Le Rationalisme Appliqué Descartes

x 11’’) Édition complétée le 19 novembre 2005 à Chicoutimi, Ville de Saguenay, province de Québec, Canada. Table des matières Introduction 1. Définition de la science 2. Principaux courants épistémologiques 2.1. Rationalisme (17e siècle) 2.2. Empirisme (18e siècle) 2.3. Positivisme (19e siècle) 2.4. Constructivisme (20e siècle) 2.5. Réalisme (20e siècle) 2.6. Résumé des principaux courants épistémologiques 3. Convergence historique de la classification proposée

Platon, il faudrait pouvoir se dtacher du sensible (donc du corps) pour pouvoir atteindre une vrit intelligible. Le critre de lvidence rationnelle Descartes (franais, XVIIme) veut fonder le savoir, trouver la vrit en trouvant un critre du vrai. Sa mthode est nouvelle au lieu de prendre des trucs anciens et dy rajouter dautres trucs (cumulatif), Descartes se dbarrasse de tout, doute de tout et regarde ce quil reste (( table rase). Tout ce qui peut tre remis en cause nest pas seulement incertain mais

Soutient l’héliocentrique. Publie des livres, va être critiqué et va se rétracter lors de son accusation. Il va payer une amende. * * ** Descartes (+ grand moderne) : Discours de la méthode. Révolution modernité et de la pensée. * * Début modernité : actuel, rejet traditions et dogmes. Rupture du passé, mais veut y retourner. * Descartes (1596-1650) Le plus illustre des philosophes 2 écrits : discours de la méthode, les méditations métaphysiques But : trouver une vérité

littérature il semble plus difficile de dépasser les anciens car l’imagination évolue moins vite que la raison (car imagination = nombre de règles restreintes). • Dans le domaine des sciences  Physique des anciens n’éblouie plus car contredite (Descartes X Aristote)  démarche nécessaire au progrès : 1. Commettre des erreurs 2. S’en rendre compte grâce aux expériences. /!\ Nombre d’erreurs en physique est infini  vérité = ce qui reste une fois que l’on a éliminé les autres erreurs.  En sciences

Voir aussi: Discuter:Mythologie/État des articles Hello Buzz, On nomme d'ordinaire "mythologie" les récits sacrés des religions auxquelles plus personne ne croit plus C'est ce que m'a enseigné mon père quand j'étais très petite. Je vois que tu appliques ce principe. En effet, je ne vois pas "mythologie chrétienne", "mythologie juive", "mythologie musulmane", non plus que "mythologie occidentale". Veux-tu nous dire que les religions que je viens de citer (dont celle des "droits de l'homme" pour

positivisme inscrite dans la médecine moderne. La connaissance de la vie est son deuxième œuvre qui a été publié en 1952, et réédité en 1965. Il s’interroge sur des questions et des difficultés de la biologie en tant que science, selon lui on ne peut pas appliquer simplement aux organismes les théories scientifiques, les modèles mécanistes ou chimistes. La texte de machine et organisme se situe dans la partie de l’analyse philosophique de cette deuxième ouvrage. Ici il traite l’irréductivité de l’organisme

divergents. Elle suppose une gestion nécessaire du pouvoir pour faire appliquer la loi à tous et pour tous. Chacun détient donc une partie de ce pouvoir, la politique est en chacun de nous et nous devons l’exprimer pour que s’organise et soit validée la convergence des intérêts. La solidarité ainsi obtenue ne doit pas être confondu avec la générosité qui est une vertu morale et donc désintéressée. La morale ne dit pas comment appliquer le bien, l’équité, la justice ; la politique, elle, propose une stratégie

elles font figure de modèle d'accès à la vérité, car elles instaurent un ordre et une mesure : elles introduisent du rationnel dans l'intuitif et de l'intelligible dans le sensible. Platon, Descartes, Spinoza et Leibniz en font l'idéal de la science, le chemin privilégié vers la vérité et la philosophie. Descartes a ainsi l'idée de faire une « mathématique universelle » : le raisonnement logique est applicable quels que soient les objets de connaissance, et il permet donc à l'esprit d'accéder à toutes

sur la raison. On y a parfois vu l'influence du rationalisme de Descartes mais il s'agit plutôt d'un intérêt pour la lucidité et l'analyse. Les héros et héroïnes classiques ne sont en général pas rationnels mais leurs passions, souvent violentes, sont analysées par l'écriture qui les rend intelligibles[5]. Le classicisme est donc davantage influencé par une volonté de soumettre le déraisonnable à l'ordre de la raison que par un véritable rationalisme qui inspirera plus tard les philosophes des Lumières

ce qu’on sait. Descartes (XVII): Quel est le critère qui va nous permettre de distinguer ce qu’on sait et ce qu’on ne sait pas ? Dans les méditations métaphysiques, Je vais douter de tout et je vais me demander ce que je sais certainement. Doute méthodique : je doute pas réellement de tout mais je me sert du doute comme méthode pour savoir de quoi je peux être absolument certain. La pensée : la conscience. JE PENSE DONC JE SUIS. Grâce au doute méthodique, Descartes, remet en question