Le Reveil Jean Cocteau

prolepse. L'ellipse est une simple accélération du récit, qui affecte non l'ordre des événemerrts, mais la durée, comme vers la fin de L'Education sentimentale de Flaubert: Il voyagea. Il connut la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l'étourdissement des paysages et des ruines, l'amertume des sympathies interrompues. Il revint. L'ellipse peut être explicite, si l'auteur la marque par une formule comme les années passèrent ou implicite. > Ellipse

certainement, mais pour me moment, elle ne vient toujours pas. Avec ce mais, on déni la certitude de la mort on se dissimule ce qu'elle a de particulier à savoir qu'elle est à chaque instant possible" La mort est partout en tant que processus, Jean Cocteau disait "Chaque jours, j'observe la mort à l'oeuvre dans le mirroir". La caractéristique du vivant c'est bien de mourrir un jour qui le veuille ou non, c'est donc ce délai incertain qui le pousse à vivre(délai : deadline). Si je peux saisir de façon

portrait en vous appuyant sur les traits physiques et les traits de caractère qui nous sont dévoilés. Luo : malin, vif, intrépide. Plus robuste que son ami, plus sûr de lui aussi (c’est lui qui a l’idée du titre de la sonate ou de la manipulation du réveil par exemple). Le narrateur : pas de description physique. Plus en retrait que son ami, observateur, plus romantique peut-être (il regarde avec admiration la Petite Tailleuse mais se montre moins entreprenant que Luo avec elle). La Petite Tailleuse

(1802-1885). 1866 � Poèmes saturniens, de Paul Verlaine (1844-1896). 1913 � Alcools, de Guillaume Apollinaire (1880-1918). 1942 � Les Yeux d’Elsa, de Louis Aragon (1897-1982). 1951 � Le Phénix, de Paul Eluard (1895-1952). CHRONOLOGIE DES ŒUVRES y Jean Cocteau (1889-1963), Orphée (xxe siècle), dessin (collection privée). Les origines du lyrisme D’après le mythe antique, le poète Orphée charmait la nature et les animaux en chantant ses poèmes, accom- pagné d’une lyre (d’où le mot lyrisme). Dans la

siècle Un groupement de textes extraits de tragédies du XVIIe siècle ▶ Un groupement de textes extraits de comédies du XVIIIe au XXe ▶ Un groupement de textes extraits de tragédies du XIXe au XXe ▶ Une lecture cursive : Jean Racine, Britannicus, 1669 ▶ Une lecture intégrale Molière, L’École des femmes, 1662 ▶ ▶ ▶ ▶ Activités interactives ▶ Apprentissage de la lecture analytique ▶ Acquisition de compétences d’analyse du texte théâtral

portrait en vous appuyant sur les traits physiques et les traits de caractère qui nous sont dévoilés. Luo : malin, vif, intrépide. Plus robuste que son ami, plus sûr de lui aussi (c’est lui qui a l’idée du titre de la sonate ou de la manipulation du réveil par exemple). Le narrateur : pas de description physique. Plus en retrait que son ami, observateur, plus romantique peut-être (il regarde avec admiration la Petite Tailleuse mais se montre moins entreprenant que Luo avec elle). La Petite Tailleuse

privilégiée pour exprimer : • les thèmes de la nature, • de la fuite du temps, • du regret de la jeunesse passée • de la tristesse mélancolique au constat d’un amour impossible • de la douleur face à un sentiment non partagé. JEAN DE LA FONTAINE : • FONCTION EMOTIVE ET LYRIQUE DE LA POESIE Les Fables permettent à LA FONTAINE de développer des thèmes lyriques. Parmi eux, le thème de la nature. Il est présent dans l’évocation de l’environnement où évolue les personnages :

remords, cours, choix, croix, Nez 6. Les lettres muettes intercalées 20 « e» : remerciement « m» : condamner « h» : adhérer « p» exempter 7. ti= si : révolution 8. Les oppositions Euil/ueil : fauteuil Accueil Ail/aille : bétail, bataille Eil/eille : réveil, abeille Euil/euille : fauteuil, feuille Le cas de œil : l’œil c/q/k : cahier, quotidien, kaki. 9. Les homonymes : homographes + homophones : c’est/ses. Sans/sang Les poules du couvent couvent [kuvâ] [kuv] NB : Quelques confusions 21 orthographiques

........................................................................  39   JEAN  GIRAUDOUX,  AMPHITRYON  38  (1929)  .............................................................................................  41   JEAN  GIRAUDOUX,  ELECTRE  (1937)  ............................................................................................................  43   JEAN  COCTEAU,  LA  MACHINE  INFERNALE,  (1934)  ......................................

potlatch), Bataille veut fonder l’économie sur l’excès. Il faut produire trop pour gaspiller le plus possible. La vie est gaspillage. {Économie - Gaspillage} « La séduction est partout, subrepticement ou ouvertement. » Jean BAUDRILLARD (1929-2007) Depuis 1968, Jean Baudrillard conduit une critique radicale de notre société. Dans un texte aux accents prophétiques – La Société de consommation (1970) –, il analyse la société dans laquelle nous vivons comme étant soumise, pieds et poings liés