Le Rationalisme Parlementaire

démocratie des parties. Fonctionnement de ces deux modèles: Noyau commun : • élection de représentant diverge selon les deux modèles. Divergence : • Modèle parlementariste : - le cœur de la discussion se fait dans le noyau parlementaire - ce qui se joue au moment des élections, c'est la recherche de quelqu'un en qui j'ai confiance personnelle (sur qui je peut compter). = Edile notable des représentants politiques inscrit dans un territoire. • Modèle de démocratie

la naissance de la première monarchie parlementaire. La vie politique va s'organiser autour de deux partis: les Tories, favorables aux prérogatives royales (auj. les Conservateurs) et les Whigs, plus progressistes, défenseurs des intérêts de la bourgeoisie. Ce changement institutionnel profond prend le nom de Glorieuse révolution car cette transition se fera sans effusion de sang. MONARCHIE ABSOLUE DE DROIT DIVIN DIEU | ROI MONARCHIE PARLEMENTAIRE ANGLAISE Roi & Ministres (P. exécutif

contestation des groupes privilégiés, parlements et noblesse en tête. D'autre part, les idées nouvelles portées par les philosophes des Lumières et les économistes anglais ont pénétré les couches aisées de la population qui réclament une monarchie parlementaire, la rationalisation des institutions et la libéralisation d'un système économique archaïque. La réaction nobiliaire et la crise économique jouent un rôle non négligeable dans l'ébranlement populaire. La période révolutionnaire se termine en 1814-1815

aux citoyens pour qu’ils siégent au tribunal de l’Héliée (tirés au sort), dans le but de mettre tous les citoyens à égalité. Cette institution va dans le sens de la démocratie (en France au XIXe l’on se posa une question de créer une indemnité parlementaire pour permettre au moins aisés de participer à la vie politique.) => l’institution de la misthophorie par Périclès va dans ce sens là. (Le principe du misthos fut institué au V° siècle par Périclès pour indemniser et les bouleutes et les héliastes

des citoyens. Ils se soumettent à leurs propres règles, celles qu’ils ont édictées eux-mêmes. Mais cette conception ne peut-elle pas entrainer des dérives ? Oui, car l’art. 6 prévoit une représentation. On n’est jamais à l’abri d’un despotisme parlementaire. Ceux qui sont censés représenter les citoyens peuvent en effet s’écarter de l’intérêt général. * B)*La fonction de la loi. Les hommes jouissent de droits naturels. Mais l’exercice de cette liberté peut entrer en conflit avec celle d’autrui

philosophes pour gouverner un peuple qui n'est pas prêt. Frédéric II de Prusse (Voltaire) et Tsarine Catherine II de Russie (Diderot) en sont des exemples, qui traduisent le rêve des philosophes de prendre le pouvoir. D'autres prônent la monarchie parlementaire à l'anglaise (Montesquieu), et rares sont ceux comme Rousseau qui sont en faveur de la république. Mais le conflit le plus spectaculaire des philosophes est celui qui oppose Rousseau aux autres encyclopédistes. Il va critiquer jusqu'à l'idée

qui été une démocratie jusqu’en 1997 rétrocédé à la Chine : pouvoir central (Pékin) s’exerce de plus en plus. Les pays de la puissance ont comme héritage l’autoritarisme, ce sont des démocraties fragiles (début : 1990’) Singapour : démocratie parlementaire mais monopolisation du pouvoir par un seul parti depuis 1965. Des fragilités internes. Hiérarchie ? - Les dragons contestent le rôle de pôle éco dominant du Japon - La Chine tente de s’affirmer comme un concurrent éco mais également comme

– FR10 © Cned – Académie en ligne Fin observateur du système judiciaire, il entreprit de le réformer, et composa en 1763 Dei delitti e delle pene (Des délits et des peines), qu’il se décida à publier l’année suivante. Il y appliquait le rationalisme français à la législation pénale. Il dénonçait au nom de l’humanité la torture, la confiscation des biens, l’atrocité des supplices, les peines infamantes et demandait la proportionnalité des peines aux délits, exigeait l’indépendance de la justice

‘séance de flagellation’ lu par le roi en 1766 devant le parlement de Paris. Ce discours est considéré comme le testament de l’absolutisme. Ce discours serait un lit de justice, et on parle de flagellation car le roi a été très autoritaire avec les parlementaires : « Je ne souffrirai pas qu’il se forme en mon royaume une association. La magistrature ne forme point un corps ni un ordre séparé. C’est en ma personne seule que réside la puissance souveraine. C’est à moi seul qu’appartient le pouvoir législatif

décide pour élargir la guerre dans laquelle la France est engagé l’impôt royal appelé la taille et de la faire payer notamment à la ville de Paris, et d’élargir les assemblées mais il va le faire de façon illégale ce qui va entrainer la fronde des parlementaires qui va elle entrainer une fronde des villes et même une fronde royale avec a sa tête Gaston de France (oncle du roi). Condé (Espagne) va vouloir la couronne de France. Cette maladresse de Condé avec l’Espagne va entrainer la défection de ses partisans