Le Roi lion 3

la peau du lion » (V, 21), qui commence par ces quatre premiers vers : « De la peau du lion l'âne s'étant vêtu, Était craint partout à la ronde; Et bien qu'animal sans vertu, Il faisait trembler tout le monde. » Au personnage de l’âne, il substitue le singe, animal également familier de la Fontaine ( il apparaît à 7 reprises dans un titre de fable, notamment en compagnie d’un léopard qui vante sa propre peau IX, 3), tandis qu’il remplace la peau du lion par celle du

rappelle un fait historique : La convocation des Etats Généraux le 5 mai 1789. Ici, ce fait historique est transformé en élément de propagande. Au vers 14, le verbe « étal[er] » a un caractère ostentatoire. Il y a sur manifestation des richesses du roi. On peut voir aux vers 15-16 un effet de rupture : « Quel Louvre ! _un vrai charnier, dont l’odeur se porta D’abord au nez des gens. L’Ours boucha sa narine : »_ Il y a reprise du nom propre « Louvre » déjà évoqué au vers précédent (14).

qui le pousse à tuer sa femme et ses enfants, l’oracle de Delphes le condamne en pénitence à servir Eurysthée, roi de Tirynthe, pendant douze ans. Le roi lui impose douze tâches exténuantes. 1. Le lion de Némée : Héraclès fut envoyé à Némée tuer un lion monstrueux dont la peau était impénétrable aux armes normales. Il façonna une énorme massue avec laquelle il frappa le lion, puis il l’étrangla. Il déchira la peau de l’animal avec ses propres griffes et s’en revêtit, ce qui le rendit invulnérable

Maréchal attrape Phillipe de Valognes, et attrape son frein, Phillipe était sur son destrier et le frein qualifie les rênes du cheval. Guillaume a un antécédent avec Philipe car étant le prisonnier de roi d’Ecosse après la signature du traité de falaise[footnoteRef:19], le roi d’Ecosse devient vassal du Roi d’Angleterre. Ligne 51, au vue de l’accession de l’Ecosse dans le royaume d’Angleterre, Philipe doit avoir son propre destrier comme

goût du jour des fables dédicacées au Dauphin (l’héritier de Louis XIV), il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injus-tices de son temps. « Les obsèques de la Lionne » est une qui tire son originalité de sa longueur et de ses multiples rebondissements. Cette fable raconte la cérémonie d’obsèques de la femme du Lion, de la reine, et décrit les réactions des courtisans, puis plus particulièrement celle du cerf. Nous nous demanderons comment l’auteur arrive ici à dresser un portrait sans

étape : situation initiale (v.1 à 14) Elle contient l’élément perturbateur puisque la situation initiale évoque la peste qui atteint les animaux. On peut noter que le fabuliste dramatise la situation : il commence par des périphrases hyperboliques (v.1 à 3) et retarde la révélation du mal qui n’est donné qu’au vers 4 ‘‘la peste’’ (mot mis en valeur au début du texte). Il dramatise également en utilisant le registre épique, il donne une dimension mythologique au contexte par la référence à ‘‘l’Achéron’’

peut-on enseigner la morale, qui est un domaine extrêmement complexe, à des enfants. Les fables sont elles vraiment faites pour les enfants, sont elles destinées à un public innocent, ou déjà averti ? C’est ce que nous allons démontrer en un plan en 3 parties. La première partie montrera pourquoi les fables sont faites pour les enfants, la seconde partie contredira la première, en montrant qu’elles sont plutôt destinées aux adultes, qui ont déjà une certaine culture, et enfin, nous donnerons un point

récit de voyage : le regard étranger et la devinette 1) Une énigme : cherchez le « pays »… 2) Les procédés et le type d’écriture des récits de voyage : un pastiche 3) Un regard neuf : un narrateur ingénu II] Une satire féroce de la Cour de Louis XIV 1) Critique des mœurs : la satire morale 2) Satire religieuse et politique 3) Une leçon de relativité I] Une imitation de récit de voyage : le regard étranger et la devinette 1) Une énigme : cherchez le « pays »…       Décalage entre

angousses et des dolours Et des grant biens qu’en ont souvant Li desiple de son couvant, Qui lors estoit riches et boens ; Le noble roi Arthur de Bretagne, Dont la prouesse nous enseigne à être vaillants et courtois, réunit sa cour avec la magnificence convenant à un roi, lors de cette fête qui coûte tant qu’on l’appelle avec justesse la Pentecôte. Le roi était à Carduel, au pays de Galles. Après le repas, à travers les salles, les chevaliers s’assemblèrent là où les appelèrent les dames

je les ai choisis aussi pour leur morale et pour le sujet abordé. Q.3/L'unité du livre VII est selon moi la satire sociale puisque beaucoup des fables présentes dans le livre portent sur des sujets de sociétés comme la fortune, le rang social et la puissance, la place du couple et les disputes. Q.4/Les fables qui mettent en scène la comédie de la cour sont : Les Animaux Malades De La Peste La Cour Du Lion Le Chat, La Belette Et Le Petit Lapin Dans ces trois fables, la