Le Rire Face Aux Sujets Grave

Le rire est une pratique quotidienne de l’homme. Il est naturel et inévitable, il est signe de détente et d’amusement. Il n’y a pas une journée sans que le rire se manifeste chez un homme. L’homme a besoin de détente, de divertissement qu’il ponctue de rires. Il peut être aussi vital que boire, manger, dormir. Le rire est un facteur important puisqu’il nous aide à supporter les difficultés de notre vie et à la rendre plus simple et moins stressante. Tous les humains savent rire dès la naissance

exprimer ses idées à un public large sur un problème, une situation importante ou grave, la censure est là pour établir certaines limites. Auparavant, la censure s'est montrée très restrictive à la fois sur le contenu, c'est à dire en rapport avec le sujet traité, mais aussi sur la forme, le registre de l'œuvre littéraire. Mais nous pouvons nous demander si de nos jours la liberté d'expression ne porte pas plus sur le sujet dont on parle, que sur le registre et la manière don l'auteur à choisi de s'exprimer

Marcher d’un grave pas de Joachim DU BELLAY Introduction Parti de Rome en 1453, le poète humaniste Joachim DU BELLAY est connu outre les émotions nés de sa rencontre avec les ruines de Rome, les déconvenus que lui réservaient un emploi sulbaterne peu propre à satisfaire ses grandes ambitions. Blessé dans son amour, il regarda dans les Regrets, la horde de courtisans romains dont il souligne, dans le sonnet Marcher d’un grave pas, le ridicule. En quoi l’ironie est-elle ici au service du

faire rire et de divertir les spectateurs. Il peut tourner des situations graves au ridicule afin de dédramatiser celles-ci. Comédies, satires, farces et sotties inspirent le rire grâce à plusieurs procédés tels que les comiques de gestes, de situations, de mots et de caractère ainsi qu’avec des raisonnements par l’absurde mais bien d’autres procédés encore. Ainsi nous pouvons nous demander si l’utilisation d’un registre comique dans une pièce de théâtre n’a pour seul but d’inciter au rire ? Afin

Charles Baudelaire «Le rire est satanique, il est donc profondément humain. ». Le rire possède du bon comme du mauvais, seul la manière dont on s’en sert définis son caractère. Les quatre documents présentent diverses facettes du rire au sein la politique Nous découvrons deux articles de presse, l'un est texte polémique argumentatif du journal Le Monde intitulé "Qu'elle politique du rire?" rédigé par Jean-Marc Moura, le 29 mai 201, l'auteur y démontre le lien controversé entre le rire et la politique

Dans quelle mesure peut-on dire que le rire est libérateur? La vie peut être effrayante mais le rire la rend moins sérieuse. Le succès du film « Bienvenue chez les CH’TIS » qui a été vu par des millions de Français en est la preuve. Il a permis au public de se distraire par le rire et d’oublier ses problèmes. A lumière de ces réflexions, on se demande dans quelle mesure le rire est libérateur. Rire n’est peut être pas la solution à un problème ou le remède contre les maux de société. Cependant,

nous allons chercher quel sont les conséquences que provoque le rire communicatif sur Gwynplaine ? Le rire est tout d’abord inéluctable pour le public mais aussi pour son auteur et son infirmité divise son corps et son âme, qui ne sont plus synchronisé et contrairement à l’expression de son visage Gwynplaine n’éprouve pas uniquement des sentiments joyeux. Premièrement nous allons étudier la portée du rire de Gwynplaine. Le rire s’impose tout d’abord à lui car il y est obligé puis il s’impose

monde, le transcrit selon sa vision. Le poète est souvent assimilé à un homme sérieux et grave. Mais aussi quelqu’un de marginaux, terrassé par un mal être intérieur profond et souvent incompris. C’est d’ailleurs souvent ce qu’on a dit de Verlaine ou encore de Baudelaire. Par conséquent, les thèmes traités ont, la plupart du temps, un rapport avec l’humain. Le sérieux de la poésie apparait aussi à travers les sujets traités comme la mort dans La mort n’est rien d’ Henry Scott Holland, l’amour dans La

son père Agamemnon. Le second texte est un extrait de Tartuffe de Molière, c’est une comédie classique qui a été représenté sur scène pour la première fois en 1664. Nous pouvons voir dans ce passage Orgon et sa mère Madame Pernelle se disputent au sujet de Tartuffe, la mère d’Orgon est persuadée que c’est un homme vertueux et ne croit pas son fils qui a vu de lui-même qu’il était un faux dévot. Les deux derniers textes sont du XXème siècle ; le premier est un extrait de la comédie Le Goûter des généraux

commérages des voisins, qui espionnent et critiquent (cf. I, 1) ; celui de la vérité, celui du Roi qui protège ses sujets (cf. dénouement). La règle de l’unité de temps se trouve elle aussi respectée, car rien n’empêche qu’Orgon revienne de son voyage le matin, et que l’arrestation de Tartuffe n’ait lieu le soir. Le comique dans « Le Tartuffe » LE COMIQUE DE GESTES Tartuffe face à Dorine Dorine et Orgon De nombreuses photos de la mise en scène du Département de Théâtre de l’Université