Le Radeau De La Méduse

| | |– Hermès, messager des dieux, va dire à la Nymphe aux cheveux bouclés que nous avons décrété le retour d’Ulysse. Qu’elle le laisse partir ! Mais aucun | | |Immortel, aucun mortel ne l’accompagnera. Seul sur un radeau et subissant de nouvelles douleurs, il atteindra au bout de vingt jours la fertile Schérie, | | |terre des Phéaciens qui descendent des dieux. Ceux-ci l’honoreront comme un dieu et le ramèneront dans sa patrie. Ils le couvriront de plus de

repris plusieurs fois dans les documents officiels français comme les billets en francs ou les timbres de poste. Cette Liberté devient la République qui s'appellera Marianne. 4) Œuvres d'ouverture -Autoportrait – Eugène Delacroix -« Le radeau de la méduse » – Géricault. Delacroix emprunte à ce tableau les cadavres allongés, le corps nu en chemise, le bas en accordéon, le torse coupé. Dans son tableau on retrouve la même source d’éclairage venant de la gauche, le même contraste fort et la même

est plongée dans le noir par la domination Française. Les couleurs et les palettes utilisées dans le tableau de Francisco de Goya se rapprochent beaucoup d’un autre tableau crée dans la période du Romantisme : « Le radeau de la Méduse, Géricault ».La période romantique étant caractérisée par des peintures plutôt sombres, c’est d’ailleurs un courant qui se développe en opposition au néoclassicisme (1760-1800). La caractéristique de la peinture à l’huile étant une peinture

mort comme l’illustre le tableau de Théodore Géricault Étude de pieds et de main (cf. fiche d’œuvre). Cependant, il existe des œuvres qui montrent ces artistes en « hommes de leur temps » car l’histoire contemporaine marque leurs travaux. Le radeau de la Méduse (1819) de Géricault est vu par les journaux royalistes de l’époque comme une critique politique. Ce navire, envoyé au Sénégal par la France, fait naufrage le 2 juillet 1816 et parmi les cent quarante-neuf passagés seulement quinze sont retrouvés

gothique, le goût pour les paysages d'un Orient poétisé et pour l'évocation de la vie intérieure, l'importance accordée au rêve et à l'imagination créatrice, et surtout un intérêt pour l'individu, perçu comme origine de la représentation. Le radeau de la méduse de Théodore Géricault ********** Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Romantisme http://arcaneslyriques.centerblog.net/2305574-Le-Romantisme-litteraire http://www.site-magister.com/romantis.htm http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Caspar_David_Friedrich_032

comme l’illustre le tableau de Théodore Géricault Étude de pieds et de main (cf. fiche d’œuvre). Cependant, il existe des œuvres qui montrent ces artistes en « hommes de leur temps » car l’histoire contemporaine marque leurs travaux. Le radeau de la Méduse (1819) de Géricault est vu par les journaux royalistes de l’époque comme une critique politique. Ce navire, envoyé au Sénégal par la France, fait naufrage le 2 juillet 1816 et parmi les cent quarante-neuf passagés seulement quinze sont retrouvés

ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Les peintres recherchent moins la beauté des figures que l’effet de réalité. Les corps blessés, malades, morts ou souffrant ne répugnent pas aux artistes. Dans Le Radeau de la Méduse, allégorie du drame humain, Géricault s’inspire d’un fait divers tragique et utilise comme certains modèles des cadavres à la morgue. Delacroix, dans La mort de Sardanapale, ajoute au désir romantique de la mort une coloration sadique, celle

napoléonienne, dont la fin dramatique provoque un effondrement moral, au-delà même des frontières françaises. En témoigne le Radeau de la « Méduse » (1817) T. GERICAULT, chef d’œuvre pictural et image allégorique d’une génération à la dérive. Le peintre de 27 ans a immortalisé le calvaire des rares survivants qui ont passé 13 jours sur un radeau de fortune affrontant la faim, la folie, les flots souvent déchaînés de l'océan. A cela s’ajoutent le désenchantement

technique au burin ; technique de l’eau-forte qui est une technique plus souple. Karl Friedrich Schinkel (XVIIIe  XIXe siècles) Ville médiévale au bord d'un fleuve 1820-1850 ou l’apogée du romantisme Théodore Géricault (XIXe siècle) Le Radeau de la Méduse (1819) L’Angleterre et l’Allemagne ne sont plus les pays les plus puissants au niveau romantisme pictural à cette époque, ils cèdent la place à la France. Ce fait s’explique par la situation de tourments sociaux et politiques que connaît ce

qui privilégie le sentiment à la raison et explore des thèmes comme le rêve, le fantastique, le mystère ou encore la mort. On peut aussi dire que Delacroix s’est inspiré pour ce tableau de Géricault le peintre de la très célèbre œuvre le radeau de la méduse.