Le Silence Est Une Vertu

Poétique d’Aristote. -_Personnage d’Aricie présent chez Virgile. Respect de la vie de Thésée selon Plutarque. - respect de la bienséance : pas d’accusation claire de viol, pas de calomnie de la part d’une Princesse. - théâtre doit être une école de la vertu. - visionnage de la scène dans la version de Chéreau. Remarque : une partie du texte n’est pas joué→ éléments trop XVIIème ?  Éléments pour l’introduction : Amorce : La tragédie classique a un but moral. Ainsi dans sa préface à Phèdre en

C'est retrouver là, après la médiation de l'éducation, le postulat « Tout est bien sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme » (non naturel). Devant l'« essence infinie de Dieu », l'homme doit se résigner au silence dans l'adoration : « Le plus digne usage de ma raison est de m'anéantir devant Toi. » Le déisme de Rousseau, fondé sur sa foi en la Providence, sur sa croyance en l'immortalité de l'âme, lui donne aussi la foi en son propre cœur : « Le culte essentiel

Ces vers sont tirés de Heloise et Abelard "Chères sœurs, de mes fers compagnes innocentes Sous ces portiques saints colombes gémissantes, Vous qui ne connaissez que ces faibles vertus Que la religion donne... et que je n'ai plus ; Vous qui, dans les langueurs d'un esprit monastique, Ignorez de l'amour l'empire tyrannique ; Vous, enfin, qui, n'ayant que Dieu seul pour amant, Aimez par habitude et non par sentiment, Que vos cœurs sont heureux, puisqu'ils sont insensibles

Sic transit gloria mundiVénérable maître,Lors de ma de réception au grade d’apprenti, aussitôt après que la lumière me fut donnée, le second surveillant s’exclama « Sic transit gloria mundi » ! Tant, la cérémonie fut riche en évènements, je dois vous avouer avoir omis cet instant, et c’est en lisant le Rituel de l’apprenti au 1er grade du R.E.R que je me le remémorai et voulu en connaitre le sens. D’où l’envie d’en faire le thème de ce travail que je vous présente ce midi. Citée qu’une seule fois

pervers en les enfermant. L’auteur donne à son texte une connotation orientale en évoquant les règles du harem. Les femmes sont respectueuses des traditions L9-10. Elles portent « le bandeau sacré » L 10, allusion au port du voile, et gardent le silence puisqu’elles n’ont pas le droit de s’exprimer. Elles ont des eunuques L11 – 12 pour les protéger et des esclaves derrière lesquels elles se cachent et qui parfois sont des complices L23. La métaphore valorisante de la virginité « ce trésor » L 16

jamais vu qu’à elle, tous. Le caractère exceptionnel du personnage concerne aussi son statut social : une des plus grandes héritières de France, un des grands partis qu’il y eut en France. L’idéalisation touche également sa mère, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Sa singularité vient enfin de l’éducation qu’elle a reçue. Mme de Lafayette n’insiste pas sur la formation intellectuelle de son héroïne. Tout est dit en une formule qui met sur le même plan les facultés mentales

»). La première concerne les « pas », qualifiés d’« enfants de mon silence » (v. 1), parce que le bruit des pas de la femme se perçoit mieux dans le silence que le narrateur s’impose. Aussi semblent-ils « naître » de ce silence. Si l’on voit dans cette femme la Muse du poète, la métaphore demeure, mais change de sens : les « pas » traduisent l’obsession, la recherche d’un rythme ; les « enfants de mon silence » représentent les différents stades de la réflexion de l’écrivain. C. La

« elle », « je » Rythme rapide, réponses ne sont pas développées par Meursault, parfois qu’un mot « non », réponses style indirect, peu de liaisons ponctuent l’ensemble « puis », « alors », pas de commentaires de Meursault qui est étranger à Marie. Silences chez les 2 personnages « je me taisais », « s’est tue un moment » => pas de communication tant leurs valeurs sont différentes Ecriture sèche alors qu’il s’agit de mariage, pas d’expressions d’affectivité, Meursault banalise le mariage. Mise à jour

une sorte de panique un arrêt qui le portait d’un coup, seul et réduit à lui-même, au centre d’une lumière crue ? De quel cœur aussi pouvait-il recevoir cet honneur à l’heure où, en Europe, d’autres écrivains, parmi les plus grands, sont réduits au silence, et dans le temps même où sa terre natale connaît un malheur incessant ? J’ai connu ce désarroi et ce trouble intérieur. Pour retrouver la paix, il m’a fallu, en somme, me mettre en règle avec un sort trop généreux. Et, puisque je ne pouvais m’égaler

troisième Temple, un vieux prêtre l’accueille : « Que cherches-tu dans ce sanctuaire ? » « Je voudrais acquérir l’amour et la vertu », répond Tamino. Il ne cherche plus seulement Pamina, mais se situe sur le plan d’une recherche personnelle sur les grands mystères de l’existence. Cependant, il pense toujours que Sarastro a enlevé Pamina et le prêtre, qui a fait vœu de silence, ne peut le détromper, mais lui annonce qu’elle est toujours vivante. Mais le son des trompettes, ainsi que le chœur, annoncent