Le Roi Fontaine De Justice

LES ILLUSTRATIONS des « Fables » de la Fontaine Lors de la séquence « la justice sociale dans les fables de la Fontaine », nous avons vu en classe que les fables ont un pouvoir divertissant, une fonction didactique et une fonction critique. On remarque qu’à travers des illustrations des fables de Jean de La Fontaine, le pouvoir divertissant et les fonctions de ces apologues sont présents. En effet certains peintres ou illustrateurs comme jean Baptiste Oudry, Chagall ou bien encore Grandville ont

Anna Margerin 2°17 Argumentation sur Les deux coqs, La Fontaine I. Présentation : Sous le règne de Louis XIV, Jean de La Fontaine met en place à travers ses fables une critique de la société. Une de ses fables « Les deux Coqs » est extraite du livre VII des Fables de La Fontaine, recueil publié entre 1668 et 1694. Le récit met en scène deux coqs qui se livrent combat pour une poule. Le vainqueur crie sa victoire sur tous les toits et se fait attraper par un vautour. Le vaincu revient finalement

supériorité vis-à-vis d’Eldorado, effectivement, la ville que Candide visite est bien plus haute que n’importe quelle ville de France ne peut l’être surtout pour le XVIIIe s : « les édifices publics élevés jusqu’aux nues ». Rien que le portail du palais du roi est immense : « de deux cent vingt pieds de haut et de cent de large », à cette époque la hauteur maximum que pouvaient avoir les constructions était de seulement 55 pieds ce qui parait ridicule à côté du portail décrit. Le palais des sciences est aussi

Jean de La Fontaine, Fables,  Livre VII, fable 1 Sources de cette fable se trouvent certainement dans des récits du XVIème : "De la confession de l'âne, du renard et du loup", de Guillaume Haudent (Apologues, II, 60, 1547) etc…"Cette comédie très noire, dont le suspens est savamment ménagé, rejoint donc par le détour de l'ironie la haute et sombre inspiration tragique de Sophocle, de Thucydide et de Lucrèce, parente de celle des Psaumes." (M. Fumaroli, Fables, la Pochothèque) - " C'est presque

Jean de LA FONTAINE (1621-1695) Fils d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses, l’Oratoire. Cependant, au lieu de la Bible, il y lut “L’astrée” d’Honoré d’Urfé, roman pastoral peuplé de bergers amoureux qui était le best-seller de l’époque. À Paris, il découvrit les jolies femmes,

incarne le mouvement culturel et philosophe des Lumières. L'esprit des lumières peut etre caractérisé par quelques mots comme humanisme, émancipation, progrès ou encore optimisme utopique. Ils défendent les valeurs de la liberté, la tolérence et la justice. Le XVIIIe siècle tient un génie capable d'être Philosophe, dramaturge, poête ou historien, ce qui lui permet de parcourir presque tous les genres littéraires. C'est en 1759 qu'il écrit ce conte philosophique dans lequel on retrouve l'esprit critique

En quoi cette fable est elle une dénonciation de la société de La Fontaine ? Intro : Les obsèques de la lionne est une fable de la fontaine. Fables beaucoup plus philosophique et longues avec un caractère plus humain (Recueil 7). La Fontaine est un personnage artistique qui aime la solitude et la poésie. Nous verrons en quoi cette fable est elle une dénonciation de la société de La Fontaine. La Fontaine = Maitre d’ouvrage, Fabuliste donc un regard critique Axe 1 : L’art du récit / un

vingt pieds de haut, et de cent de large » (L2), « vingt belles filles » (L5) pour accompagner seulement deux personnes, « les grands officiers et les grandes officières » (L6-7), « deux files, chacune de mille musiciens » (L7), « les fontaines d’eau pure les fontaines d’eau rosé » et « de liqueurs de canne de sucre » (L14), « de grandes places pavées » (L15), la « galerie de deux mille pas, toute pleine d’instruments de mathématiques et de physique » montre que les habitants sont intelligents. D’après

la France n’est pas civilisée. De plus, Voltaire sous-entend aussi qu’il n’y a aucune distinction sociale à faire entre les maitres et les serviteurs. Voltaire fait également une énumération qui montre le raffinement de ce pays : « fontaines d’eau pure », « fontaines d’eau de rose », « celles de liqueurs de sucre ». Voltaire apporte une note qui montre la fantaisie et la richesse de ce pays : « robes d’un tissu de duvet de colibri ». Ce pays adopte une certaine richesse matérielle : « les pierreries »

facile à comprendre. La tradition ésopique s’est ensuite transmise grâce au fabuliste latin Phèdre au Ier siècle, puis grâce à l’humanisme au XVIe siècle qui a donné des traductions et des imitations des fables antiques, et enfin grâce à l’œuvre de La Fontaine au XVIIe siècle qui s’est inspiré des Anciens. • Depuis l’antiquité, l’apologue a donc beaucoup évolué et recouvre aujourd’hui de nombreuses formes narratives qui possèdent toutes, à des degrés divers, les caractéristiques suivantes : → Discours