Le Règne de la beauté

l'effort, ou encore l'envie de s'élever. De plus, le sens qu'il pointe, vers le bas, suggère l'introspection et le travail sur soi nécessaires à cette élévation (au sens d'amélioration).Les 3 Piliers portent les trois lumières : Sagesse, Force et Beauté. Le premier pilier, la sagesse, est positionné à l’Orient près du plateau du vénérable, dont le symbole est l’équerre . Il est à l’angle du SUD-EST de style ionique

La Princesse de Clèves, Portrait de Melle De Chartres Madame de Lafayette 1678 Contexte littéraire (fin XVIIème, règne de Louis XIV) * Le Classicisme : - Principes : créer des modèles en fondant chaque genre littéraire (théâtre, poésie, essai philosophique) sur des règles de construction claires et rigoureuses - Thèmes essentiels : La peinture des caractères et des désirs, des sentiments humains (// La Bruyère, Les Caractères) La confrontation de l’individu avec les contraintes

IntroductionAu XVIe siècle, la France connaît une période de grands bouleversements politiques et religieux. Le règne de François Ier est marqué par les guerres d'Italie et les premières tensions religieuses qui vont déboucher sur les guerres de religion. Cette période est également marquée par un développement important de la littérature et de la poésie, avec la Renaissance française qui s'inspire des modèles antiques et italiens. Joachim Du Bellay est un poète de la Renaissance française, né en

La princesse de Clèves Madame de La Fayette La princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second » comme le précise le narrateur dès les premières lignes du texte. Nous pouvons donc le définir comme étant un roman historique bien qu’il joue un rôle essentiel dans le renouveau du roman français. En effet, la préciosité et le classicisme se

Le portrait de Melle de Chartres Introduction : Le roman de Mme de Lafayette s’ouvre sur un tableau de la cour de France dans les dernières années du règne de Henri II. C’est dans un cortège d’êtres d’exception, décrits de manière superlative et abstraite, que paraît tout à coup l’héroïne, Mlle de Chartres, future princesse de Clèves. Personnage de fiction, elle est encore plus extraordinaire que les plus prestigieuses dames de la cour et sa vraisemblance se trouve garantie par le cadre historique

Mme de La Fayette, écrit en 1678 son 1er roman d’analyse moderne français, La Princesse de Clèves, et ce roman s’ouvre sur un tableau « Dans les dernières années du règne de Henri II » (16e s). Sur cette brillante toile de fond se détachent les portraits des grands du Royaume, tous plus remarquables les uns que les autres pour la beauté, l’esprit, le goût, le mérite. C’est dans ce cortège d’êtres d’exceptions décrit de manière superlative et abstraite que partait tout à coup l’héroïne, Mlle de Chartres

nombreux romans qui ne seront tjrs pas publiés sous son nom. Amie de Madame de Sévigné, elle fera comme elle partie du mouvement littéraire précieux qui ne cherche pas seulement à montrer l'idéal mais le comble de l'idéal, pas la beauté mais le comble de la beauté, une beauté pure et sans défauts, on pourrait dire meme immaculée. De part la préciosité, on peut encore voir un certain culte du langage, un raffinement étincelant qui résulte de culte de la forme dans les moeurs et ds l'écriture mondaine

création, une nouveauté. Aucune beauté naturelle n'égale la beauté d'une œuvre d'art. Comme Hegel ou Heidegger, Bergson pense que la fonction première de l'art est de révéler la vérité. Cette thèse est radicalement opposée à celle de Platon pour qui l'art est illusion et éloigne de la réalité. On pense généralement que l'art ne se rattache qu'à la beauté des œuvres d'art. Mais la définition de l'art ne peut pas se limiter à quelques œuvres d'art, ni seulement à la beauté esthétique. Une œuvre d'art

mariage arrangé, un homme estimable. Elles furent toutes deux éprises, hors mariage, d’un duc : le duc de Nemours pour la princesse et le duc de La Rochefoucauld pour Madame de Lafayette. Elles furent aussi femmes de COUR : l’héroïne de papier, sous le règne de Henri II et l’écrivain, sous celui de Louis XIV. C’est précisément la première présentation à la Cour de Mademoiselle de Chartres, future princesse de Clèves, qui est évoquée presque au début du roman (1678). Cette dernière a seize ans et pénètre

textes. Nous commencerons par voir l’architecture idéale de ces villes et ensuite l’organisation sociale. Ces trois mondes utopiques révèlent une architecture idéale. Ces villes sont situées à la campagne dans des endroits protégés où la beauté et l’ordre règne. En effet, deux auteurs, More et Verne, situent leur ville idéale dans un espace à part. T. More dans Utopie place sa ville dans un endroit fortifié, isolé, à l’accès rendu difficile par une végétation épineuse. La cité de Verne, quant à