Le Pib Surestime Des Variables

égale au volume de production (T) multiplié par le niveau général des prix (P)3(*). Cette théorie suppose que V est stable et que T, déterminé par les facteurs de production disponibles et la productivité de ces facteurs, constitue également une variable exogène4(*). En conséquence, toute variation de M se traduit directement par une variation de P. Dès lors, toute augmentation de la masse monétaire que n'accompagne pas une hausse de la production, se traduit essentiellement par de l'inflation et

économique vers la fin de l’année 2008, la crise financière commence à toucher l’économie réelle. En 2009, le pib mondial baisse de 0,6%, la première récession mondiale depuis la seconde Guerre mondiale. cependant, la crise n’atteint pas tous les pays de la même manière : tandis que les pays avancés subissent une contraction importante de leurs économies, les pays émergents s’en sortent plutôt bien. le pib de l’uE baisse de 4,1%, la pologne étant le seul Etat membre enregistrant une croissance positive. le

. . . . . 1.1.2 Pourquoi la macroéconomie ? . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Trois grands objectifs des politiques macroéconomiques 1.2 La croissance ou l’augmentation de la production agrégée . . . 1.2.1 PIB, valeur ajoutée et revenu . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 PIB nominal et PIB réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 La comptabilité nationale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.1 Le taux de chômage

L’économie marocaine s’est comportée de manière satisfaisante au cours des dernières années et ne présente pas de risque d’investissement majeur à échéance de 3 à 5 ans. Les comptes extérieurs, le taux de change et la dette publique totale (66 % du PIB) ne montrent pas de tension sérieuse. Ce constat reflète aussi l’absence de dette extérieure nette et l’absorption réussie, en 2005, de chocs exogènes non-négligeables (pétrole, textile, sécheresse). En outre, cette économie volatile, à l’insertion

l’état et les banques. D’après le FMI, le marché des changes représente près de 15x le PIB mondial du coté du marché obligataires c’est 2,5x le PIB mondial et les marchés bancaires c’est 4x le PIB mondial. Le royaume uni arrive en tête avec 9x son PIB, les operations fin réalisé sur le territoire britannique sur les opérations réels. Pour le France on arrive a 6x Le japon c’est 5,5x son PIB Etats-Unis 4,5x son PIB 1.2) les facteurs explicatifs du développement conjoint des banques et des marchés

objectifs à la fois. Il est difficile d’obtenir un taux de croissance du PIB et un solde du commerce très élevés, avec la baisse voire quasi- nullité des taux de chômage et d’inflation. A)   La croissance  Quand on dit croissance, on entend PIB (valeur) PNB (entreprises nationales que l’on enregistre). Quel est l’indicateur de cette croissance ? C’est la valeur ajoutée des entreprises. La croissance s’évalue en fonction du PIB, mesuré à prix constant (sans l’inflation) en volume : quantité produite

économique de la production et de la redistribution. Chez Adam Smith en 1776 ou dans l’ouvrage de John STUART MILL 1848 principe d’économie politique, il désigne la science économique en générale avec l’idée implicite que la politique influence les variables économiques ; progressivement vers les la moitié de XIX siècle que l’expression économie politique est remplacé par l’expression simple d’économie ; la science économique néoclassique c’est alors distingué de l’économie politique terme conservé par

pour montrer empiriquement que les pays dotés de bonnes institutions sont ceux qui enregistrent des taux de croissance économique plus élevés. A la suite, se sont développés d’autres travaux empiriques basés sur 3 l’utilisation de techniques de variables instrumentales pour montrer de façon plus rigoureuse que les pays dotés de bonnes institutions sont ceux qui ont des revenus par tête les plus élevés (Hall et Jones, 1999 ; Acemoglu, Johnson et Robinson, 2001). Ces différents travaux empiriques témoignent

production. La croissance est « riche » en emplois. Au Japon, les gains de productivité ont été élevés jusque dans les années 80 mais la croissance du PIB a été encore plus forte, ce qui explique la croissance des emplois. En Europe, la croissance des emplois a été faible pendant les 30 glorieuses car la productivité augmentait aussi vite que le PIB. Il faut attendre les années 90 et le ralentissement des gains de productivité pour avoir une croissance « riche » en emploi. 3. On calcule le taux

une dichotomie totale entre la sphère réelle et la sphère financière, ce qui se traduit dans la pratique par une inexistence de connexion entre le système financier et les différents indicateurs de l’économie réelle, tels que le taux de croissance du PIB, le taux d’investissement, le taux d’épargne, etc. Cette idée puise son essence dans l’équation des échanges de Fisher et son corollaire, la théorie quantitative de la monnaie, qui stipule que toute augmentation de la masse monétaire se traduit par