Le Pouvoir Comme Fondement De L Action Organisee

[pic] [pic] [pic] INTODUCTION I. LA DEMOCRATIE II. a- Définition b-Les autres principes et fondements de la démocratie : III. LA DEMOCRATIE ET BONNE GOUVERNANCE a- les enjeux b- les réalités c- les perspectives Conclusion [pic] Introduction Dans la hiérarchie des impératifs qui structurent le destin des peuples du monde, la démocratie transparaît. Comme une problématique planétaire, mieux une exigence historique qui inspire le processus d’actualisation. Socio humaine

influencent-ils les choix des consommateurs ?* Revenu disponible : Consommation : Epargne : Pouvoir d’achat : Après constater que revenu disponible se répartit entre consommation et épargne + évoquer différentes formes d’épargne, montrer avec données chiffrées simples que consommation des ménages dépend du niveau de leur revenu + du prix des biens. Mettre en évidence effets dans le temps de l’évolution du pouvoir d’achat sur la structure de la consommation des ménages. Interpréter valeurs significatives

y’a les règlementations internes qui circonscrivent les actions des individus, ainsi que les lois internationales. Lire Max Weber=> l’Etat c’est le monopole de la violence physique légitime. Selon Max weber 3 formes de légitimité : charismatique, traditionnelle et légale et rationnelle. Dans les Etats modernes la légitimité est légale et rationnelle Ex : De Gaulle, chef charismatique, Mandela, les partisans de Ben Laden le considérait comme un chef charismatique. Instrumentalisation de la religion

externes de l’entreprise et leurs interactions. * Découvrir l’entreprise sur le terrain. La complexité de la notion d’entreprise ------------------------------------------------- En économie, l’entreprise est traditionnellement définie comme étant une organisation économique de forme juridique déterminée, réunissant des moyens humains, matériels, immatériels et financiers pour produire des biens ou des services destinés à être vendus sur le marché dans le but de réaliser un profit.

science va connaitre une crise d’où l’apparition d’une autre modernité encore appelée postmodernité. A cet effet, au XXe siècle les philosophes de l’école de Francfort (Theodore ADORNO, Max HORKHEIMER, Benjamin WALTER) ont constaté que la modernité comme projet d’émancipation sociale n’a pas tenu ses promesses. La raison mise au service du principe de la conservation de soi est entrée dans un processus historique de domination de la nature externe et interne de l’Homme. L’Homme s’est lui-même enchaîné

: participation à une élection (vote), à une négociation (contrat, convention), à une contestation (manifestation de rue, grève, pétition), à un projet ou à la défense d'un intérêt collectif (association, coopérative, syndicat), à la conquête du pouvoir (parti politique).1 Quand elle fait défaut, on emploie des termes tels que « absence de participation », « abstention », « retrait », « départicipation » ou encore « exclusion », etc. Polysémique, la notion pose une sérieuse difficulté quant à son

de l’immixtion de l’Etat dans le fonctionnement du football français. En effet, comme le souligne dans un entretien au Monde1 Alfred Wahl, historien du football, la toute-puissante Fédération Française de Football (« FFF ») jouit depuis l’après-guerre d’une formidable autonomie à tel point que Fernand Sastre – qui fut son président – a pu qualifier la FFF « d’Etat dans l’Etat ». La FFF trouve le fondement de son autonomie dans la loi : conformément à l’article L.131-14 du Code du Sport

ventes, - le public - les partenaires. D’abord, les ventes d’œuvres d’art sont de plus en plus rares à l’occasion des expositions organisées par la GNA. Ensuite, le public tarde à se faire fidéliser du fait d’un intérêt très peu manifeste qu’il réserve aux activités de la GNA. Enfin, des acteurs comme les critiques d’art, les journalistes et les collectionneurs dont l’apport pourrait abondamment relever le niveau de prestation de service de la GNA, ne sont

Baruch Spinoza (1632-1677) Spinoza élabore une éthique de la joie. Le but de la vie, selon lui, n'est pas d'être malheureux (comme y invite le christianisme : il faut se repentir, souffrir pour expier la faute originelle, etc.) mais d'être heureux. C'est-à-dire chercher à accroître sa puissance, chercher ce qui nous est vraiment utile (l'utile propre). On pourrait y voir une éthique égoïste. Mais c'est surtout une éthique de la raison. D'ailleurs pour celui qui utilise sa raison l'utile propre

Autrui : Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception Le désir : Épicure (342-270 av. J.-C.), Doctrines et Maximes L'existence et le temps : Pascal, Pensées, Lafuma 47 (1670) 2. La culture Le langage : Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes L'art : Hegel, Esthétique I Le travail et la technique : Marx, Le Capital, Livre I, 3e section, chapitre 7, 1 La religion : Nietzsche, L'Antéchrist L'histoire : Ricœur, Histoire et vérité 3. La raison et le réel