Le Sacre du printemps

motif lyrique -> puissance du sentiment) b - champ lexical de l'affectivité "Je t'aime pour aimer" sans complément, valeur absolue du sentiment             "cœur immortel" : métonymie du sentiment amoureux 2) Femme aimée revêt un caractère sacré a - caractère unique mis en valeur par le jeu d'opposition singulier/pluriel "t'" "femmes" renforcé par "toutes" b - figure allégorique (incarnant qualités intel: "sagesse" morales: "cœur" générosité/sensibilité) 3) Ses dons, ses actions de bienfaisance

flûte traversière, mais elle est plus longue et sonne une quarte juste en dessous. Essentiellement utilisée dans des ensembles de flûtes et en musique contemporaine, elle apparaît parfois dans l'orchestre : Daphnis et Chloé de Maurice Ravel, Le Sacre du printemps d'Igor Stravinsky. La flûte basse en ut Plus longue que la grande flûte, son embouchure est recourbée afin que le flûtiste puisse atteindre toutes les clés. Elle sonne une octave en dessous de la grande flûte. flûte octobasse

pendant l’hiver …Ce poème fait réfléchir un grand nombre de personnes car on n’imagine pas comment cela peut se passer et il permet de ce mettre durant un court instant à leurs place, voila pourquoi je l’ai choisi ! Le papillon Naître avec le printemps, mourir avec les roses, Sur l’aile du zéphyr nager dans un ciel pur, Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses, S’enivrer de parfums, de lumière et d’azur, Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes, S’envoler comme un souffle aux voûtes

synesthésies, et explicitent le titre. Métaphores et personnifications : les premières analogies du texte se situent dans le premier quatrain. La Nature, doublement mise en valeur par sa position dans le vers et par la majuscule, est associée à un espace sacré, à travers le mot temple (v. 1). Les mots vivants (v. 1), paroles (v. 2), regards, observent (v. 4) soulignent une personnification : lieu privilégié de relation avec le divin, la Nature est ici présentée comme un endroit dans lequel l'être humain

44). De plus Saint Bernard fait aussi référence au Livre des Macchabées à la fin de sa lettre. Ce livre est un écrit biblique, rapportant l'histoire de la Judée à l'époque hellénistique. Enfin , les Chevaliers du Christ sont soumis à une quête sacrée celle de « garder la couche du véritable Salomon , c'est-à-dire le Saint-Sépulcre avec vigilance et fidélité »  (L.62). Le Saint-Sépulcre est le tombeau du Christ, construit sur la grotte où, selon certaines traditions chrétiennes, le corps de Jésus

graphiste autrichien symboliste et représentant de l’Art nouveau viennois recherche une autre expressivité pour ses oeuvres. . Son art est fait de modernité et d’un rapport très étroit avec l'érotisme. L’artiste cherche à donner une dimension presque sacrée à sa toile. Il s'agit du thème de l'étreinte amoureuse. Contexte Historique et artistique Durant la fin XIXe et le début du XXe, l’art hésite entre académisme et modernité il rentre ainsi dans une période de création originale

soixante jours après le solstice d'hiver. Les activités sont diverses dans ce milieu et dépendent de la période. Les travaux commencent avec l'occupation des vignes, puis au printemps on effectue le premier labour des terres pour éviter qu'elles durcissent et s’assèchent complétement pendant l'été. La deuxième moitié du printemps est pour les moissons et la saison des foins. Pendant l'été c'est le repos des paysans si on peut dire, mais ce repos est de courte durée car un mois après le solstice d'été

comporte deux formes bien distinctes l’une de l’autre : * Les jeux liturgiques, comme les miracles et les mystères qui sont des formes théâtrales sacrées. * Les farces, les sotties ou les sotie, qui viennent plus tard et qui sont plus des divertissements mais qui sont considérées comme une forme profane du théâtre médiéval. Cette distinction entre sacré et profane est très difficile à établir parce que parfois les deux formes coexistent dans une même représentation, par exemple, dans les mystères

commencent à se révolter, par exemple à Rome où un certain Garibaldi tente de proclamer une république, mais malgré certaine victoire la France intervient et replace le pouvoir au Pape. Mais bientôt dans toute l’Europe la population se soulève, c’est le printemps des peuples. En Autriche, la révolution provoque la chute de Metternich. Mais en France aussi, Paris se soulève

aliments que la nature lui offrait sans effort, cueillait les fruits de l'arbousier et du cornouiller, la fraise des montagnes, la mûre sauvage qui croît sur la ronce épineuse, et le gland qui tombait de l'arbre de Jupiter. C'était alors le règne d'un printemps éternel. Les doux zéphyrs, de leurs tièdes haleines, animaient les fleurs écloses sans semence. La terre, sans le secours de la charrue, produisait d'elle-même d'abondantes moissons. Dans les campagnes s'épanchaient des fontaines de lait, des fleuves