Le Rat Et L Huitre Commentaire

commentaire composé semi-rédigé de la fable de Jean de La Fontaine Le Rat et l'Huître. Extrait: a. Le mélange des tons. - utilisation notamment du langage burlesque. - utilisation d'un vocabulaire mythique : "Caucase" ; "Thétys" - (...) Sommaire: Introduction I) L'art du récit dans cette fable A. La structure du récit B. La vivacité du récit II) La fantaisie du récit dans la fable A. Le mélange des tons B. La personnification des animaux III) Le Problème de la morale

l’édition « Folioplus classiques »). 2 - Lecture des textes complémentaires suivants : Rémy Belleau, Petites inventions (1556) « L’huître » (v. 29-56) Au Seigneur de Baïf Pierre Larousse, Grand Dictionnaire universel du XIX e siècle (1873) Article « huître » (extrait) Voyez comme elle est béante, Afin de sucer les pleurs De l’Aurore larmoyante Les rousoyantes douceurs, Que de sa couche pourprée Elle bigarre l’entrée Du matin de ses couleurs. Puis sitôt qu’elle est comblée Jusques aux bords pleinement

Folioplus classiques »). 2 - Lecture des textes complémentaires suivants : Rémy Belleau, Petites inventions (1556) « L’huître » (v. 29-56) Au Seigneur de Baïf Pierre Larousse, Grand Dictionnaire universel du XIX e siècle (1873) Article « huître » (extrait) Voyez comme elle est béante, Afin de sucer les pleurs De l’Aurore larmoyante Les rousoyantes douceurs, Que de sa couche pourprée Elle bigarre l’entrée Du matin de ses couleurs. Puis sitôt qu’elle est comblée Jusques aux bords

essence Tout bien découle çà-bas. Pierre Larousse, Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle (1873) Article « huître » (extrait) Si les personnes qui ont un estomac, faible et surchargé de mucosités mangent à jeun, une heure avant leur déjeuner, de huit à douze huîtres, avec une rôtie de pain, elles éprouvent un état de bien-être qui les étonne. Ce qui prouve d’ailleurs que les huîtres sont d’une digestion facile, ce sont les qualités fabuleuses que les gourmets émérites ont pu en absorber. Brillat-Savarin

Hk-al Commentaire composé | Le rat et l’huitre Au XVIIIème siècle la querelle des anciens et des modernes bat son plein, les plus grands s’affrontent pour opérer des changements, ou non, dans la poésie. Les anciens comme Boileau ou Racine qui veulent garder une poésie qui imite les poètes de l’antiquité. Les modernes menés par Perrault qui prônaient les formes artistiques nouvelles et l’innovation. A la fois traditionnelle et novatrice la poésie de La Fontaine est une bonne façon

réalisme/naturalisme/Maupassant. | | |Distribution de la biographie de Maupassant. | | |Extrait n° 2 : les huîtres d’Ostende | | |Points étudiés : les figures de style, les discours rapportés, Duroy bon orateur + autre remarques. | |S. 4

entorse, le vers 2 « Tout l’été », qui compte 3 syllabes et qui produit le double effet de prolonger le vers précédent (qui peut se lire comme un décasyllabe) et de mettre en valeur la saison complète passée à chanter. Aucun mot superflu, aucun commentaire, le constat brutal nous éclaire sur l’insouciance absolue de la Cigale. 8. Quel est le rythme des quatre premiers vers de la fable 16 ? L’accablement du Bûcheron (par le poids du fagot comme par le grand âge) se traduit par le rythme lourd et pesant

tout d’abord au restaurant comme nous l’avions prévu. Claude avait réservé une table dans une brasserie spécialisée en fruits de mer. Je n’en avais jamais goûté. Il faut dire que l’Auvergne est loin de la mer. J’appréciais tout particulièrement les huîtres au goût de sel et de vase. Au dessert, Claude se mit à genoux et cérémonieusement me demanda ma main, me présentant la petite boîte qu’il tenait dans sa poche. Je l’ouvris, pleurant de joie, et découvris une bague en or sertie d’un petit rubis entourée

outrecuidants. Au point de nous croire plus malins que l'intelligence supérieure qui nous a créés. Nous avons manifestement quelque chose à apprendre des animaux sauvages. Je fis part de cette observation à un ami très proche, Ken Pimblett, et il eut ce commentaire : « Toi, tu as lu quelque chose sur l'hygiénisme. » Je lui avouai que je n'en avais jamais entendu parler, tout en me demandant quel rapport le fait de prendre son bain, de se laver les dents et de changer de sous-vêtements de temps à autre pouvait

phrases au présent et au futur. Le « je personnage » intervient des lignes 18 à 24 (« j’étais seul », « je me laissais descendre », « j’avais la joie amère », « je rêvais »), entrecoupé d’interventions du « je narrateur ». On voit donc que le commentaire rétrospectif prend le pas sur la narration des faits passés. 5. Dans les cinq premières lignes, le narrateur affirme qu’il renonce à l’écriture, avec l’image hyperbolique de la mort (« je meurs à la Lettre ») avant de changer d’opinion à la ligne