Le Recours Au Protectionnisme

possible et diversifie la production au maximum -) favorise l’exportation (désavantage pour le consommateur) et essaye de garder un maximum d’argent dans ses caisses. Le mercantilisme ne s’occupe pas de la politique agricole mais commerciale et le protectionnisme douanier est très fort. Pas de politique agricole Volume des échanges Au 18e siècle, il y a un formidable accroissement du commerce international qui reste, pour l’essentiel, maritime. A la fin du 18e siècle, l’Europe réalise les ¾ de ce commerce

stabilisateur, illustré par les prises de participation dans des institutions bancaires et financières fragilisées par la crise des subprime, ou la nécessité d’établir quelques règles simples, des « bonnes pratiques », pour éviter le recours possible à des formes de protectionnisme financier. Or, d’autres dimensions de ces fonds pourraient bien être plus fondamentales encore. Ils sont l’émanation de pays en développement ou de pays émergents, ce qui devrait amener à se demander quelle stratégie de développement

la question des effets de la mondialisation sur les économies, notamment sur les économies des pays les plus développés. L’ouverture des économies serait-elle la principale responsable de ces dysfonctionnements ? Faut-il restaurer un certain protectionnisme y compris régional ? Faut-il relocaliser certaines activités sur le territoire national ? Les déséquilibres contemporains de balances des paiements sont-ils soutenables à terme ? Dans un monde de forte instabilité des changes et en l’absence de

de l'OMC Conclusion INTRODUCTION La crise de 1929 a conduit à l’exacerbation des égoïsmes nationaux concrétisés par les dévaluations compétitives, l’escalade des mesures de contrôle de change et la montée catastrophique du protectionnisme. Ces politiques prédatrices du "chacun pour soi" ont produit des conséquences désastreuses, en propageant et en aggravant la crise, en cloisonnant les marchés du commerce international. Pour éviter le retour aux incertitudes de cette période

développement du nazisme. Toujours dans cette période, les divers gouvernements qui se succèdent perpétuent l'inefficace politique de déflation au mécontentement du SFIO notamment. Ainsi les Modérés appliquent-ils finalement une politique fondée sur le protectionnisme (relèvement annuel des droits de douanes) et sur la déflation. Ces seules mesures sont infructueuses. ! En plus d’être inefficaces, les forces politiques glissent dans une crise profonde et violente, crise favorisée par le contexte social

internationale, elle touche d'abord les exportations de matières premières. Jusqu'en 1931 les échanges internationaux sont en recul mais pas d'obstacles, pas de politiques protectionnistes, c'est à partir de 1931 qu'il va y avoir une montée du protectionnisme qui va démondialiser. Cette régression des échanges est aussi dû à l'effondrement du système monétaire international. De plus un certain nombre d'Etats souverains sont en faillites, tous tentés par le repli. C'est une crise mondiale que l'on

le libre échange est la règle, le protectionnisme l’exception  Cela tend à faire du 19ème le siècle du libéralisme.  Au 20ème, « l’Etat est partout ». Interventionnisme à tous les niveaux, social, commerciale (taxe, régulation)  des freins et barrière s’accumule pour réguler le libéralisme. Libéralisme et protectionnisme Nous allons analyser la situation de manière plus pointue et plus nuancée : Au 19ème, les politiques tarifaires varient : - Protectionnisme (1830-1846) : forte barrière pour

espagnol et portugais dominent le monde après se l'être partagé. B – L’obsession de l’or Tous les moyens sont mis en oeuvre pour défendre l'or qui est considéré comme le symbole de la puissance et de la prospérité Pour parvenir à ce but, l'Espagne a recours à l'interdiction des sorties d’or, puis à l’interdiction des importations et des exportations : Ce qui va être à l’origine du développement de l’inflation, Interdiction des importations et Interdiction des exportations, cela a Amplifié l’inflation

causés par le transport, construction routes, lignes électriques (générateurs contre coupures), gardes pour sécurité, lenteur, arbitraire, corruption (pots-de-vin, inquiétude face à l’imprévisible)( Coût total m-d’o dans projet ≃ 2%. La fin du protectionnisme Derniers bastions : agri doit affronter la libéralisation des échanges. EUA doivent lim leurs aides (OMC en 2005). Aides des pays riches = 300M$. Fin des quotas( ↗ de + de 63% des imp° de textile chinois aux EUA. En 03, 77% des vêtements achetés

récolte ou la mortalité du bétail. De 1860 à 1880, le mouvement gagne l‘ensemble de la France.". * Intervention de l'Etat (pages 138/139) (Etat intervient quand la dépression agricole de la fin du XIXème siècle se prolonge, retour tardif au protectionnisme). * Création d’un ministère spécialement consacré à l’agriculture par Gambetta en 1882 + mise en place des organismes de crédit à l’agriculture ; "En 1914, le Crédit agricole officiel est une oeuvre inachevée." (pages 140/141). * Elargissement