Le Preteur En Dernier Ressort

social - Le « preteur » : organise la procedure judiciaire , traite les litiges entre citoyen romain designe le juge mais ‘nen sont pas., ils sont aussi appeler preteur urbain a partir de 242 av jc date qui voit naitre le preteur « peregrin » (etranger). En effet les institutions prevu pour toute cité romaine doivent evolué avec l’expension territorial or comment traité les nombreux litige entre citoyen romian et habitant des territoires conquis ou meme entre peregrin. Ce preteur est titulaire

peuvent remplacer le commerce de marchandises. Selon lui, la rémunération du capital étant par principe moins élevée dans le pays faiblement doté en capital, il va s’opérer un mouvement abondant de capitaux vers le pays où le capital est rare. Ce dernier va alors produire plus de biens qu’il importait auparavant, les investissements se substituant aux importations, c’est l’hypothèse de la délocalisation. 2 L’asymétrie de l’information sur les marchés financiers Les divergences

du système européen de banque centrale (BCE ou SEBC) depuis la mise en place de l’euro (01/01/99) Elle à dorénavant pour mission de : • refinancer les banques commerciales quand elles ont besoin de liquidités et même de jouer le rôle de prêteur « en dernier ressort » quand le crédit s’effondre, • orienter la fixation des taux d’intérêt • veiller sur la parité extérieure de la devise. Le tout en veillant strictement au maintien du pouvoir d’achat de la monnaie par la lutte contre l’inflation Une orientation

par son émetteur. Mais la détermination du prix dépend aussi de ce que chacun anticipe quant à la confiance des autres accordée à cette promesse. Chacun raisonnant de la sorte. Pour peu que les informations ne soient pas bien partagées (entre le prêteur et l’emprunteur, l’actionnaire et le management, ou entre les acteurs de marchés euxmêmes) et que le futur soit difficilement probabilisable, ces asymétries d’informations et cette incertitude fondamentale favorisent le mimétisme des acteurs. Il est

encore « l’équilibre de panique ») est socialement inefficient. Et pour bloquer son déroulement ou éviter qu’il se manifeste, il est nécessaire de concevoir un système d’assurance des dépôts ou plus encore de solliciter l’intervention d’un prêteur en dernier ressort. Or on sait que tout système 1 Cf. Bryan (1989). Fama (1985) a été le premier à invoquer cet argument qui a été repris et étayé empiriquement par diverses publications. 3 Cf. Gatev et Strahan (2006). 2 2 d’assurance (surtout lorsque

difficile à mettre en place * Mettre en place un prêteur international en dernier ressort. Auj c’est le rôle des Banques Centrales, mais cette fonction n’est assurée pour l’instant qu’au niveau des Etats-nations. Au niveau international cette question soulève plusieurs difficultés en terme de transfert de souveraineté et d’aléa moral lié à cette intervention. Exprimé en termes humoristiques on dira que la spéculation avec prêteur en dernier ressort est du type «  face je gagne, pile tu perds »

de ce pays par des émetteurs étrangers (on parle d’eurobonds). Selon Benjamin Cohen, deux principaux groupes de facteurs peuvent expliquer le choix d’une ou de plusieurs monnaies d’émission, dépendamment des anticipations des parties concernées (prêteurs, emprunteurs). Le premier groupe est lié à un contexte d’incertitude dans lequel les intervenants des marchés financiers ont des degrés d’aversion au risque différents, et n’ont pas les mêmes anticipations. Le second groupe correspond à un contexte

obligatoire n’a , d’ailleurs, été modifié que 2 fois depuis 1980 avec comme dernier changement une diminution du taux en 1992. (BENTAGLIO, G. et GUIDONI, G., (2009)) Discount Window Comme deuxième instrument potentiellement utilisable, il y a la « discount window » qui est un instrument de prévention de crise plus que de sortie de crise. Celle -ci donne à la FED la possibilité de devenir prêteur en dernier ressort via des fenêtres d’escomptes afin d’éviter la faillite de certaines institutions

cette action (division, ordre, classification, plan, énumération » ( Vocabulaire juridique de Gérard Cornu). Un prêt est un contrat par lequel une des parties, le prêteur remet une chose à l’autre partie, l’emprunteur, afin qu’il s’en serve à charge de restitution. Le prêt à usage ou commodat est un contrat par lequel le prêteur met, sans contrepartie, une chose non-consomptible par le premier usage, à la disposition de l’emprunteur pour qu’il s’en serve, à charge de la restituer après (article

imposés par les banques s’élèvent trop. Les conclusions de Keynes sont en accord avec celles de Wicksel, et il ajoute que le choix d'investir et de prêter dépendent respectivement de la confiance qu’a l'investisseur dans l'avenir et de celle que le prêteur a dans l'investisseur, et qu'une baisse des taux d'intérêt trop forte peut avoir l’effet inverse de l'effet escompté : les investisseur préfèreront thésauriser cet argent acquis facilement pour profiter plus tard d'un taux d'intérêt plus élevé. Selon