Le Poème En Prose

poésie : Elles se trouvent à deux niveaux : oral & écrit. Oral : difficulté pour lire correctement un poème (marquer les pauses, le ton), il faut donc en saisir le sens & comprendre les analogies rencontrées dans ce type de texte : métaphores, métonymies .. Ecrit : la poésie se distingue des autres formes par la présentation (organisation dans l’espace) : Disposition en strophes, en vers, en prose, calligrammes, "La poésie se lit, se dit & s’écoute" Les sonorités de la langue : Pr travailler

• Le poème en prose Le poème en prose apparaît pour la première dans un recueil d’Aloysius BERTRAND, Gaspard de la nuit (1841, posthume). Le poète demande au metteur en page de « jeter », dans ce « un nouveau genre de prose », « de larges blancs entre ces couplets comme si c'était des strophes en vers ». Le poème en prose se développera au cours du XIXème siècle (cf. BAUDELAIRE, Petits poèmes en prose, 1855) et au XXème siècle. Mais la forme est difficile à définir. Le texte choisit la prose, qui

v Le vent froid de la nuit Le vent froid de la nuit est un poème en prose qui est le récit d’une attente, comme le laissent la première et dernière phrase du texte : Je l’attendais ;…et soudain, elle était là. I) Des lieux magique et inquiétant Deux lieux sont évoqués, un pavillon de chasse et le paysage extérieur. -Inquiétude : _A l’extérieur (lieu peut praticable, obscure) Ex : rivière morte lac de glace Associer a l’idée de mort (métaphores et comparaisons) Ex : froissement de

Au sens restreint, la poésie désigne la poésie lyrique, comme le suggère fortement le corpus lui-même, c’est-à-dire l’expression personnelle de sentiments, voire d’idées ou de sensations sous une forme versifiée ou dans le cadre de poèmes en prose. Mais dans cette citation, Valéry semble désigner sous ce terme l’art du langage, que l’on appelle aujourd’hui littérature. Le langage est alors employé dans une intention esthétique, il n’est pas un instrument de communication. La dissertation

SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSM- on rêve familier est un sonnet de Paul Verlaine paru en 1866 dans le recueil Poèmes saturniens. La dame de carreau est un poème en prose de Paul Eluard, paru en 1926 dans Les dessous d'une vie. J'aitant rêvé de toi est un autre poème en prose publié en 1930 dans le recueil Corps et bien de Robert Desnos. Enfin, Tant est un poème en prose de Claude Roy, dépourvu de ponctuation, paru en 1987 dansLe voyage d'automne. Tout les rapproche : l'image de la femme aimée qu'ils véhiculent

quatre textes du corpus ne sont pas de la même époque. Les trois premiers, ''Le Pou'', ''Le crapaud'', ''Le peigne'' datent respectivement de 1869, 1873 et 1887. Le suivant, ''Le cageot'', paraît lui en 1942. Les quatre textes sont des poèmes écrits en prose ou en vers. Leur titre se compose d'un déterminent défini et d'un nom. Les sujets choisis par les poètes n'ont en rien l'air poétique. D'un objet de la vie quotidienne à un animal laid ou repoussant, ces thèmes sont a-poétiques. La provocation ce trouve

la strophe|distique|tercet|quatrain|quintil|sizain| Nombre de syllabe|5|6|7|8|10|12| Nom du vers|pentasyllabe|hexasyllabe|heptasyllabe|octosyllabe|décasyllabe|alexandrin| 7.Une forme poétique Une forme poétique fixe impose un « cadre » au poème, c'est-à-dire un nombre ou un type de strophes particuliers, un nombre de syllabes défini par vers... Nous pouvons distinguer trois formes poétiques fixes les plus courantes : Le sonnet La forme du sonnet est d'origine italienne. Cette forme s'impose

comme à une personne, elle semble être la destinataire du poème, cf l’utilisation de la deuxième personne désignant la chevelure : « tes profondeurs, ton parfum, fortes tresses soyez la houle qui m’enlève, tu contiens mer d’ébène un éblouissant rêve , cheveux bleus (…) vous me rendez l’azur du ciel immense et rond ». Ce n’est qu’à la fin du poème (dans ta crinière lourde) que la deuxième personne s’adresse à la femme : tout au long du poème la chevelure semble se substituer à la femme dans l’adoration

«Alchimie du verbe», Arthur RIMBAUD => Poème étudié : A moi. L’histoire d’une de mes folies. Depuis longtemps je me vantais de posséder tous les paysages possibles, et trouvais dérisoires les célébrités de la peinture et de la poésie moderne. J’aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures popu- -laires ; la littérature démodée, latin d’église, livres éro- -tiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits

Dieu. 2- Mais un génie malheureux « son tronc douloureux », « comme un soldat qui veut mourir debout » « gouffres amers », « blessures, entailles, plaies » La strophe 3 est composé d’une allitération : répétition de la consonne « s » Le poème explique une souffrance morale et physique : « maladroit et honteux », « comique et laid », « agace son bec avec un brûle-gueule » 3- Un poète maudit par la société Le poète est dans la solitude due à l’incompréhension de la société. « on