Le Roman Reflet De La Société

Historique du roman Au Moyen âge le terme « roman » désigne d’abord toute œuvre écrite en langue romane par opposition au latin. Au XII°, le sens du mot évolue et désigne plus spécifiquement un récit en vers écrit en français (souvent influencé par la mythologie). Ainsi jusqu’au XVII° le roman est un poème racontant une histoire de chevalerie (Ex : Les romans de Chrétien de Troyes comme Yvain et le chevalier au lion). Du Moyen-âge à la Renaissance, les textes de fiction offrent une représentation

permet de mieux cerner celui-ci et donc peut transposer facilement le personnage de papier au personnage réel 2) pour que le lecteur adhère immédiatement à l'intrigue et a la vision sur la société que l'auteur nous expose 3) le lecteur s'identifi au personnage réel ou réaliste : un ouvrier voit son reflet dans les persos de L'Assommoir , un amoureux avec Raphaël dans La Peau de Chagrin, adolescent avec Harry potter ou jeune étudient qui découvre la gde ville comme Paris avec Nicolas Poussin (

Bien qu’on sache qu’au Moyan Âge en France il existait une littérature pour la societé aristocratique ─Les Chansons de Geste et les Romans Courtois─, grâce à la croissance de l’influence de la bourgeoisie à partir du XII siècle il apparaît une littérature propre à cette classe sociale, narrative, plus réaliste, satirique et parfois avec un enseignement moral. L’une des ouvres plus célèbres de cette période est Le Roman de Renard, composé de récits indépendants ou « branches » écrits pour différents

Balzac, Avant-propos à la Comédie humaine ; les frères Goncourt, Préface à Germinie Lacerteux ; Emile Zola, Préface aux Rougon-Macquart et Guy de Maupassant, « le Roman » préface à Pierre et Jean. Nous allons trouver les éléments communs dans les différentes visions que proposent les auteurs sur le rôle et les caractéristiques du roman. Pour commencer, nous allons définir le nouveau héros. Puis, nous allons montrer qu'il s'agit d'une observation objective. De puis, nous allons montrer que les disciplines

« nobles » et l'expression effusive des sentiments de l'âme qui caractérisaient le romantisme, les écrivains réalistes se donnent pour but de représenter fidèlement la société de leur temps, même dans ses détails les plus sordides. C'est, par exemple, le projet de Balzac lorsqu'il s'attelle à La Comédie humaine (1841), vaste ensemble de romans qu'il considère comme « le plus grand magasin de documents que nous ayons sur la nature humaine ». Le naturalisme, avec Zola comme figure de proue, s'inscrit dans

fiction, le roman entretient avec la réalité un ensemble de relations complexes. Il place ses actions et ses personnages dans un cadre historique et social qui les situe. Pour Sade le roman est « l'ouvrage fabuleux composé d'après les plus singulières aventures de la vie de homme ». Si le but de l'auteur est de divertir son lectorat alors son roman sera un récit fictif construit sur les histoires les plus atypiques de la vie des hommes mais si la visée de l'auteur est d’écrire pour refléter la société

1 Les Souffrances du jeune Werther : Un bâtard de génie sur la scène romanesque de 1774. Parues en 1774, Les Souffrances du jeune Werther vont bouleverser l’Europe, car ce petit livre, fondé sur une expérience vécue, est l’exact reflet de ce que pense et ressent toute une génération née de vingt à trente ans auparavant. Nourris d’une littérature anglaise qui regorge de sentiments morbides, ces jeunes gens tournent le dos aux sèches philosophies rationalistes qui prétendent tout expliquer par

voit aussi un personnage qui s’appelle Léon. Il est au cœur des désires sexuelles du personnage Emma.  Au XIX. siècle on voit une société occidentale n’étant pas prêt accepter une relation amoureuse comme cela. Par rapport à son époque, c’est un récit trop courageux. Cette œuvre est considérée comme une histoire immorale d’une femme débauchée.  L’Ecrivain de ce roman, Gustave Flaubert, rédige cette œuvre sous l’effet d’une nouvelle approche littéraire. Le XVIII. siècle est l’ère du romantisme. Apres

« Un roman n’est pas de la vie représentée. C’est de la vie racontée. Les deux définitions sont très différentes. La seconde est, seule, strictement conforme à la nature du genre. Si le roman est de la vie racontée, il suppose un narrateur. C’est, si l’on veut, un témoignage et qui implique deux choses : une réalité que l’on atteste et un témoin qui l’atteste. » Discutez cette affirmation de Paul Bourget qui souligne le rôle capital du narrateur dans le roman. 2. Nombreux sont

La conception littéraire du personnage de roman. «  Un personnage de roman est simplifié et construit. On peut le comprendre. Dans la vie réelle, les êtres vivants sont des énigmes dangereuses. Leurs actions sont imprévisibles. Leurs pensées semblent entrer en eux, puis s’enfuir avec une rapidité qui confond. Dans ce désordre l’intelligence a grand-peine à trouver sa route. Au contraire, un personnage de roman est formé de ce que l’auteur y a mis. Créé par l’intelligence d’homme, il est accessible