Le Rire Agressif

montre un plan rapproché d’Adolf Hitler, on voit le visage, le torse et les bras. Hitler paraît imposant. Sur cette affiche il est seul, il se détache du fond, fond lumineux. La bouche est ouverte, il crie à la foule avec rage, on y retrouve l'homme agressif et violent. On reconnaît Hitler grâce à sa moustache. Plusieurs photos juxtaposés : -portrait Hitler -Radiographie d'un corps humain -Une colonne vertébrale de pièce d'or. -Les insigne du Parti nazis. Les couleurs dominantes sont le noir et

confusion de Meursault entre l'agression des éléments naturels et celle du couteau. L'expression « la lumière a giclé » met en évidence un mélange eau et lumière que ressend le personnage : Le soleil prend le relais du couteau qui n'est pas encore agressif : l'Arabe n'a fait que de le sortir de sa poche. Finalement, cette confusion entre le couteau et le soleil marque que pour Meursault le soleil a pris la responsabilité du danger du couteau. Mouvements du personnage, différentes étapes qui vont le

utilise un langage universel. En 1936, il tourne Les temps modernes, ce sera un de ses film les plus célèbres. Il utilisera le son d’une manière encore plus ironique. Les personnages resteront muets, mais le son servira à accentuer les bruits de fond agressifs et répétitifs. C’est une bonne façon de se moquer de l’arrivée du son, mais également de jeter un certain regard sur « [...] l’esprit malfaisant de l’époque marquée par les machines ». Les temps modernes sera son dernier film muet. Les années

arrivait à provoquer et rentrer en conflit avec au moins une des personnes présentes. Mais l'idée d'utiliser l'humour avec ce jeune m'est venu de l'équipe. En effet, lors de temps où Georges n'était pas très bien, des éducateurs essayaient de le faire rire et cela fonctionnait. J'ai alors vu grâce aux différentes interventions de l'équipe que Georges était sensible à ce genre d'interaction. C'est alors qu'un jour, après avoir vu passer plusieurs camions de Police (ce qui avait le don de l'énerver)

fiches relation et communication avec le patient Prévenir et apaiser l’agressivité du patient © Axel Grau 4/6 Face à un comportement agressif, l’objectif de l’aide-soignante est d’aider le patient à apaiser la tension émotionnelle. Pour cela, elle tentera d’établir une relation de confiance sécurisante. Si elle cherche à comprendre les motivations du comportement agressif, il lui sera plus facile d’agir sans se laisser envahir par le stress. LA VIOLENCE À L’HÔPITAL : DE QUOI S’AGIT-IL ? L’Organisation

incident consacre la pièce comme un monument du rire : un spectateur corpulent rit si fort qu’il fait une attaque d’apoplexie en pleine représentation. Il est alors au sens propre mort de rire. PERSONNAGES Les personnages de Labiche ne sont pas des héros. Ils sont chargés de défauts que l’auteur utilise pour créer des effets amusants. L’auteur développe une certaine logique de l’invraisemblance et l’absurde des personnages avec l’unique intention de faire rire. Fadinard : son nom signifie fadeur. Son unique

deux ; pas d'effusion de sentiments = froideur d'E. mis en valeur par la reprise de "tout à l'heure" = vide des mots, des répliques, du dialogue renvoient au monde dans lequel nous vivons = univers vide de sens ; cette absurdité peut nous faire rire, et donc sauver l'homme de l'ennui, le divertir = la parole ne vise ici qu'à remplir l'attente 3) L importance de l'absurdité de la vie et du théâtre 1) VLADIMIR (froissé, froidement) : Peut-on savoir où monsieur a passé la nuit ? 2) ESTRAGON

Peut-il être assimilé à un clown ? 4) Répartissez les rôles de la scène 4 de l’Acte II et travaillez sur l’interprétation. Proposez des jeux d’acteurs qui mettent en valeur les différents traits de caractère, l’aspect burlesque, l’aspect agressif… Quel est, à votre avis, le ton qui vous semble le plus adapté ? Les différences changent-elles le sens de la comédie ? Les fourberies de Scapin / Molière 4 Fiche 4 Le comique dans la pièce Objectifs : > Savoir reconnaître les différents

Dene : "quoi que je fasse c'est infâme à tes yeux u vis dans ne obsession perpétuelle du soupçon" Ritter : "Tu ne fais rien." Les Bonnes, Genet : Claire : "Garce ! Répète." Les personnages ne s'adressent aux autres qu'à travers des mots agressifs. Mais s'écoutent-ils vraiment ? On peut voir que bien souvent, les personnages font davantage un monologue qu'un véritable dialogue. Les auteurs nous mettent face à des "dialogues de sourds" afin de nous montrer la difficulté de s'exprimer, de dire

deuxième paragraphe par l’étude de la description du lieu dans lequel se trouve l’enfant pauvre. Celle-ci comprend des termes qui évoquent la misère et la dureté : « chardons et les orties » ligne 18. Il s’agit donc de noms qui suggèrent un quotidien agressif et douloureux .Nous apprenons également, que l’enfant se trouve sur une route ; ce dernier est donc livré aux hasards de l’errance. Après cette description du lieu, nous avons un portrait de l’enfant pauvre ; ce dernier est également décrit