Le Rire Vulgaire

cette date que le roi Louis XIV les expulse à cause de la pièce satirique « La Fausse Prude » rédigée contre Mme de Maintenon, la maîtresse du monarque. En 1779, ce genre dramatique perd sa fraicheur et est considéré comme un théâtre grossier et vulgaire. C’est quelques années plus tard que cette forme d’art, avant qu’elle ne se transforme en Opéra bouffe, s’inspire du baroque-fantastique. Le texte n’est plus parlé, mais presque chanté, et la démarche des personnages est pratiquement dansée. Le comédien

métaphore "les crachats rouges" donne le ton du poème. Pour insister sur un mot en poésie, on le place soit au début, soit à l'hémistiche ou soit à la fin du vers. Importance de la place de "crachat". Un mot aux sonorités dures, terme très vulgaire et trivial, qui évoque le désagréable, le dérangement et le réalisme. "Crachat rouge" évoque le sang, opposition entre le ciel bleu…, l'or, le vert. Le canon crache du feu en 1870. Le mal a la couleur du feu, du sang, et de la haine. Nous avons

un acte vulgaire. Elle nomme l'activité de Pangloss « une leçon de physique expérimentale ». De plus, le partenaire de Pangloss, la « femme de chambre de sa mère » est décrite par Cunégonde de manière très gracieuse : « petite brune très jolie et très docile ». Face à ce spectacle, Cunégonde a une réaction à la fois surprenante et comique : elle reste et observe « sans souffler, les expériences réitérées ». On imagine facilement la scène, et l'aspect comique de ce spectacle tant vulgaire que étonnant

ce qui est renforcé par ses sonorités gutturales. Le baron se prend pour un grand : lui qui est appelé « monseigneur », il fait passer ses vulgaires chiens pour « une meute », - ce qui est valorisant car y sont associées des connotations de richesse par la chasse à courre – idem pour ses palefreniers et son vicaire. Ce baron suscite le sourire ou le rire car il raconte des contes : on peut peut-être voir un jeu de mots : le baron – qui n’est pas comte - raconte non pas des contes mais bien des

Le dépit amoureux, La jalousie du barbouillé. 3) Installation à Paris (1658-1661). _ Possède la protection du Duc d’Orléans : il commence à jouer à la court du roi Louis XIV. 1ère pièce jouer : Le docteur amoureux (1658) = farce = blague, vulgaire. Consèq ; il se crée une réputation ds le comique. _ A partir de 1660, M autorisé à partager une troupe d’acteur Italien : le théâtre du Palais Royal. _ En 1661, on lui donne un théâtre : le Théâtre du Palais Royal = il va être comédien, directeur

doit point voir, qu'un récit nous l'expose Les yeux, en le voyant, saisiraent mieux la chose ; » ou encore «  un spectacle grossier » Celle-ci, n'est absolument pas respecté dans la pièce, en effet, à de muliples reprises les personnages sont vulgaires «  Je suis emmerdé » qui est la dernière réplique de Clov ou encore Hamm qui insulte son père de « Maudit Fornicateur » . De plus, au cours de la pièce, de nombreux blasphèmes sont faits, ce qui est inadmissible si l'on prend la règles de bienséance

prêtre d'être le meurtrier de Mozart et lui raconte les circonstances de son forfait. Alors qu'il était compositeur officiel à la cour d'Autriche, Salieri avait été frappé par le génie musical du jeune Mozart en même temps que choqué par ses manières vulgaires. Lui-même austère et appliqué, il avait trouvé injuste de la part de Dieu d'accorder une si grande facilité d'inspiration à un homme si grossier. Salieri s'était alors employé à contrer la carrière de Mozart tout en feignant d'être son ami et l'avait

elles se levèrent, et la brune, avec un petit salut amical de la tête et un léger coup d'éventail sur le bras, dit à Duroy : " Merci, mon chat. Tu n'as pas la parole facile. " Et elles partirent en balançant leur croupe. Alors Forestier se mit à rire : " Dis donc, mon vieux, sais-tu que tu as vraiment du succès auprès des femmes ? Il faut soigner ça. Ça peut te mener loin. " Il se tut une seconde, puis reprit, avec ce ton rêveur des gens qui pensent tout haut : " C'est encore par elles qu'on

sont les pourboires des touristes qui le font vivre désormais, puisque sa patronne est partie sans le payer. Ravi de les voir, il décide de les convier au mariage d’un de ses amis, Nono, avec qui il travaille. Il est un peu grossier, mal élevé et vulgaire, mais il accepte de les convier à la fête, principalement parce qu’il s’est épris de la jolie Garance. La fête les dépayse par sa musique vieillotte, sa nourriture banale et l’humour gras des convives. Ils s’amusent tous, même si Garance et Lola

hyperboles qui montrent la violence des sentiments. Gradation : qui expriment la progression des impressions Notes personnelles : Le comique: Objectifs : faire rire ou sourire Diverses formes du comique : Le burlesque : provient du décalage entre le sujet et le style adopté. Ex : on peint une situation noble en termes vulgaires. C’est aussi un comique extravagant. Le grotesque joue avec les formes naturelles auxquelles il fait subir une déformation très accentués : imitation moqueuse, caricature