Le Role Des Didascalies

tradition, le passage joue le rôle d’une scène d’exposition. Il situe l’action dans un cadre réaliste et intimiste. Il présente les personnages en laissant deviner des antagonismes susceptibles de créer un conflit. Le cadre de l’action peut être défini comme réaliste car l’auteur fournit dès le début de sa pièce des indications précises sur le lieu et le moment de l’action, en faisant référence à des réalités bien connues du lecteur. La didascalie initiale et les noms de personnes

costumes, qui jouent un rôle très important au moment de la représentation, seront différents. Les metteurs en scène choisiront un décor plus simple ou plus élaboré selon les éléments qu’ils veulent mettre en valeur. La pièce sera ainsi interprétée par le spectateur de manières différentes en regardant deux mises en scènes différentes du fait qu’il verra deux points de vue différents, peut être même, opposés. En outre, ces mises en scène différentes sont issues des didascalies inexistantes. Les auteurs

L’importance du langage non verbal : Au théâtre il y a le langage verbal et le langage visuel et sonore, ce dernier est le plus important. Le langage visuel et sonore s’appuie sur les didascalies mais pas seulement, cela dépend aussi du metteur en scène. Par exemple dans Les chaises d’Ionesco on remarque qu’il y a plus de didascalies de paroles de personnages (« il serre la main invisible » langage gestuel, « son des trompettes » langage sonore). Ce genre est donc unique car c’est à la fois un texte est

Comte. Suspens à son paroxysme --> RDV amoureux sous la pression de Bartholo = topos du théatre.RDV amoureux = RDV clandestin avt que R. ne l'avoue à Bartholo.B/ Didascalies = densité dramaturgiquesDidascalies --> soulignent l'intensité émotionnelle de la sc. C'est une scène de tension. On obtient un résumé grâce aux didascalies. Nbreux pts de suspensions --> marque de la tension dramaturgique. Phrases exclamatives nbreuses.1er mvt de la scène : R. en colère contre L. --> elle le croit

organisés par les silences/didascalies 2) effacement des prsg - CLOV/HAMM = pas de caractère, personnalité réelle, pas de rôle distinct - ce qui commande leur réact° = la situat°, pas ce qu'ils st eux-mm. - pr ces 4 prsg, vie = qq bribes (ex le lac de Caume) - identité = impressive (règne du on) 3) des prsg eux-même comédiens - voire didascalies - épisode du tailleur : NAGG joue 3 rôles II- Une théâtralité très forte 1) écriture didascalique très importante - didascalie initiale : 3 pages

Iphicrate est donc hors-jeu, il a perdu Arlequin et dans la conquête symbolique du pouvoir. Tutoiement a partir de la ligne 82 + ligne 66 "mon cher patron" montre une familiarité. Le ton menaçant et sérieux "prends-y garde" l'abandon du maître par les didascalie ligne 82, chacun sa vie. Il y a donc un dénouement qui tourne à l'avantage d'Arlequin mais le dénouement du conflit reste incertain à ce moment de la pièce II La progression dramatique Toute la scène prépare un renversement de situation 1 )un

dialogues, ne dit pas toutB. Les didascalies, bien qu'importantes, ne remplacent pas une vraie représentation scéniqueC. Certains textes, totalement dénués de didascalies, paraissent encore plus incompletsII) Le rôle de la mise en scèneA. Histoire de la mise en scène : le metteur en scène n'a pas toujours existéB. La mise en scène naît du texte d'après la propre interprétation du metteur en scèneC. Les différents points de vue face à l'interprétation des didascalies : mise en scène et texte sont intimement

nous pour juger de leur réalisme9. C’est là le grand avantage de la lecture scénique sur la représentation réelle, qui fonde, pour certains critiques du xixe siècle, sa supériorité essentielle (au moment même où la mise en scène commence à jouer un rôle envahissant) : la mise en scène peut y être, pour reprendre un terme récurrent sous leur plume, discrète. Dans un étrange entretien avec une journaliste10, Paul Valéry confie sa concep- tion fantasmatique du théâtre. Il rêve, dit-il, de « diviser

comtesse face à la colère du comte,. On peut constater tout d’abord que celle-ci adopte une attitude faite de soumission de supplication. Ainsi, nous pouvons constater que le registre pathétique est dominant. C’est ce que montrent, d’une part, les didascalies : « se jette à genoux » et « se jette sur une bergère, un mouchoir sur les yeux » (l.507) et, d’autre part, les expressions suivantes : « De grâce ! » (l.480), « au nom de votre amour » (l.499), « Oh ! Ciel ! Il va périr ! » (l.508). La comtesse

étant un drame romantique et la seconde appartenant au théâtre de l’absurde , ces pièces ont été pour leurs auteurs de véritables armes dans leur lutte idéologique .Mais leurs représentations , en partie prévue par leurs auteurs, ont aussi jouer un rôle très important . Dans les textes théâtraux de Hugo et Beckett, qu’elle est l’utilité de gestes et des objets dans la représentation ? Tout d’abord les gestes et objets permettent aux auteurs de mettre en scène le suicide de leur personnage en symbolisant