Le Roman Comique Scarron

Le roman au XVIIIe s Le roman apparaît au Moyen Age. Avant d'être écrit en prose, il était écrit en vers. On l'appelle «roman» car il était écrit en langue romane. Ecrivain du M-A : Chrétien de Troyes, Le chevalier à la charrette Le premier roman moderne est La Princesse de Clèves de Mme de la Fayette. Il y avait aussi des romans populaires : Le roman comique de Scarron. Les personnages subissent des aventures dans lesquels ils essaient de s'en tirer. On va reprocher au roman d'être orthodoxe

loin d’être annihilant, peut permettre la création de genres nouveaux. La naissance de l’Oulipo (Ouvroir de Littérature Potentielle), de même que ses exercices adoptant la forme de jeux littéraires, en témoignent. La disparition, de Georges Perec, roman fondé sur l’absence de la voyelle « e », est une histoire n’ayant rien perdu de sa logique, sans heurt ou cahotage dans son déroulement. Le texte demeure intelligible, en dépit de cette difficulté. L’auteur, orphelin, sublime par ce biais sa douleur

auteurs baroques européens sont des dramaturges, comme l'Anglais Shakespeare ou l'Espagnol Calderon, qui écrit La Vie est un songe en 1634. Le théâtre baroque se caractérise par une très grande liberté : L'Illusion comique de Corneille mêle tragédie et comédie. La poésie et le roman : La préciosité : ce courant naît dans les salons et exprime un idéal social autant qu'artistique de raffinement et de distinction (voir les précieux, dont Molière s'est moqué dans Les Précieuses Ridicules (1659)). Le

- De l'origine du roman au XIXe siècle. Genre littéraire le plus connu aujourd’hui, le roman est né au Moyen Âge. A l'origine, entre le Vème et le VIIIème siècle, le terme Roman désigne une langue parlée. Puis c'est ensuite vers le IXème siècle que le roman commence à s'écrire. Le mot "Roman" veut alors dire : "écrit en langue romane" (en langue vulgaire, en français), par opposition au latin, qui est la langue des érudits. On considère généralement que c'est Chrétien de Troyes,avec

sens qu'il possède dans ce cadre strict. D'après le Petit Robert, il s'agit d'un terme emprunté à l'italien « burlesco », qui vient lui-même de « burla » : la plaisanterie, la farce. Au sens large, le burlesque désigne une forme de trivialité, de comique outré, extravagant et déroutant, et par extension, ce qui est tout à fait ridicule, absurde, voire grotesque. Il s'agit d'autre part d'un genre cinématographique caractérisé par l'importance accordée aux gags visuels. Du point de vue de l'histoire

pièce de l'abbé de Pure n'a pas été publiée, ni en 1656 ni par la suite, et que la rapide analyse d'une pièce intitulée La Précieuse, que l'on trouve dans le roman du même abbé, La Prétieuse ou le mystère des ruelles*, a bien peu de rapport avec notre comédie. Plus certaine est l'influence qu'ont pu avoir sur Molière une comédie de Scarron que Molière a précisément jouée durant la saison 1658-1659, L'Héritier ridicule. Dans cette pièce, une jeune fille noble, Hélène, refuse d'épouser Don Diègue

* Francis JEANSON, Signification humaine du rire, Paris, Ed. Seuil, 1950 * Jean Sareil, L’écriture comique, Paris,P.U.F., Sedes, 1991 * Eric SMADJA, Le rire, Paris, P.U.F. « Que sais-je ? », 1976 * Claude SAULNIER, Le sens du comique, Essai sur le caractère esthétique du rire, Vrin, 1940 * Charles LALO, Esthétique du rire, Paris, Flammarion, 1949 * Jean Emélina, Le comique. Essai d’interprétation générale, Paris, Sedes « Présence critique », 1996 * Sigmund FREUD, Le mot

1597) : protestant converti au catholicisme, poète baroque, auteur notamment des Méditations (1588) ou des Sonnets sur la mort (1597). • Honoré d’Urfé (1567 – 1625) : le plus célèbre romancier du mouvement baroque. Son roman pastoral, L’Astrée (1607–1628) est le premier « roman fleuve » français ; ses thèmes sont l’amour, la justice et la paix. • Théophile de Viau (1590 – 1626) : libertin, auteur d’une tragédie (Pyrame et Thisbé, 1621), de sonnets et d’odes très personnelles (La Solitude, 1620)

Le registre comique est l'ensemble des éléments propres à distraire et à amuser le public. Au xviie siècle, le terme « comique » ne désigne pas prioritairement une œuvre amusante mais une œuvre traitant de sujets médiocres, mettant en scène des personnages n'étant ni des dieux, ni des nobles, ni des personnages fantastiques mais appartenant à la bourgeoisie ou au peuple1. On parle alors d'histoire comique. En ce sens, il existe des comédies où le registre comique n'est guère perceptible (les comédies

SCARRON Le Roman Comique Un anti-héros Un narrateur espiègle Vocabulaire dépréciatif pour décrire la Rancune: Le nom tout d'abord. Pseudonyme peu valorisant, laissant imaginer le caractère du personnage. La description est en accord avec le nom. l.7: le «narrateur « classe » le pers dans une catégorie, celle des misanthropes, dont il donne la définition l.8. À noter voc: « misanthropes, haissent, ne s'aiment pas » Négation totalisante « ne... jamais »: insiste sur ce point de caractères: