Le Rire Est Il Nécessairement Méchant

s'intéressent à moi obligé de deviner la signification de mes comportements en formulant sur eux des hypothèses plus ou moins complexes. Ainsi peuvent-ils se méprendre sur mon attitude lorsque je ris jaune, alors que je sais d'un savoir immédiat ce que mon rire dissimule. La présence d'autrui ne semble donc pas pouvoir apporter quelque chose d'essentiel relativement a la conscience que j'ai de moi-même. Pourtant, en certaines circonstances, autrui parait plus clairvoyant que moi sur mon propre compte: chacun

autres comme une méchante moquerie ou une insulte. Dans son sens strict, l'humour est une nuance du registre comique qui vise « à attirer l’attention, avec détachement, sur les aspects plaisants ou insolites de la réalité ». Toutefois, dans le langage courant, le sens du terme s'est élargi pour désigner le comique, c'est-à-dire l'ensemble des procédés visant à susciter le rire ou le sourire. L'humour est indissociable du comique, c'est-à-dire de « ce qui est propre à faire rire » ; le comique est

corrompu la nature, car ils ne sont point nés loups et ils sont devenus loups » et plus loin : « Dieu ne leur a donné ni canon de vingt-quatre, ni baïonnettes ». Pire, il n’y a pas de justice immanente. Dieu semble se taire. Les bons périssent, les méchants se sauvent, Jacques se noie, le matelot qu’il a sauvé survit au naufrage. Lorsque Dieu intervient, son action est déplorable. Il punit le criminel Vanderdendur mais ne peut épargner l’équipage innocent. « Dieu a puni ce fripon, le diable a noyé les

l’invention de l’imprimerie en 1450 GUTEMBERG. Volonté de signer son œuvre pck diffusion plus importante. Pour être éditer, il faut passer par l’épreuve de la censure puis privilège royale d’être imprimer pour un tps donné. Les éditeurs st nécessairement des hommes de conviction qui risquaient leur vie car n’éditait pas forcément ce qui était approuvé, ex : E.DOLET brulé en 1546 car il avait publié des œuvres hétérodoxe (qui n’est pas ds la ligne droite). Naissance d’une grde rupture au

permettait d'être mieux vu des spectateurs assis sur les gradins parfois éloignés et d'en être mieux entendus, leur voix étant amplifiée comme par des porte-voix. Il y avait des masques tragiques (un visage triste) ou comiques (un visage fendu d'un large rire) ainsi que des masques doubles (un côté tragique, un côté comique); les acteurs qui se servaient de ces derniers devaient jouer de profil. L'acteur, exclusivement masculin, porte aussi des vêtements aux rembourrages voyants et cloturaux ainsi qu'une

vu de plus méchante bête que cette vieille ». Les serviteurs, en effet, portent souvent un nom qui fait d’eux un personnage archétype, sans identité propre. Arlequin, lui-même, se plaint d’une telle anonymie, l. 35 à 38 : « Je n'en ai point (de nom) (...) je n'ai que des sobriquets qu'il m'a donnés ; il m'appelle quelquefois Arlequin, quelquefois Hé ». Ainsi, l’idée d’échanger de nom avec son maître, l’amuse-t-il beaucoup : il voit là une belle revanche : « Oh, oh, que nous allons rire ! Seigneur

permettait d'être mieux vus des spectateurs assis sur les gradins parfois éloignés et d'en être mieux entendus, leur voix étant amplifiée comme par des porte-voix. Il y avait des masques tragiques (un visage triste) ou comiques (un visage fendu d'un large rire) ainsi que des masques doubles (un côté tragique, un côté comique); les acteurs qui se servaient de ces derniers devaient jouer de profil. L'acteur, exclusivement masculin, porte aussi des vêtements aux rembourrages voyants et cloturaux ainsi qu'une

permettait d'être mieux vus des spectateurs assis sur les gradins parfois éloignés et d'en être mieux entendus, leur voix étant amplifiée comme par des porte-voix. Il y avait des masques tragiques (un visage triste) ou comiques (un visage fendu d'un large rire) ainsi que des masques doubles (un côté tragique, un côté comique); les acteurs qui se servaient de ces derniers devaient jouer de profil. L'acteur, exclusivement masculin, porte aussi des vêtements aux rembourrages voyants et cloturaux ainsi qu'une

fréquemment son maître ; mais comme il n'y parvient pas, il crée un effet de parodie involontaire. Tout comique qu'il est, il n'en est pas moins contaminé lui aussi par le registre tragique. Ainsi ses revirements quand son maître le menace prêtent à rire ; mais si l'on pense à sa propre souffrance, il n'y a rien là de comique. de même dans la dernière scène, il est farcesque quand il réclame ses gages, mais il éprouve néanmoins une douleur bien réelle de la mort de son maître. Le valet ressent pour

fréquemment son maître ; mais comme il n'y parvient pas, il crée un effet de parodie involontaire. Tout comique qu'il est, il n'en est pas moins contaminé lui aussi par le registre tragique. Ainsi ses revirements quand son maître le menace prêtent à rire ; mais si l'on pense à sa propre souffrance, il n'y a rien là de comique. de même dans la dernière scène, il est farcesque quand il réclame ses gages, mais il éprouve néanmoins une douleur bien réelle de la mort de son maître. Le valet ressent pour