Le Père Goriot La Moral

(chez Balzac il s’agit de l’amour filiale car les filles du père Goriot sont ingrates ; et chez Maupassant il s’agit de l’opportunisme exacerber de George Duroy qui se marie par pur intérêt tout en pensant a ses ex conquêtes). Le point de vue chez Maupassant est interne car il s’agit de la pensée de Bel Ami et dans le texte de Balzac il s’agit du point de vue de madame de Beauséant qui adopte de plus un texte ironique vis a vis du père Goriot. Ces quatre auteurs nous donnent une vision critique de

personnage passe avant tout par leur description, très détaillé parfois d’une minutie extrême. Balzac est le maitre du genre, presque tout ces roman sont caractérisés par cette analyse physique et moral scrupuleuse de ses personnages. Dans Le Père Goriot, Balzac décrit la décrépitude autant physique, moral que sociale du personnage au fur et à mesure de l’acensions de sa résidence dans les étages de l’immeuble. Cette déchéance est très semblable à celle de la vie et de la vieillesse commune à chaque

d’étude officiel : le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours. Titre de la séquence : Le roman en prise sur les réalités sociales : le réalisme romanesque d’hier et d’aujourd’hui. (Rappel : cette séquence s’appuie aussi sur l’étude du Père Goriot, de Balzac, dont sont tirés 2 extraits pour l’oral du Bac, ainsi que sur 2 extraits de L’Assommoir d’Emile Zola.) INTRO Corniche Kennedy est un roman réaliste contemporain, écrit par Maylis de Kerangal, qui raconte l’histoire d’un groupe d’adolescents

sélective. Idem pour L’Assommoir : les paroles de Coupeau, son langage vulgaire, les pensées de Gervaise devant l’alambic, les paroles de Nana à son père, les racontars de la troupe des repasseuses dans l’atelier de Gervaise, sont bien une description d’un Paris populaire, plein de petits défauts, donc on comprend que Zola a voulu nous faire sentir la misère morale et sociale d’un quartier, la Goutte d’Or. On élargit sur Hugo, Le dernier jour d’un condamné, et le personnage est porteur d’une idéologie contraire

réaliste et précis. Par exemple, dans Comment on meurt de Zola, celui-ci décrit très précisément comment est la pièce où le garçon malade de la quatrième histoire repose. On y retrouve une ambiance sombre, lugubre, humide et sale. De même, dans Le père Goriot, dès le début du livre, la description de la pension Vauquer permet de bien ressentir l’ambiance sordide qui y règne. 2ème partie : Même si l’auteur cherche à faire des descriptions très précises de la réalité, un roman reste par définition

s’attacher pour se représenter les scènes et les personnages et ainsi s’imprégner des l’ambiances du récit. Sans description, le lecteur serait perdu, il passerait à côté de nombreuses choses, et détails important. Par exemple, dans le roman Le père Goriot de Honoré de Balzac, toute la première partie du récit est consacrée à la description de la pension Vauquer. Cela permet, dès le début au lecteur de pouvoir se faire une idée de l’histoire dans laquelle il s’aventure, il se construit ainsi une image

font preuve de qualités morales exceptionnelles. Ou : un romancier peut doter ses héros de vertus ou de vices qui dépassent l’humanité ordinaire. Ou : c’est parfois la perfection ou la monstruosité morale qui donne au personnage son originalité. Certains personnages de romans peuvent apparaître comme « singuliers » par leur exception morale (dans le bien ou dans le mal…). [Exemple] L’intégrité morale du commissaire Maigret (Simenon). D’autres fois, c’est la monstruosité morale qui donne au personnage

de la grande association mystique formée entre les ouvriers de la chrétienté pour rebâtir le temple de Jérusalem », espèce de franc-maçonnerie qui exerce une puissance qui ne respecte ni l'ordre social tel qu'il est juridiquement constitué, ni la morale naturelle ou religieuse. Ces Dévorants interviennent dans l'action de manière quasiment diabolique d'une part pour assurer la mort d'un des personnages (Auguste Maulincour) et d'autre part pour exaucer le voeu, interdit par la loi, du veuf de l'héroïne

Barry Lyndon , Stanley Kubrick 1. Le scénario du film est-il original ? Le scénario n'a rien d'original au sens où il s'agit d 'une biographie classique, d'un personnage, de sa jeunesse à la fin de sa vie. Barry Lyndon est un film adapté d'un livre intitulé : « mémoires de Barry Lindon » de William Makepeace Thackeray. Donc ce scénario n'a rien d'original car ce type de narration est assez courante que ce soit dans la littérature ou le

Les termes du sujet : on précisera l'opposition entre "vertueux" (le héros qui incarne les forces du Bien) et "odieux" (celui que l'on hait pour son indignité morale, "le méchant"). La position de la problématique : « On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments », disait André Gide. Le fait est qu'une œuvre tire souvent sa saveur d'une exploration du Mal, à côté de laquelle la vertu paraît parfois fade et convenue. A quoi attribuer cette fascination du lecteur et du spectateur