Le Roi Et La Féodalité Au Moyen âge

développement. La première est : comment expliquer l’émergence et l’affirmation de la notion d’Etat au cours du Moyen-âge. - Notion d’Etat : résurgence, vient du passé, de théories plus anciennes héritées de l’antiquité (RES PUBLICA). Les juristes médiévaux parviennent à lui donner une signification originale (à partir du 12ème siècle) en commençant par fixer des règles qui s’appliquent à tous même au roi : sorte de Constitution coutumière. Elle se construit en même temps que s’affirme l’Etat (à partir du

Plan de l’analyse littéraire Développement 1er paragraphe Idée énoncée (IÉ) : grande colère du roi (l.1 à l.9) Idée expliquée (IEX) : découverte des amants endormis désir de vengeance implacable Idée illustrée (I ILL) : a) 1 phrase en discours direct (serment du roi : « Que je meure si je ne les tue! » (l.5) & répétition deux fois Expl. : exclamation = sentiment profond & intense b) champ lexical de la menace vocabulaire violent : « dégrafa son manteau » (l.1), « bras

HISTOIRE DU DROIT C'est contre cet émiettement que s'est battis cet État royal, au profit du roi et de son gouvernement une souveraineté . Dans les souvenirs que les générations ont gardé de l'époque féodale, la féodalité est une sorte de repoussoir, modèle négatif, d'anarchie, désordre, d'absence de commandement central que l'on cherche à éviter. L'histoire sert à bâtir certains mythes qui continuent de peser dans le présent et l'avenir. Nous vivions dans une période de remise en cause de l'état

impôts. Les grands propriétaires à Rome, sont hostiles au durcissement du système fiscal. On va alors chercher à réduire les dépenses et pour se faire, on va réduire les budgets consacrés à l'armée. L'armée devient donc très faible, elle n'a plus les moyens pour fabriquer des armes performantes, elle ne pourra plus résister aux invasions. L'empire romain d'occident va alors être de plus en plus fragile et cet affaiblissement va alors mener à sa chute. La chute de l'empire romain d'occident

est le seul à pouvoir représenter l'intérêt général. -l'état détient la puissance suprême. la puissance publique détient en effet seul l'impérium (appelé par les romains) c-à-d la puissance absolue de commandement. Ce que l'on appellera dans le Moyen âge la plénitude potestas. A partir du 11 ème ce sera la souveraineté. Trois termes pour désigner la même idée. La souveraineté est consubstantielle à l'état. L'état n'existe pas sans souveraineté, et la souveraineté est le propre de l'état. - les

il doit y avoir une continuité du pouvoir (approche romaine), pour les rois germaniques, c’est différent puisque ce n’est plus une succession mais un héritage, lorsque les rois germaniques se succèdent, il y a un partage de royaume entre les fils du roi (facteur d’instabilité et de trouble affaiblissant le pouvoir). ♦ Les carolingiens vont perpétuer l’héritage germanique et les périodes de succession vont s’avérer des périodes de faiblesses. Deuxième problème = les invasions : Vikings et musulmanes

laissé le Saint-Siège affaibli, tandis que montait en puissance le roi de France (saint Louis, arbitre de la Chrétienté; politique hégémonique de Philippe le Bel) ; - affirmation des légistes au sein du gouvernement royal ; - portée européenne du conflit. Plan : Portée extérieure et intérieure du conflit, rapp. "Le roi est empereur en son royaume", souveraineté du roi à l'égard du Pape et de l'Empereur et à l'égard de la féodalité en France. I. La naissance de l’Etat français A. La fin d'un

centralisé, riche surtout d’un expérience administrative irremplaçable. La féodalité qui s’installe en Angleterre prend les aspects d’une féodalité originale. Au contraire de ce qui se produit au même moment dans le reste de l’Europe, la puissance royale n’est, en Angleterre, ni concurrencée ni menacée par celle des barons. Tous sont également étrangers, au sein d’un pays dont il ne parle pas la langue. Tous dépendant directement du roi, qui a pris soin de ne distribuer aucun grand fief. Extrêmement minoritaire

celui des rois, de l’Empereur du Saint Empire). Un des plus célèbres réformateurs le pape Grégoire VII (1073-1085) donne son nom à ce mouvement sous l’expression de réforme grégorienne. Le pape doit être désigné désormais non plus par un empereur ou un roi mais élu par des cardinaux. Par ailleurs, l’Église souhaite contrôler la désignation des évêques et des abbés. Une longue lutte oppose alors la papauté aux souverains laïcs. Cette affirmation du pouvoir de l’Église de Rome a des conséquences. Le pape

celui des rois, de l’Empereur du Saint Empire). Un des plus célèbres réformateurs le pape Grégoire VII (1073-1085) donne son nom à ce mouvement sous l’expression de réforme grégorienne. Le pape doit être désigné désormais non plus par un empereur ou un roi mais élu par des cardinaux. Par ailleurs, l’Église souhaite contrôler la désignation des évêques et des abbés. Une longue lutte oppose alors la papauté aux souverains laïcs. Cette affirmation du pouvoir de l’Église de Rome a des conséquences. Le pape