Le Rire Négatif

L’homophobie est encore très présente en milieu scolaire. Lors de mon stage, j’ai remarqué un élève qui s’amusait à rire d’un de ses pairs en disant qu’il était gai. Évidemment, ce dernier s’est senti insulté. On observe aussi que les expressions « tu es gai » et « c’est gai » signifient chez les jeunes quelque chose de négatif un peu comme « c’est poche » ou « tu es con ». Le mot « tapette » conserve un caractère péjoratif en faisant allusion à l’homosexualité. Mais comment les jeunes ont-ils

LES REGISTRES Le texte littéraire vise à produire une émotion sur le lecteur. Le registre traduit cette impression particulière que produit un texte sur la sensibilité du lecteur, qui peut aller du plus grave au plus joyeux (faire rire ou pleurer…). Les registres sont d’abord associés à certains genres (le tragique à la tragédie, l’épique à l’épopée, le comique à la comédie…).Mais ils dépassent les frontières de ces genres qui ont parfois disparu (L’épopée disparaît en tant que genre au XVIIIème

positifs et négatifs. Les symptômes positifs sont ceux qui se présente habituellement à l’extérieur, que l’on peut s’apercevoir facilement, tels que : les hallucinations (les plus courants sont des voix ou images imaginaires), les délires (ce sont des erreurs de jugement logique), la désorganisation du comportement (par exemple : capricieux, rire ou pleurer sans raison précis). Les malades entendent souvent une voix intérieure qui les demande à obéir ses ordres. Les symptômes négatifs sont vus à travers

-> gradation de l’intensité de l’émotion jusqu’au bris du miroir : « dans la glace lance son siège à toute volée en hurlant »   B)            Déception devant un constat d’échec amer (cf fin sc 13 : « Tuer n’est pas la solution ») a) Sentiments négatifs : - sentiment d’être incompris : « qu’il est dur d’avoir raison et de devoir aller jusqu’à la consommation » (= euphémisme de la mort) - regret : « que ne suis-je à leur place » - peur x3: « j’ai peur de la consommation » ; « j’ai peur », « la

personne n’y échappe. Tout comme le rire nous pouvons donc admettre que douter est propre à l’homme. Douter vient du latin dubitare, qui signifie balancer, c’est donc d’une certaine façon hésiter, comme une balance qui aurait du mal à pencher définitivement, à enfin se fixer. Qualité pour certains, défaut pour d’autres, trop souvent associé à un manque de confiance en soi, le doute ne fait pas l’unanimité. Mais doit-on considérer que douter est nécessairement négatif ? Au premier abord, le

Object d’étude numéro 2 Le théâtre Œuvre intégrale étudier : le misanthrope Biographie de Molière 1622 nee a paris milieux sociale très privilégier mais pas noble roturier mais son père a une fonction officielle éminente il est le tapissier du roi cette fonction redéterre fais de la famille de Molière des familiers du roi Molière est destiner à être tapissier du roi il refuse de prendre cette charge et des la fin de c étude il choisi une vois professionnelle artistique et surtout le métier d’acteur

Pantagruel , chapitre 3 , Du deuil qui mena Gargantua a la mort de sa femme Badebec , il utilise un registre trivial malgré la situation , se qui nous fait rire « ma mignonne , m’amie , ma tendrette , ma braguette , ma savate , ma pantoufle , jamais je ne te verrais. » , «oh , mon petit fils , disait-il , mon couillon , mon peton … » Au-delà du rire un registre trivial voir choquant peut être utilisé pour critiquer la société , la monarchie ou un groupe social , nous donnerons Ubu roi d’Alfred Jarry

 LES REGISTRES Le texte littéraire vise à produire une émotion sur le lecteur. Le registre traduit cette impression particulière que produit un texte sur la sensibilité du lecteur, qui peut aller du plus grave au plus joyeux (faire rire ou pleurer…). Les registres sont d’abord associés à certains genres (le tragique à la tragédie, l’épique à l’épopée, le comique à la comédie…).Mais ils dépassent les frontières de ces genres qui ont parfois disparu (L’épopée disparaît en tant que genre au

mort de Madame Bovary est terrible et libératrice en même temps pour la femme ; en montrant le côté négatif puis le côté « positif » de ce décès. Puis nous verrons par quels moyens l’auteur rend compte du réalisme de la scène de la mort de Madame Bovary. Tout d’abord, nous pouvons observer que la mort présentée est affreuse et libératrice à la fois. En ce qui concerne le côté négatif, on peut le voir en relevant le champ lexical de la mort avec les mots « agonisants » (l. 8), « force

supporter et m’encourager. Selon moi, l’amitié est sans aucun doute, un des aspects le plus importants dans la vie. Il n’y a rien de plus beau que de se sentir aimé et avoir des intérêts communs avec d’autres personnes. Tous ces beaux moments passés à rire et même à pleurer avec eux, augmente le bonheur. Savoir que toutes ces liaisons-là sont réciproques et faites pour durer nous rend heureux. C’est grâce à toutes ces belles personnes que j’adore, que je me permets de me mettre un 10 sur 10 pour cette