Le Rationalisme Appliqué Descartes

réclamé le respect de la nature et la dignité humaine et ont condamné l'absolutisme. Toute la littérature du siècle des Lumières devient l'expression des vœux du peuple. Ces idées ont été dues principalement à la diffusion du rationalisme (la doctrine philosophique de Descartes qui enseignait que c'est par la raison qu'on pouvait distinguer la vérité de l'erreur). Ces idées ont voulu étudier les grands problèmes sociaux. Le XVIIIème siècle est une époque de réflexion, de combat contre les préjugés

sous un point de vue social (de quelle ambiance vient-il?)  À continuation une analyse des courantes à travers le temps. ANCRAGE HISTORIQUE ET DÉVELOPPEMENT DES COURANTS DE PENSÉE DE L’APPRENTISSAGE Rationalisme Avant JC 500-400 16e et 17e Siècles Socrate Platon Cartésianisme Descartes Empirisme Aristote Empirisme anglais Locke Hume SUITE 2 19e siècle (fin) Structuralisme Empirisme logique Wundt Titchener Comte Bernard Mentalisme 20e siècle (début) 20e Siècle (milieu) Psychanalys

quotidien ne douterait que l'expression "réglons nos montres" soit pleinement légitime. Faut-il reprocher à la science de se perdre dans une abstraction aveugle à l'expérience concrète ? Faut-il réamorcer les défiances des empiristes contre un rationalisme pas trop cartésien ? La science peut- elle sans dommages s'éloigner de l'expérience empirique immédiate et manipuler des objets de plus en plus abstraits, de moins en moins descriptibles par des concepts autres que mathématiques ? C'est ce constat

Université Paris NanterreTD Épistémologie des Sciences SocialesAnnée 2021-2022 Groupe 04Étudiant : José Scatolão Filho / 40014783Commentaire de texte Paul Lafargue, « Le problème de la connaissance », Revue des Idées, 15 décembre 1910. IntroductionComment connaît-on ? Cette question très répandue dans le milieu scientifique fait partie de l’un des débats importants qui essaient de comprendre comment peut l’homme aboutir à la connaissance scientifique

Présentation (plus ou moins) générale de l’œuvre : Les Méditations métaphysiques (ou Méditations sur la philosophie première) est l'œuvre philosophique majeure de René Descartes. Du point de vue de l'histoire de la philosophie, elles constituent l'un des écrits les plus importants et influents du rationalisme classique, c'est à dire de la doctrine qui pose la raison discursive, déductive comme seule source possible de toute connaissance réelle. Ces méditations sont une expérience philosophique

et valable universellement. Logos a donné en français langage et aussi logique. Il y a ainsi une liaison étroite entre le langage et la raison et l’on peut dire que c’est parce que l’homme a une raison qu’il a un langage. Telle est la thèse de Descartes qui, se demandant ce qui permet de distinguer l’homme de l’animal, répond que c’est l’emploi de signes, de mots utilisés de telle façon qu’ils conviennent à la situation. Tandis que l’animal utilise, par pur conditionnement, des mots ou des signes

vérité du fait ; mais enfin nous éviterons le ridicule d'avoir trouvé la cause de ce qui n'est point » → commence par un constat. Objection qu'on pourrait lui faire. Il explique que les Hommes n'agissent pas de cette manière (par gains de temps → Descarte : «  par précipitation ») « bien lente » (l2), « cours à la cause », « passe par dessus » → aboutissent au faux, à l'erreur et au ridicule. b- Le récit (Ligne 5 à 20) Ligne 5 à 6 : Fontenelle annonce un exemple présenté comme historique. L'événement

querelle des Anciens et des Modernes remet en question les valeurs établies. Au début du XVIIIe siècle, le rôle de Bayle et de Fontenelle fut capital dans l'avènement du mouvement philosophique. Pierre Bayle (1647-1706) est un disciple de Descartes. Il applique à tous les domaines l'esprit critique, principale leçon du Discours de la méthode. Ainsi, il examine les idées reçues aussi bien dans les sciences que dans la morale et la religion. Citoyen de la « République des idées », il fait la guerre

où Descartes se met à la recherche du « 1er principes de la philosophie » l.22 Au milieu de toute nos incertitudes, Descartes affirme ici que la vérité « je pense donc je suis » , elle peut être considéré comme infaillible et de nature à reconstruire tout l’ordre du savoir (l.20-22). Quelle peut être la portée d’une telle affirmation ? Sur quoi repose son infaillibilité, son caractère « indubitable » ? (L.7) Dans un premier temps (de la l.1 à 7), Descartes explique

réflexe de méfiance à l'égard de tout ce qui est instinctif, primaire et non contrôlé. Auteurs : Nicolas Boileau Pierre Corneille Cyrano De Bergerac Jean de La Bruyère Jean de La Fontaine Molière Blaise Pascal Charles Perrault Jean Racine René Descartes Manifeste : Trois discours sur le poème dramatique de Corneille, la Pratique du théâtre de d'Aubignac, les Réflexions critiques sur la peinture et la poésie de l'abbé du Bos, l'Art poétique de Boileau... 18e siécle, siècle des Lumières