Le Rire Gaulois

DE LA LANGUE 1.2.1 Origine du français Après la chute de l’empire romain, la Gaule est partagée entre les tribus germaniques et les francs. Le français est issu du latin que parlaient les soldats de César. Ce latin va devenir de plus en plus Gaulois. On appelle cela le gallo-roman. C’est donc une langue populaire attribuée à 4 dialectes selon les régions : Domaine d’oïl (nord), domaine d’oc (sud), Franco-provençal et zone du croissant. 1.3.2 - Du premier texte français aux œuvres

nouveau rapproché du substantif. Les causes n’en sont pas tout à fait claires. Il est possible que l’infinitif ait subi l’influence du gerundium dont il accaparait petit à petit les fonctions en latin populaire. C’était peut-être aussi l’influence du gaulois qui n’avait pas d’infinitif. Toujours est-il que ce rapprochement n’était que temporaire, mais les conséquences en étaient des plus importantes :c’était, en premier lieu, la propriété nouvellement acquise par l’infinitif de s’attirer une préposition

(1607 – 1627) Roman accompli de la pastorale, roman fleuve le plus aboutit de l’époque. Roman en cinq parties divisées en douze livres, il sera mort pendant l’écriture de la quatrième partie, se passe dans la forêt de Montbrison durant le temps des Gaulois, amour d’Astrée et Céladon. 200 personnages, 40 histoires intercalées, encyclopédie de l’amour. Hylas : berger inconstant Silvandre : amour mystique Céladon : opère la synthèse, cheminement initiatique, contrôle ses pulsions et parvient à l’honnête

sociétés et donc change le monde Page d'écriture Il dit non avec la tête  mais il dit oui avec le cour  il dit oui à ceux qu'il aime  il dit non au professeur  Il est debout  On le questionne  et tous les problèmes sont posés  soudain le fou rire le prend  et il efface tout  les chiffres et les mots  les dates et les noms  les phrases et les pièges  et malgré les menaces du maître  sous les huées des enfants prodiges  avec des craies de toutes les couleurs  sur le tableau noir du malheur 

intelligents les Français « même stupides » ............................................ 120 II LA GRANDE MÉTISSERIE ............................... 126 1 Naissances créoles ................................................ 128 Un linguicide tranquille : le gaulois .................. 129 La parole « barbare » ........................................ 137 « Créolisation » du latin.................................... 138 Cousins germains ............................................. 141 2 Chemins de traverse

combattirent les Titans et s’emparèrent du pouvoir divin. Cronos dévorait ses enfants comme le fit l’Ogre dans les contes avec comme exemple le petit poucet.La seconde hypothèse de l’Ogre viendrait du nom d’une divinité gauloise infernale, l’Orgos gaulois. La parenté celtique du mot « ogre » vient du coté du nom d’un homme Orgetorix «  roi des tueurs ». On retrouve la même racine, avec metathèse de « r », dans le nom de moi ogron présent dans le calendrier qui est une table de bronze du II ieme siècle

raconter une histoire (réaliste ou non). Les personnages s'y exprime à l'aide de bulles de texte plus communément appelées phylactères. Avec un crayon et un bout de papier et bien entendu un brin d'imagination, on peut être en mesure de faire rêver, rire, pleurer, avoir peur, sauter de joie. C'est celà que la bande dessinée représente. Bien que le public généralement en connaisse trop peu l'étendue et la diversité, la BD est belle et bien un art (le neuvième en fait). Cet art qui pourtant n'a été baptisé

Car le chemin est long fantastique est la course Découvreuse de Mars un jour à pierre fendre Aux veillées de soleils remués sous la cendre Qui passe en effleurant la Chine et le Pérou Les gosses de ma rue sont vraiment un peu fous Avec leur rire immense au travers des saisons Et leurs yeux étonnés par les mille raisons De la logique même à ces façons étranges De s’asseoir sans fortune à la table des anges Les gosses de ma rue sont vraiment merveilleux Qui descendent le ciel au dernier

leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot. Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point de faire le dernier couac, j'ai songé à rechercher la clef du festin ancien, où je reprendrais peut-être appétit. La charité est cette clef. - Cette inspiration prouve que j'ai rêvé !

fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot. Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point de faire le dernier couac, j'ai songé à rechercher la clef du festin ancien, où je reprendrais peut-être appétit. La charité est cette clef. - Cette inspiration prouve que