Le Régionalisme S Oppose T Il Toujours Au Multilatéralisme

eux-mêmes dans les conditions particulièrement difficiles du monde moderne ». Pendant la WWII, même encore avec la Charte de l’ONU, on a un texte ambigu : il existe un Conseil de tutelle avec certains territoires gérés par l’ONU et les colonies existent toujours malgré la participation de ces peuples à la WWII. On connaitra ceci jusqu’à l’essor de la décolonisation des les 50’s6. Ce mouvement est donc politique mais aussi économique : la notion de la souveraineté permanente sur les ressources naturelles

complexe et qui ont des racines très profond dans la structure marocaine global. L’économie nationale reste très attachée aux conditions climatiques et aux exportations des ressources naturelles comme les mines. La structure économique du pays est toujours dominer par l’agriculture et l’industrie agroalimentaire ce qui entraîne un ralentissement de la croissance dans la mesure où ses secteurs sont sensibles aux conditions climatiques défavorables, se sont en effet traduites par un recul d'environ

de droit international. 17. Le premier principe répond, même s'il n'est pas toujours suivi d'actes concrets30(*), au souci de l'intégration économique31(*). Quant aux deux derniers, ils constituent une réponse aux exigences des puissances étrangères qui, depuis les années 1990 conditionnent leur aide à leur respect. Ces nouvelles règles semblent régir le comportement des Etats, même si la démocratie reste toujours fragile. Ce sont des normes qui bien que difficilement appliquées permettraient

théories du protectionnisme 122 B) L’organisation des échanges internationaux 124 1. Le cadre de la libéralisation des échanges commerciaux 124 2. Les principales organisations internationales du commerce 125 3. Le développement du régionalisme 127 C) LES ÉCHANGES INTERNATIONAUX ET LA BALANCE DES PAIEMENTS 129 1. Le commerce international de biens et services 129 2. Les mouvements internationaux de capitaux 131 3. Les mécanismes d’ajustement de la balance des paiements

L’interdépendance économique internationale reposait sur un socle politique qui en limitait la géographie. La fin de la Guerre froide a libéré la géographie, et amène les pays industrialisés à devoir mieux partager leur vision, alors même qu’ils se heurtent toujours à la difficulté d’en définir les lignes communes. Il serait cependant erroné de considérer que les négociations commerciales multilatérales mettent en jeu deux coalitions cohérentes, l’une entre les pays industrialisés, l’autre entre les pays en

ses propres constructions, et les modèles de ses propres actions » 8. Il faut donc en convenir avec le politologue américain Robert W. Cox qui se reconnaît une obédience marxiste-gramscienne étrangère aux herméneuticiens : « Une théorie est toujours pour quelqu’un et pour quelque chose. Toutes les théories ont une perspective. Les perspectives dérivent d’une position dans le temps et dans l’espace, particulièrement dans le temps et l’espace politiques et sociaux. Le monde est perçu d’un point

Kellog) ce Traité contenait l'engagement pris par une soixantaine d'états de renoncer à la guerre et de régler leurs conflits par des voies pacifiques. Même s'il symbolisait le retour des USA sur la scène internationale, le Pacte Briand Kellog laissait toujours la porte ouverte au recours à la force, en cas de légitime défense. En effet la conception extensive qu'avaient les États (et c'est encore le cas, sous certaines formes, de l'interprétation de l'article 51 de la Charte de l'ONU sur la légitime défense)

le processus productif. La consommation finale concerne les ménages définis par la comptabilité nationale en tant « qu’unité institutionnelle dont la fonction économique principale consiste à consommer ». La question des choix économiques est toujours posée  : chaque ménage doit opérer un arbitrage entre deux stratégies, consommer ou épargner (S). La consommation et l’épargne représentent les deux emplois possibles des revenus (R) des ménages. R = C + S avec par définition S =

contexte où la diffusion technologique au plan international tend à se réduire du fait de la privatisation croissante de la connaissance (logiciel, vivant). L’Europe et les régions en développement sont confrontées à un dilemme rigoureusement opposé. La première va souffrir d’une pénurie de facteur travail ; les secondes, d’une pénurie du facteur capital et d’un accès réduit au progrès technique. L’Europe peut envisager une politique d’ajustement d’inspiration malthusienne, visant à modifier

concurrence entre grands exportateurs de gaz vers les marchés de l’Union Européenne. Pour en arriver à cette conclusion, il faut sortir d’une assimilation hâtive de la dépendance gazière européenne à un problème de sécurité énergétique. 1. Deux mondes opposés L’histoire des marchés énergétiques internationaux et régionaux montre clairement que l’état du monde est un déterminant de ce qui arrive dans l’industrie gazière et pétrolière mondiale (J.G. Clarke, 1990). Dans notre domaine, on ne peut pas comprendre