Le Savoir Vivre

Peut-on vivre sans amour ? Tout d’abord, dans cette interrogation, « peut-on » signifie « a-t-on la possibilité, la capacité de vivre sans amour ». L’amour est un sentiment d’affection et d’attachement envers un être ou un chose. Mais dans cette question le mot indispensable est « sans ». En effet, on attend ici de savoir s’il est possible ou non de vivre avec d’autres sentiments que celui de l’amour. Mais choisit-on vraiment de vivre avec ou sans ce sentiment ? Dans un premier temps, on pourra

c'est de vivre pour le commun des hommes (on remarque d'ailleurs que l'auteur s'exprime avec un «nous» plus général); La deuxième partie relate la perception de notre comportement au détriment d'une vision incomplètes des choses qui nous entourent, et la troisième partie conclue sur le fait que l'Homme privilégie le coté utile des choses pour une efficacité meilleure dans leur vie. La première partie est donc commencée par une définition que nous amène Bergson de l'acte «vivre». Le texte

et de sa définition, elle désigne le passage de l’état nature à l’état cultivé. Celle-ci nous est transmise par nos ancêtres et les hommes qui vivent en même temps que nous, au même endroit, dans le même pays, la même région… Les règles de savoir vivre, le langage, l’histoire de son pays, la musique, l’école, la religion… sont des éléments importants de notre culture que l’on nous éduque dès notre naissance. Ce terme désigne le propre de l’existence humaine, organisé par des coutumes et des

verrons que le bonheur peut peut etre se trouver si nous restons conformes a des envies ou plutot besoins naturels . Dans une troisieme partie , nous etudierons en finalite le bonheur et le plaisir afin de determiner s’il faut se poser la question de savoir si le bonheur est le plaisir ou le plaisir est le bonheur. THESE 1°idée :le bonheur est trop capricieux. Tout le monde aspire au bonheur mais son caractere est tres aleatoire. Qu’est ce que le bonheur en réalité ? C’est une notion

oeuvres d'Aristote et de Gide au programme illustrent-elles cette proposition? (Amitié) Alain écrit: "Les nigauds de moralistes disent qu'aimer c'est oublier, vue trop simple, plus on sort de soi-même et plu s on est soi-même, mieux aussi on se sent vivre." Vous vous interrogerez sur les dimensions de l'amitié que cette réflexion d'Alain (Amitié) Comment reconnaître un vrai ami et existe-t-il vraiment de nos jours ? (Amitié) "Le pauvre est odieux même a son ami, mais les amis du riche sont nombreux

très sérieux et surtout soucieux de faire passer leurs savoirs, elle avouait avec enthousiasme qu’elle écrivait par pur plaisir… Peut-on donc écrire, comme Mlle Lespinasse, seulement par pur plaisir ? Quelles seraient donc les fondements de cette jubilation de l’écriture ? Mais la motivation de Julie est-elle la seule possible ? Quels moteurs peut avoir la production d’écrit en dehors du plaisir ? Tout d’abord, l’écriture permet de vivre par procuration, de s’inventer peut être une autre vie

Réalité et désir, deux concepts qui sont au cœur de plusieurs questions trop souvent portées à controverse. Certains prétendent que pour vivre dans la réalité, il faut avoir des désirs, d’autres croient que les désirs nous éloignent de la réalité; Les désirs nous détournent-ils de la réalité? Oui, il faut se méfier des désirs et de vivre pleinement dans la réalité. Un désir, c’est une pulsion qui nous fait envier une chose. Ils nous rendent donc impulsifs et nous font faire certaines choses

raison de vivre : par exemple philo-posia désignait celui qui prenait plaisir à boire. Philo-sophia est donc celui qui prend plaisir à réfléchir, celui qui aime la sagesse. Cette façon d’être, c’est alors propagée d’une manière phénoménale à Athènes. Une fois le mot philosophie né (Philo-sophia en grec) de nombreux penseurs se font connaître tel que Socrate qui a beaucoup influencé la définition du Philosophe. C’est ce dont parle Pierre Hadot dans une troisième partie, traitant du non savoir socratique

est inventé par PYTHAGORE au 6ème ACN. 1.2. LA PHILOSOPHIE EST-ELLE INDISPENSABLE ? Elle permet de mieux vivre à la manière de l’art mais ce n’est pas un critère absolu. Les philosophes n’ont pas toujours eu des vies heureuses. Kant (18ème) simplifie la philosophie en questions : - Qu’est-ce que je peux savoir ? - Qu’est-ce que je peux espérer ? - Comment dois-je vivre ? - Qu’est-ce que l’Homme ? 1.3. OU ET QUAND APPARAIT LA PHILOSOPHIE ? A Milet (Grèce) en -600. THALÈS de

" ou du moins, chaque être humain a un jour voulu savoir quel était son but, quel était le but de sa vie. Il est hors de question pour un homme de concevoir qu'il peut vivre dans un but vain, ni même chercher à donner un sens à sa vie. Les philosophes au contraire des sophistes, ne considèrent jamais qu'ils ont acquis la sagesse et veulent toujours en savoir d'avantage. Un sophiste, quand à lui, croit etre arrivé au terme de sa recherche du savoir. C'est ici que se pose alors les véritables problèmes: