Le Savoir Vivre

au travers de ses désirs et de leur insatisfaction chronique. Si la réalité ne leur suffit pas, il faut se demander d'où ils viennent et qui nous sommes pour les éprouver. La satisfaction étant le début du bonheur, il s'agit finalement de savoir si l'on peut vivre heureux ici-bas. Peut-on se satisfaire de ce qui est ? Que voulons-nous vraiment ? I. La réalité n'est pas ce que l'on croit Le désir ne peut se satisfaire de la réalité selon Platon, parce qu'il a pour objet l'éternité. Il naît du

"L'imagination est plus importante que le savoir" L'imagination et le savoir sont deux concepts que tout Homme a en lui, et cela depuis toujours. La première de ces notions est née en nous, et est là inconsciemment, or, l'autre est venue petit a petit tout au long d'une existence. Aussi, pouvons nous nous interroger sur l'importance de ces deux valeures humaines, y'en a t'il une bénéfique, ou au contraire qui nous est inutile afin de vivre? Ce texte va successivement démontrer en quoi

seule condition au bonheur. Puis nous verrons que la thèse Eudémoniste a des limites en étudiant la thèse Hédoniste qui démontre au contraire que l’accomplissement de tous nos désirs mène au bonheur. Puis, nous verrons que pour être heureux, il faut savoir renoncer, mais que l’accomplissement de certains de nos désirs est vital. I. La raison doit emporter sur nos désirs si nous voulons avoir une vie de bonheur. Présentation de la thèse Eudémoniste : colmater le tonneau, se satisfaire au niveau pleincolmater

raison conduit-elle au bonheur ? Le bonheur est sans doute l’aspiration de tous les hommes. Quelles que soient les méthodes pour accéder à ce bonheur, ellessont bien évidemment différentes selon la personne. Dès lors, on peut se poser la question de savoir quelle est la meilleure « méthode » pour être heureux. La plupart des philosophies dictent un mode de conduite pour accéder au bonheur. Le bonheur, tout d’abord, et quelle que soit la philosophie empruntée, est un état de satisfaction durable, individuel

avons donc l'illustration parfaite de la manière dont l'espoir et l'attente sont liées, durant tout le livre l'attente de godot est ce qui poussent les deux personnage a continue a vivre. Leur attente est totalement passive il ne font qu'attendre sans rien faire d'autre qu'attendre inlassablement godot sans même savoir ce qu'il est. Si l'attente a ici un connotation négative elle a dans la vie quotidienne un aspect positif du moins au sujet de ce que nous réserve l'avenir nos rêves nos espoirs résident

d'environ quarante ans haïssant le monde où il vit, haïssant ce « Big Brother » mais trop passif pour agir et tenter quoi que ce soit. Cependant Winston fera la rencontre d'une fille n'étant pas formatée par la société ce qui lui redonnera l'envie de vivre et ils tenteront à eux deux de rejoindre une organisation ayant pour but de détruire « Big Brother ». Ce qui m'a donné envie de lire ce livre est le fait que l'on entend beaucoup parler de ce que le gouvernement nous cache, conspiration, surveillance

Il peut qu’aucun de nous deux ne sache rien de beau ni de bon ; mais lui croit savoir quelque chose, alors qu’il ne sait rien, tandis que moi, si je ne sais rien, je ne crois pas non plus savoir. Il me semble donc que je suis un plus sage que lui par le fait même que ce que je ne sais pas, je ne pense pas non plus le savoir. » ( ξ VI). Cette pratique est philosophique car elle a conscience que la sagesse est le savoir de notre ignorance, de nos limites et de la connaissance de soi. Mais elle attire

les idees de l’humanisme. Ce mouvement culturel fait son apparition au milieu du 16eme siecle avec la redecouverte des textes anciens grecques et latines. L’humanisme est un mouvement culturel qui se caracterise par une attitude nouvelle face au savoir et face a l’homme, il encourage l’apprentissage et l’education qui permet d’affiner,d’ouvrir son esprit critique et enfin il exprime sa confiance en l’homme et de ses capactites. Nous nous demanderons alors en quoi le rire dans Gargantua est un rire

littérature et création » Deuxième et Troisième Baccalauréats Quelques réflexions à propos des « Lettres à un jeune poète » de R.M. Rilke, livre contenu dans le portefeuille de lecture (Sur le rapport entre l’artiste, son œuvre, et ce qui s’appelle vivre) Les « Lettres à un jeune poète » comportent dix lettres écrites par Rainer Maria Rilke, alors âgé de 28 ans, à un tout jeune homme d’une vingtaine d’années, Franz Xavier Kappus qui lui a envoyé des poèmes et qui est alors élève de l’académie militaire

situations concrètes de l’existence. Le fait même de vivre devient un lieu de recherche. Le sujet qui interroge devient lui-même l’objet interrogé. C’est cette question de l’identité et de notre manière humaine d’exister que ce cours prend pour fil conducteur. C’est la question que je suis pour moi-même qui ménage un accès possible à la compréhension de qui je suis, mais cette possibilité est au même moment affectée par l’impossibilité de savoir pleinement qui je suis. Schopenhauer exprime