Le Role Du Rire

divertissante prônée par une frange d’écrivains. Enfin, nous verrons comment certains conjuguent ces deux attitudes. L’écrivain, le philosophe, le poète et l’artiste composent pour le genre humain une sorte de conscience, de repères et jouent le rôle de phares et de guides. C’est ainsi que Victor Hugo décrit quelle peut la mission du poète en général et de l’artiste en particulier: « Le poète en des jours impies Vient préparer des jours meilleurs. [...] Car la poésie est l'étoile Qui mène

lettres de noblesses, principalement en la figure de Molière. Dans cet extrait des Fourberies de Scapin daté de 1671, Molière reprend les caractéristiques de la farce et vise avant tout à faire rire le lecteur/spectateur. Son personnage principal, Scapin, est très largement inspiré de la Commedia Dell’Arte dans le rôle du valet fatécieux. Il veut ici se venger de Géronte et invite pour cela une tromperie des plus habile. Il fait croire à l’arrivée d’un personnage Gascon bien décidé à se venger de Géronte

Le comique Introduction Il est difficile d’analyser le comique car justement il touche au rire donc on a tendance à en rire. Le comique est basé sur une absence de règles. Il y a une « formule » mais « elle ne se déroule pas régulièrement (Bergson). Définitions du comique : Bergson : « ce qui est risible, c’est […] une certaine raideur de mécanique là où l’on voudrait trouver la souplesse attentive et la vivante flexibilité d’une personne. » Jean-Marc Defays : « « comique » sera donc

comédie française avec Thierry Lhermite, Jacques Villeret, Francis Huster et Daniel Prévot, Alexandra Vandernoot, Edgar Givry et Catherine Frot. Il s'agit de l'adaptation de la pièce de théâtre du même Veber dans laquelle Jacques Villeret jouait le même rôle. Chaque mercredi Pierre Brochant, célèbre éditeur parisien, organise avec des amis un « dîner de cons » : chaque organisateur amène avec lui un « con », intarissable sur un sujet précis, qu'il a déniché au hasard. Ensuite, les organisateurs se moquent

vis-à-vis de ses prétendants B. Les premières impressions données sur le caractère de Célimène II. La tempérance et le bien fondé du discours d'Alceste C. En opposition à l'extrémisme des scènes précédentes D. L'autre rôle d'Alceste dans cette scène III. Un morceau de bravoure comique E. L'inspiration de la comédie italienne, qui rend à Alceste son ridicule en en faisant un jaloux La critique du personnage de Célimène 2EME COMMENTAIRE ntroduction

Nana est le personnage principal et elle est déjà apparu dans le roman précédent : L’Assommoir. L'histoire se déroule sous le second empire, en 1868, Nana fait ses débuts dans un théâtre parisien dans le rôle de Vénus. Projet de lecture : Que se passe t-il ? Nana est sur scène et elle joue le rôle de Vénus. Comment joue t-elle ? Elle joue très mal, elle n'a aucun talent à part son physique. Sa voix est fausse, et elle a du mal à dire son texte en restant concentré mais elle s'en sort grâce à son

moeurs par le rire. Il convient ici d'affiner la division proposé par le critique. Dans les faits, on trouve toujours une prédisposition pour l'un ou l'autre de ces enjeux. Ainsi, dans la comédie latine, on trouve l'incarnation de ces deux courants, en la personne de Térence pour la peinture du réel et en Plaute pour la correction des moeurs par le rire. Ainsi dans son Miles Gloriosus Plaute met en scène un soldat fanfaron, Pyrgopolonice, où la peinture du réel se perd au profit du rire, le soldat

Texte 2. « Le rire de Gwynplaine » Auteur : Victor Hugo (né au 19e siècle), écrivain, poète, dramaturge et politique français, pilier du Romantisme / Touche à tout → roman (Les Misérables), poésie (Les Contemplations), théâtre (Hernani) Pb : Comment le rire de Gwynplaine illustre-t-il la monstruosité ? I/ Portrait de Gwynplaine A. oscillation entre deux apparences « rire automatique » → monstrueux : le visage est un masque (voir ref. à la comédie antique) / Tout est humain sauf son rire qui se déclenche

Charles Baudelaire De l’essence du rire et généralement Du comique dans les arts plastiques Éditions Sillage MMVIII Ce livre électronique est distribué sous licence Creative Commons. Pour plus de détails consulter les pages suivantes : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/3.0/deed.fr http://editions.sillage.free.fr/livreelectronique.html Conception graphique : Laëtitia Loas Éditions Sillage 90, rue Cambronne 75015 Paris http://www.editions-sillage.com Cet article fut

caricatural : la rend ridicule + comique de caractère L17- 19 Verbe « renoncer » : elle s’est privée de pouffer, elle aimait donc ça « Pouffer » : rire malgré soi, fait semblant, « moi superficiel » Alors elle décide d’y renoncer « effectivement » : Proust la ridiculise, elle faisait déjà semblant de rire, et là elle va feindre de faire semblant de rire. L’utilisation du registre soutenu permet de ne pas dire cela directement, et de passer par d’autres tournures = euphémisme. « Mimique conventionnelle