Le Rire Geste Social

1720 : La troupe de Luigi Riccobini, comédiens Italiens, héritiers de la commedia dell’arte vont apporter dès 1720 à Marivaux un jeu naturel et gai, un art du geste et du mouvement et une vivacité du langage qui va lui permettre d’écrire de grand succès comme en 1722, La Surprise de l‘amour. 1725 : Marivaux réfléchie sur des problèmes sociaux tels que la hiérarchie des conditions comme L’île des Esclaves. 1733 : Après la mort de Mme de Lambert, Marivaux commence à fréquenter le salon littéraire

est un des éléments qui constituent le comique de situation. Le comique de geste Il intervient souvent au théâtre. De nombreux éléments en font partie, comme les coups de bâtons, les positions ridicules, les expressions du visage, le ton de la voix, mais aussi les costumes parfois extravagants ou ridicules.   Le comique de caractère La comédie met en scène des personnages qui ont des défauts, des vices. Pour faire rire, l'auteur accentue volontairement à l'excès ces défauts.  Le comique de mots

est hospitalisé le 12 avril 2012 pour suite de prise en charge d’un hématome sous dural post traumatique le 27 décembre 2010. Mr P. est français, à un fils unique, veuf, est retraite (cadre) et vit dans un pavillon. Mr P. bénéficie d’une assurance sociale et d’une mutuelle. ANTECEDENTS : * ACFA * HTA * Dyslipidémie * Epilepsie en novembre 2011traite par Kappa HISTOIRE DE LA MALADIE : Le patient chute le 27 décembre 2010, sans notion de traumatisme crânien. Il consulte le

comprend pas la situation. Son désespoir est montré par le vocabulaire et les didascalies. Le maître est déstabilisé, il a peur de perdre sa liberté, il essaye de résister à ces nouvelles règles. - Panique et peur profonde du maître dans ce nouvel état social. Arlequin rie, il raisonne, développe l'enjeu de la pièce, il se moque du maître, il rie de sa liberté nouvelle (190 : Ah, Ah vous parlez la langue d'Athènes, mauvais jargon que je n'entends plus"). Il va mettre en pratique les nouveaux rapports directement

passages comiques, la réflexion d’un coté et le comique de l’autre. Mais c’est une lecture manichéenne de l’œuvre. Il n’y a pas de séparation pour RABELAIS, l’un se comprend par l’autre en permanence, il n’y a pas juxtaposition mais intrication du rire et du sérieux. Comparaison du lecteur avec un chien, qui doit lécher un os, cf comique burlesque, mais en fait contenu très sérieux, ne pas prendre en compte que le sens littérale, « il faut savoir pénétrer l’os jusqu’à la moelle » « la substantifique

ridiculiser le créancier. C’est d’ailleurs ce qui donnera à la pièce son ressort comique. Ainsi, la question que l’on peut se poser est : Comment Don Juan profite-t-il de la conversation pour effacer sa dette et en quoi son attitude provoque-t-elle le rire? Tout d’abord, nous nous intéresserons à la relation entre les personnages et plus particulièrement à la supériorité de Don Juan et ceci dans différents domaines. En effet, nous remarquerons qu’il domine Mr Dimanche stratégiquement, par le langage

« sous-jacent ». Le vocabulaire utilisé n’est d’ailleurs pas emprunté à un registre poétique élevé. Des termes familiers sont présents : « dégringoler » l.6, « trouille » l.16. Enfin les dissonances se multiplient dans le texte. Le [r] du rien et du rire courent dans tout le poème, souvent accompagné de dentales ou de gutturales : « ridicules », « déchéances », « vide », « dissipation-dérision-purgation » l.10-11. Finalement l’auteur veut se libérer de la composition pour que sa poésie dise

textes dans la fresque des Rougons-Macquart, Zola s'attache à raconter l'histoire d'un membre de la lignée qu'il fait évoluer dans un milieu social précis, l'écrivain voulant ainsi montrer la manière dont se combine les influences de l'hérédité et du milieu sur l'individu. Chaque roman aborde ainsi de manière S et avec une volonté d'objectivité un milieu social particulier et délier des sujets différents. Pour mieux étudier dans l'Assommoir les ravages de l'alcoolisme, Zola met d'abord ses personnages

Donc d'après la problématique "En quoi la pièce Fin de Partie permet elle de mettre en situation la faillite des valeurs humaines? nous verrons dans un premier temps la fin des valeurs religieuses, puis pour finir la fin des valeurs morales et sociales . Tout d'abord , nous pouvons voir que dans Fin de Partie les références bibliques sont nombreuses. La bible et l'histoire sainte sont à la fois les plus évoquées directement ou indirectement, et les plus rudement moquées. Dans Fin de Partie

Impératif : « séparons-nous » => Gusman et Sganarelle ne doivent pas être vus ensemble, mais Dom Juan arrive. II. Le comique de mot. « et changes de couleur à ce discours » « épouse toi, son chien et son chat » => Molière cherche à nous faire rire à travers le personnage de Sganarelle et dans sa façon de dire les choses. III. Le comique de mœurs. Le comique de mœurs se retrouve dans l’ensemble des pièces de théâtre, mais dans Dom Juan de Molière, on connaît les mœurs de Dom Juan que veut