Le Rôle Du Gouvernement Est Il Seulement De Garantir La Liberté

INTRODUCTION GENERALE * I. Objectifs du cours d’institutions publiques françaises et européennes On va partir du rôle du président de la république, pour arriver au rôle des collectivités locales. Intérêt et objectif du cours : familiariser aux grandes institutions européennes. II. Définitions Qu’est-ce qu’une institution ? Institution : Dans le droit général et au sens courant du terme institution, il s’agit du terme d’emploi fréquent pour désigner des réalités assez variées

prononce les paroles de la loi, des êtres inanimés qui n’en peuvent modérer ni la force ni la rigueur ». Locke, au contraire, voit dans les juges les garants des libertés inaliénables issues du droit naturel. Cette divergence philosophique est au cœur du débat actuel sur la possibilité pour des juges de garantir les droits et les libertés en opérant un contrôle sur les lois. Hans Kelsen a été le premier dans « la théorie pure du droit » à théoriser un véritable contrôle de constitutionnalité, et c'est

la Vie politique est l’activité réservé aux hommes et non aux femmes Fort heureusement «Préambule de la Constitution 1946» pose le principe :
 "La Loi garantie à la femme l'égalité dans tous les domaines à ceux de l'homme" Le Cour étudit ainsi les Conditions d'organisation de la vie politique et les acteurs (citoyens , gouvernements) de celle-ci -La participation des citoyens à la vie politique est indispensable mais celle-ci se fait dans un cadre institutionnel 
Ex : La Constitution

deux thèmes-clés. Rousseau tente de nous montrer les modalités du passage des hommes isolés et vivant seuls, à l'Etat; en un mot la formation du corps social en réalité politique. L'Etat ainsi formé doit être conduit; c'est ainsi le vouloir et le gouvernement du corps social qui est à cerner. Mais qui peut prétendre à l'infaillibilité ? Sans tenter à aucun moment de remettre en question son irremplaçable apport, le "contrat social" prête le flanc à la critique, de par les apories le parcourant, et,

dernières années ont été marquées par un grand désenchantement devant les résultats de la démocratie dans la pratique, une déception partagée tant par les citoyens des 'vieilles' démocraties que par ceux des pays fraîchement venus à cette forme de gouvernement, dits 'émergents'. Il n'est pas impossible que ce désenchantement ait toujours été inhérent au projet démocratique, ce que le théoricien politique italien Norberto Bobbio a appelé ses 'espoirs déçus' ou 'l'écart entre les promesses et les résultats

pouvoirs La démocratie constitue aujourd'hui un principe fondamental qui doit être mis en valeur dans tout Etat qui aspire à représenter le peuple. Le régime démocratique se reconnaît par le respect et la protection que l'Etat accorde aux droits et libertés des citoyens. L'Etat est gouverné par les représentants du Peuple et des limites sont établies afin d'éviter tout abus de ces représentants détenant la force publique. Pour ce faire, deux conditions sont instaurées, à savoir l'Etat de droit, autrement

traités. Son rôle essentiel était de faire respecter par le Parlement la délimitation du domaine de la loi grâce à l’article 34 de la Constitution. C’est pour cela que les lois organiques et les règlements des assemblées parlementaires sont soumis au contrôle du Conseil constitutionnel. Celui-ci occupe une place de plus en plus prépondérante. En effet, il s’impose comme régulateur de l’activité des pouvoirs publics. Mais aussi, depuis la décision du 16 juillet 1971 relative à la liberté d’association

L'évolution du rôle du préfet Le préfet est une création de la loi du 28 pluviôse An VIII, il est l'héritier direct de l'Intendant de l'Ancien régime. Napoléon Bonaparte attachait, à la fonction préfectorale, une importance telle qu'il en a choisi personnellement les premiers titulaires et qu'il avait déclaré «Je veux que le bonheur des français date de l'institution des préfets». De nos jours, l'institution préfectorale a reçu une consécration constitutionnelle : l'article 72, troisième alinéa

normes qui règle la conduite d'êtres humains" en tant qu'"ordre de contrainte". D'après une optique institutionnaliste et organiciste, "le droit consiste avant tout dans l'installation et l'organisation d'une entité sociale" et dans l'existence de "garanties institutionnelles" relatives à un "ordre concret" lui-même lié à des "institutions [qui] sont le centre ou la source de la chose juridique". Dans une logique décisionniste et volontariste, le droit se fonde sur une "décision [qui] est réellement

l'ennemi de la liberté ? L'état incarne les lois qui garantissent nos libertés cependant ces lois et ces règles ne nous permettent pas de faire absolument tout ce que nous voulons, nous ne sommes donc pas totalement libre. Ici s'installe un paradoxe, comment un état peut-il être l'oppresseur et la garantie de nos libertés ? C'est deux thèses s'affrontent et s'opposent cependant aucune des deux ne semblent réellement fausse. Voyons d'abord en quoi L'état apparaît comme l'ennemi de la liberté, mais en