Le Père Goriot Au Théatre Des Italiens

AGES Introduction Language Literature Its diffusion Authors Hagiography The chanson de geste Lyric poetry to Rutebeuf Romance Comic realism Le Roman de Renard The fabliau The literature of devotion, moral reflection and information Learning and ideas Theatre Later lyric poetry Fifteenth-century ‘modernism’ Chartier Charles d’Orléans The anti-courtly reaction ‘Rhétoriqueurs’ Villon Conclusion xxii 1 1 2 2 3 4 6 7 10 12 17 17 18 19 22 23 25 26 27 27 28 29 29 30 vi 2 CONTENTS THE RENAISSANCE

fiction(s) chez Colette», thèse de doctorat, 1986, viii, 458 p. Dir. : Monique Bosco. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1986 v.010; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1986 v.010; Microfilm; CÉTUQ. Alonzo, Anne-Marie, «Problèmes pratiques de l’adaptation, du roman au théâtre : Ravages de Violette Leduc», mémoire de maîtrise, 1978, iv, 377 p. Dir. : Monique Bosco. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1978 v.009; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1978 v.009; Microfilm; CÉTUQ. Amesse, Fernand, «Étude de l’image poétique de la femme dans

voulu signifier l’éloignement de l’espace colonial où se trouve de Valen. Cet éloignement accentue le drame qui va s’abattre sur la famille de l’officier (la mort de sa femme et l’errance de sa petite fille) en désactivant la protection masculine du père. Par conséquent, cette séquence ne prétend, en aucun cas, dépeindre l’univers colonial mais le représenter uniquement comme un lieu d’exil et une source de souffrance. Cependant, cette scène est aussi un exemple des plus significatifs quant

SALIBA-CHALHOUB qui a supervisé mon travail. Sa direction minutieuse et exigeante, sa patience et sa bienveillance, ses encouragements et ses conseils m’ont permis de mener à bien ma thèse. Je voudrais par ailleurs exprimer toute ma gratitude envers le Père Naoum ATTALAH et Madame Edmée CRIVELLI pour leur précieuse aide et l’attention portée à mes études depuis plusieurs années. Enfin, ce travail doit énormément à mes parents et à mon mari envers qui j’ai une reconnaissance toute spéciale. Leurs encouragements

donnés’… Le père de Hugo était général de l’Empire. En Espagne, le soir d’une bataille, à cheval, suivi d’un seul hussard, il parcourt le champ où gisent les morts. Cependant il entend un faible bruit : un Espagnol de l’armée en déroute qui se traînait sanglant sur le bord de la route et suppliait : ‘à boire, à boire par pitié’. Le général s’approche, sort sa gourde. Alors l’Espagnol lui tire un coup de feu qui passe si près qu’il faillit le tuer. ‘Donne-lui tout de même à boire’, dit mon père. Il faut

 Le Père Goriot, La Cousine Bette, Colomba,  Le Rouge et le Noir, Mademoiselle de Maupin, Notre­Dame de Paris,  Salammbô,  Madame  Bovary,  Adolphe,  M.  de  Camors,  L'Assommoir,  Sapho, etc., ose encore écrire : « Ceci est un roman et cela n'en est pas  un  »,  me  paraît  doué  d'une  perspicacité  qui  ressemble  fort  à  de  l'incompétence. 2  Généralement  ce  critique  entend  par  roman  une  aventure  plus  ou  moins vraisemblable, arrangée à la façon d'une pièce de théâtre en trois 

c’est-à-dire ? K.p. : J’ai l’impression que, quand je commence à écrire, j’ouvre grand les bras et la vie m’offre pleins de cadeaux. Elle m’offre des personnages, des histoires, des décors. Le personnage de Becca, par exemple, est né un soir en sortant du théâtre. Il devait être minuit et demi, c’était à Paris, je cherchais un taxi. J’ai vu une forme sur un fauteuil roulant et je me suis dit : « C’est quoi ? » C’était bizarre dans la nuit, au milieu des feuilles mortes… On était en hiver, je me suis approchée

(1956) 68 3 *Colombine (Paul Verlaine) (1956) 72 3 82 Le testament (1956)n 74 3 86 Les croquants (1956)n 76 4 90 Je me suis fait tout petit (1956)n 79 4 114 Les philistins (Jean Richepin) (1957)n 80 4 *102 Au bois de mon coeur (1957) 81 4 *104 Grand-père (1957) 84 4 *110 Celui qui a mal tourné (1957) 86 4 112 Le vin (1957)n 88 4 *92 L'amandier (1957) 89 4 *94 Oncle Archibald (1957) 92 4 98 La marche nuptiale (1957)n 94 4 100 Les lilas (1957)n 96 5 118 Le vieux Léon (1958)n 100 5 *120 La ronde des jurons

prétend que le conditionnement est la meilleure façon d'étudier l'apprentissage. En effet, Watson explique le comportement animal par la connexion S.-R. et il extrapole cette explication à l'être humain. Somme toute, Watson est considéré comme le père du béhaviorisme, car une telle rigueur lui est attribué et un impact tel en est alors ressorti.

On y voyait un traître satanique, damné et dominé par son mauvais génie, qui ne pouvait témoigner son amour à la Belle qu'en la persécutant. Il meurt sous la dent des bêtes, sans avoir pu se repentir (C.B.): on songera à ces "quelques décors de théâtre, où je trouve artistement exprimés et tragiquement concentrés mes rêves les plus chers" (Salon de 1859, Pl. II, p. 668). -Le titre, à rapprocher de L'Irrémédiable (poème LXXXIV), emploie un adjectif qui reparaît dans Un mangeur d'opium (Pl. I, p. 507):