en charge individuelle ? • dans quelle mesure les répercussions politiques possibles du système de prestation sociale doivent être prises en compte ? quelle hiérarchisation doit-on faire entre efficience économique, cohésion sociale et égalité des citoyens face à la prise en charge médicale 

AVANT PROPOS L‟économie des pays en développement, africains notamment, est caractérisée par la coexistence d‟un secteur formel et d‟un autre dit informel. Ce secteur occupe, selon les pays et les zones urbaine ou rurale, 70 à 80 % de la population active. Au cours des dernières années, son expansion a été favorisée par les crises économiques cycliques et l‟application de politiques d‟ajustement structurel. Aujourd‟hui aucun domaine de la vie économique et sociale de ces pays n‟échappe à l‟emprise du

modifie dans le temps en enregistrant des fluctuations plus ou moins importantes. Ce cours porte sur la compréhension du cadre macroéconomique national et sa place dans l’économie régionale et internationale. Il analyse l’évolution dans le temps des indicateurs macroéconomiques nationaux, les principales fonctions économiques, ainsi que l’équilibre global. Les interrelations entre les groupes d’agents économiques, dont l’Etat, sont analysées. Objectifs d’apprentissage Le cours de macroéconomie approfondie

(1) Puisque l’investissement public est en premier lieu une composante de la demande, nous nous intéressons d’abord à son efficacité sous l’angle général de la dépense publique. La littérature conduit à un multiplicateur des dépenses publiques sur le PIB de 0,8 en moyenne, avec une grande variabilité dans les résultats ; (2) Dans un second temps, la dimension productive de l’investissement public est intégrée. La littérature économique parvient à établir une supériorité de la relance par l’investissement

18 5. Le retour des crises bancaires .............................................................. 19 6. Des coûts budgétaires élevés ............................................................... 23 7. La fréquence des crises jumelles dans les pays récemment ouverts à la globalisation financière .................................... 26 8. Le retour de crises financières dévastatrices en termes de croissance et de bien-être ................................................................ 29 9.

Chapitre 1 - Population mondiale et démographie I. Les principaux indicateurs et phénomènes démographiques II. Les grandes évolutions démographiques à l’échelle mondiale III. Le débat sur la question de la surpopulation IV. Les politiques de natalité et le contrôle des naissances. 7 10 13 15 5 7 Chapitre 2 - Les enjeux économiques et sociaux de l’agriculture I. Les systèmes agraires II. Les mutations agricoles dans les pays développés III. Le modèle productiviste IV. L’agriculture insérée