Le Pib Points Négatif

qualitatif où nous remarquons l'ensemble des transformations des structures économiques, sociales, institutionnelles et démographique qui accompagne la croissance. A priori, le développement ne pourrait pas être mesurable mais une mesure a été mise au point: l'IDH. Tout cela laisse donc supposer que le développement repose sur d'autres facteurs. Parmi ces autres facteurs sont pris en compte le rôle de l'État qui fixe les règles et réduit au maximum les inégalités entre individus. Il y a aussi le rôle

développement durable sur le développement économique ? Le développement durable regroupe trois principes qui sont : le principe de solidarité, le principe de précaution et le principe de participation. Les indicateurs les plus utilisés sont les PIB verts consiste à soustraire les activités polluantes ou réparatrices et additionnés des activités non évalues et l’empreinte écologique consiste à mesurer la pression que l’homme exerce sur la nature. Elle évalue la surface productive. La croissance

Faible taux d’épargne à cause des taux d’intérêts négatifs. - Peu d’IDE à cause du code d’investissement. D’où nécessité de la réforme de l’économie. c) Les réformes depuis 1983  Programme de PAS qui a touché l’ensemble des aspects de l’économie marocaine : Taux de change (stabilité), Investissement étranger (facilités d’octroi de crédit), Tarifs douaniers (Adhésion au GATT), Privatisation,… Conséquences de la réforme : - Croissance du PIB. - Augmentation des échanges avec l’extérieur

secteur d’activité . Graphique 1 : Structure moyenne du PIB régionalisé sur la période 2000-2007 [pic] Source DEPF. La lecture du graphique1 montre que clairement que la région du Grand Casa accapare le taux le plus élevé, en terme du PIB par habitant, tout secteur confondu (19%) contre 2,7% pour la région de Taza- alhouseima). La répartition du PIB par région et par secteur se trouve dans le graphique2. Graphique 2 : Structure du PIB régional (2000 et 2007) [pic]Source DEPF. D’après le

2 3 4 5 6 7 8 9 PT 30 70 120 160 185 198 203 203 198 1. Calcule de la productivité moyenne et marginale 1. Représentation graphique 2. Commentaire En se basant sur le point d’inflexion de la courbe de production totale qui correspond au point d’intersection des deux courbes de productivité moyenne et marginale, on remarque qu’à partir du 5ème travailleur, la productivité marginale devient inférieure à la PM et plus le nombre de salariés augmente plus la

est égale au PIB de la nation. III. La notion de PIB  PIB : richesse produite par un pays. * PIB marchand : somme des valeurs ajoutées * PIB non marchand : coûts des facteurs de production (dégagé par l’administration publique dont la fonction publique est de fournir des services non marchands) Le PIB est un indicateur contesté, purement quantitatif qui ne prend pas en compte les aspects négatifs de la croissance économiques. Mais malgré les aspects néfastes, le PIB est l’indicateur

il fait généralement intervenir les notions de bonheur, de santé et donc de prospérité, mais cela suffit-il ? Le bien-être n’est pas chiffrable avec précision. Il existe néanmoins de nouveaux indicateurs qui remettent en cause la sacralisation du PIB pour mesurer le développement. Ils permettent de mesurer différents composants du bien-être, ce qui permet d'avoir une approche assez globale de cette notion. Les indicateurs de la croissance économique peuvent-ils refléter de façon adéquate le développement

QUESTION A Répondre par VRAI ou FAUX, en entourant votre réponse  (5 points, +0,5 point pour une bonne réponse ; -0,25 pour une mauvaise réponse) 1. Le multiplicateur ne fonctionne que dans une économie en situation de sous-emploi a. VRAI b. FAUX 2. Dans l’approche classique, la consommation dépend du niveau du taux d’intérêt. a. VRAI b. FAUX 3. L’ampleur de l’effet multiplicateur de dépense publique est identique à celle qui est provoquée par une quelconque augmentation autonome

statistique Hypothèses Modifications récentes Données et conventions Classification des pays Caractéristiques générales et composition des différents groupes de pays Tableau A. Classification par sous-groupes types et parts des divers sous-groupes dans le PIB global, le total des exportations de biens et de services et la population mondiale en 2011 Tableau B. Pays avancés classés par sous-groupes Tableau C. Union européenne Tableau D. Pays émergents et en développement classés par région et par principale

flexibilité (notamment fonctionnelle) permet d’accroître la compétitivité hors prix - 3) En général, lorsque le TCAM de la productivité diminue alors le rythme de croissance du PIB baisse aussi. Ainsi en France, par exemple, les gains de productivité sont de moins en moins forts (le rythme de croissance de la productivité perd 0,9 points entre 1980 et 1999) et le rythme de croissance s’est lui aussi réduit passant de 2,4% par an à 1,6%. Ce constat se vérifie pour tous les pays du document 2. - 4) La croissance