Le Rire Gaulois

Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Ferme les yeux et imagine toi Ca n’arrive qu’aux autres, on ne réalise pas tant que ça ne nous touche pas On sait très bien

découvrit deux atouts : son sourire et son sens de l'humour. »2 Et quand il disait à son père « je voudrais faire un métier rigolo »3, celui-ci ne pouvait que l'approuver. Très vite, René exerça son pouvoir humoristique et « son attitude de pince-sans-rire »4, comme il aimait à le dire, auprès de ses amis. Il créa ainsi pour ceux de l'école des journaux, tous des exemplaires uniques, dans lesquels il faisait le dessin et le texte. C'est le début d'une période « underground ». Dans ses années de formation

premières informations avec l'aide de Saint-Potin qui doit lui apprendre les ficelles du métier. Mais, lorsque Duroy reprend en disant: « Mais il me semble qu'il est tard et que nous avons deux nobles seigneurs à visiter. » Saint-Potin ne fait rien que rire et répond:  « Vous êtes encore naïf, vous ! Alors vous croyez comme ça que je vais aller demander à ce Chinois et à cet Indien ce qu'ils pensent de l'Angleterre ? Comme si je ne le savais pas mieux qu'eux, ce qu'ils doivent penser pour les lecteurs

Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Fils d’un tapissier, il renonce à reprendre l’affaire familiale qui le destinait à une vie bourgeoise et se tourne vers le théâtre. Il fonde en 1643 « l’Illustre Théâtre » et se fixe comme objectif de « faire rire les honnêtes gens ». 1622 (15 janvier) Naissance de Molière Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin

pro- et anti- : en « villégiature » ou enfermé dans sa chambre. Titres présents L’Autorité, Le Matin, L’Aurore, Le Journal des débats, Le Siècle, Le Gaulois, L’Intransigeant, La Gazette de France, L’Eclair, L’Univers, Le Petit journal (supplément littéraire illustré),, L’Assiette au beurre, Le Petit Parisien (supplément littéraire illustré), Le Rire, L’Illustration, La Bastille, La Libre parole, un journal algérien, L’Antijuif illustré, Le Placard antijuif, L’Avenir antisémite de Toulouse et du midi

temps (une façon de faire coïncider personnages des contes et lecteurs des journaux dans lesquels ils paraissaient) : François Tessier, dans « Le père », les Loisel dans « La parure », ou encore les Caravan dans « En famille ». Pour les lecteurs du « Gaulois » ou du « Gil Blas », ce devait être agréable de retrouver ainsi une atmosphère familière, des personnages qui pouvaient ressembler à ceux qu’ils croisaient tous les jours. Tous ces personnages pris dans leur simplicité sont étroitement liés (nous

saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. Paul VERLAINE (1844-1896) Grotesques Leurs jambes pour toutes montures, Pour tous biens l'or de leurs regards, Par le chemin des aventures

_________ ‘’Les regrets’’ (1558) Recueil de cent quatre-vingt onze sonnets Commentaire Obéissant à une double inspiration élégiaque et satirique, du Bellay faisait alterner de gracieuses pièces mythologiques et des satires amères (le «rire sardonien») où il exprimait : - la déception, la désillusion, éprouvées lors de son séjour à Rome où il s'attendait à trouver la grandeur de la Rome antique mais découvrit une ville en ruines ; - le dégoût de sa charge, des intrigues de la Cour

française : roman (Serment de Strasbourg, 842), stade intermédiaire. Ancien français avec distinction cas sujet/cas régime. Moyen français : disparition de cette distinction, évolution de la syntaxe. NAISSANCE DU « ROMAN » Données ethniques : fond gaulois (celtes), puis conquête romaine et invasions germaniques et nordiques. Mais peu d’influences celtes ou germaniques dans la langue. Le latin en Gaule : dès la conquête romaine, on parle latin en Gaule. Le latin vulgaire : le latin parlé est familier

et ses proches écoutèrent son discours. Dans ce passage, Rabelais caricature la scolastique, en mélangeant français et latin, sans être toujours cohérent dans ce dernier. Devant le discours incohérent du sophiste, Gargantua et ses amis se mirent à rire de lui, si bien qu'ils décidèrent de lui offrir une multitude de choses pour l'en remercier. Ponocrates, observa Gargantua pour définir ses lacunes, avant de l'instruire. Il constata que le géant passait la majeure partie de son temps à se faire plaisir