Le Père Goriot Première Partie

décide de regrouper l’ensemble de ses romans en une œuvre : la Comédie Humaine. Balzac va se servir de ses romans pour faire passer des messages en critiquant et en dénonçant sa société,« Le Père Goriot ». A travers ce roman, Balzac fait une analyse, une critique très précise de la société. L’extrait du Père Goriot que nous allons étudier est le discours de Mme de Bauséant. Ce passage raconte comment Madame de Beauséant va faire entré Rastignac dans sa société. Tout d’abord, nous allons étudier comment

et des états d’âme. Balzac était une génie à part. Il montre des choses réelles qui se passent à la vue de tous. Il critiquait son époque et écrivait des romans y compris Eugénie Grandet, qui contenaient les pensées du réalisme. On le nommait le père du réalisme. « Balzac est faciné par la quantité d’énergie qui explose dans la société. Il s’attache à montrer aussi l’inhumaine brutalité d’une société où l’ordre est toujours un simulacre d’ordre 7 ». Le roman balzacien est avant tout

suis né dans votre pays; monsieur que vous voyez est mon maître, et bien loin d'être jésuite, il vient de tuer un jésuite, il en porte les dépouilles; voilà le sujet de votre méprise. Pour vérifier ce que je vous dis, prenez sa robe, portez-la à la première barrière du royaume de los padres; informez-vous si mon maître n'a pas tué un officier jésuite. Il vous faudra peu de temps; vous pourrez toujours nous manger, si vous trouvez que je vous ai menti. Mais, si je vous ai dit la vérité, vous connaissez

Premières ES et S Avril 2010 LE ROMAN ET SES PERSONNAGES : vision de l’homme et du monde [pic] I.Evolution du genre romanesque  Avant de désigner un genre littéraire, le roman fait référence à la langue romane (l’ancien français) parlée au Moyen Age par opposition à la langue savante qu’est le latin ; les premiers romans au XII° siècle, sont des écrits dans cette langue. Difficile

exemple, dans le Père Goriot écrit par Honoré De Balzac le personnage éponyme livre un amour inconditionnel à ses filles alors que celles-ci le renie. Il finit ruiné pour elles mais fait-il tout cela pour ses filles ou pour lui-même ? Que peut-il cacher ? Nous pouvons imaginer que le Père Goriot comble ses filles pour pallier le manque d’amour dû au décès précoce de sa femme. De plus, il veut peut-être donner et avoir une meilleure image de lui-même en se faisant passer pour un père modèle et prêt

Biographie Gustave Flaubert est un écrivain français, né à Rouen le 12 décembre 18211 et mort à Canteleu, au hameau de Croisset, le 8 mai 1880. Le jeune Gustave a une éducation assez monotone. Il grandit dans un pavillon annexé à l'hôpital, où son père dissèque des cadavres. Dès l'enfance, il connut la monotonie de la vie en province et s'en souviendra lorsqu'il écrira le roman Madame Bovary en 1857 et Le dictionnaire des idées reçues en 1911. Pour tromper son ennui, il s'adonna très tôt à la littérature

ressemblance soit par contradiction, ensuite parce que les discours sont un moyen de faire tenir un certain avis par un type de personnage dans le roman. Pour conclure on constatera que c’est bien proche de la réalité. Arguments pour une première partie de présentation du problème : Le lecteur connaît les pensées du personnage, qui est un porte-parole de l’auteur. Cela vient du réalisme : les personnages sont inventés par prélèvement dans la réalité environnante, parce que cela permet une meilleure

littéraire Naissance 20 mai 1799 Tours, Première République Décès 18 août 1850 (à 51 ans) Paris, Deuxième République Langue d'écriture Français Mouvement réaliste philosophique fantastique romantique Distinctions Chevalier de la Légion d'honneur Fondateur et président de la Société des gens de lettres Œuvres principales La Comédie humaine (cycle romanesque), (1831-1850) Les Chouans, 1829 La Peau de chagrin, 1831 Eugénie Grandet, 1833 Le Père Goriot, 1835 Le Colonel Chabert, 1835 Le

| |Eugénie Grandet, 1833 | |Le Père Goriot, 1835 | |Le Colonel Chabert, 1835

dans le corridor 1, il aperçut une ligne de lumière tracée au bas de la porte du père Goriot. Eugène craignit que son voisin ne se trouvât indisposé, il approcha son œil de la serrure, regarda dans la chambre, et vit le vieillard occupé de travaux qui lui parurent trop criminels pour qu’il ne crût pas rendre service à la société en examinant bien ce que machinait 2 nuitamment le soidisant vermicellier. Le père Goriot, qui sans doute avait attaché sur la barre d’une table renversée un plat et une espèce