Le Silencieux

Si l'absolu existe, ce sont ces deux âmes là qui le lui révéleront! Ces deux âmes qu'il observe...Silencieux, discret...Fasciné. Ces deux âmes qui se respirent, se questionnent, se découvrent, se revèlent peu à peu dans un balai envoutant de sauvagines rampantes ou virevoletantes. Coeurs livrés sur des vélins legers...Coeurs mélés dans des entrelas de consonnes et de voyelles voyageant sur la terre...dans les airs...dans l'ether! Observateur lunaire depuis si longtemps il ne pensait

quelques petits soucis...). En s'asseyant à l' accueil, Han-na pensait à son blog. Elle n' avait rien posté depuis un bon moment. Mais de toute façon, ce n' était pas comme si il se passait quelque chose d' intéressant dans sa vie. Tout était calme et silencieux, de même que les jeunes femmes. Certains appellent cela le calme avant la tempête. Mais ce n' était pas une tempête : Han-na sentit le sol trembler, puis tout s' effondra. Elle ne put retenir ses cris, ni ne pas entendre ceux de Alice. Que s'

pouvaient le flatter, il l'écoutait avec une profonde attention, acquiesçait, ouvrait grand les yeux et lui demandait s'il voulait qu'il nettoie la voiture. Au contraire, s'il le voyait avec la mine grave, qu'il ne répondait pas à son salut, il restait silencieux et écoutait ses sermons (litt:menaces) la tête basse, comme pour se repentir. A l'heure du déjeuner, la tension était moins forte, sa mère servait d'élément de diversion. Ses parents discutaient entre eux, il pouvait passer inaperçu. La nuit, le

pauline commentaire: Intervient alors Alfred de Nerval, ancien amoureux silencieux de Pauline. «Par hasard», il se trouve pris dans une tempête en mer et s'échoue tout près de cette abbaye... Alfred voit quelqu'un en sortir et décide aussitôt de revenir pour découvrir ce qui s'y cache. Entre-temps, il apprend le décès de Pauline et réalise, se glissant à son chevet, qu'il ne s'agit pas d'elle, mais d'une autre femme, inconnue. À la nuit tombée, il se rend à l'abbaye où, par de sombres couloirs

Le symbolisme de l’eau chez duras « Toutes les images sont absentes, le ciel est vide, mais le mouvement est là, vivant, sans heurt, rythmé- c’est le mouvement presque immobile, bien silencieux, L’eau nous porte, L’eau nous berce. L’eau nous endort. L’eau nous rend notre mère »[1] L’eau porte en elle le poids pesant de l’être humain, comme la mère qui porte dans ses entrailles le germe qu’elle nourrit de son sang et berce dans son étreinte ; Ô si chaleureuse !

John Cage, compositeur et philosophe affirme en ces termes : « Il n’existe pas de silence absolu ; il se produit toujours quelque chose qui émet un son ». Chez l’homme, le silence semble être plutôt un processus mental réel : le fait d’être silencieux. Si le silence n’existe pas alors admettons que l’environnement influence le mental. Alfred de Musset a dit : « La bouche garde le silence pour écouter parler le cœur » Parler pour ne pas s’entendre, parler et ne pas s’écouter. C’est

reprises, j’aurais voulu pouvoir intervenir, voulu pouvoir m’exprimer. Ce n’est qu’après coup, que je m’apercevais que mon intervention se serait avérée inutile. Mais, attention, ne te détrompe pas Vénérable Maître, ce n’est pas parce que j’ai été silencieux en tenue que je ne me suis pas exprimé. Ma façon d’y être attentif, le respect du rituel, mon adhésion sincère lors des chaînes d’union sont un discours en soi. Il ne faudrait pas confondre silence et mutisme. Comme le berger de Coelho, nous

famille du mot « silere » qui signifie rester silencieux. Il semble passif. Mais, le Silence, associé à la voie initiatique, doit faciliter et entretenir la compréhension. Il ne correspond ni à une prostration, ni à un mutisme, ni à une brimade, mais à une forme de transfert de la parole vers autre chose qui passe par le partage et instruit à parler en Loge, parler avec la Loge. C’est un chemin vers soi et vers les autres. Le fait d’être silencieux oblige à être à l’écoute et à tirer partie de ce

inexpérimenté de la jeune fille. a) La description de son corps. b) Son désirs d'écrire et le cynisme de la mère. II- Le point de vue externe. Une scène très sensorielle. a) Une scène photographique b) La description du climat c) Un brouhaha silencieux Le texte ici étudié est un extrait de l'Amant de Marguerite Duras (1914-1996). L'Amant est un récit autobiographique, relatant l'adolescence de Marguerite Donnadieu en Indochine et son histoire d'amour avec un riche chinois de 12 ans son ainé

Patrick Maloney, policier de haut rang assez silencieux, était triste et stressé de devoir annoncer à sa femme, Mary Maloney qu'il devait la quittait car il ne l aimait plus et il savait que cela allait lui faire du mal. Mais il se sentait obligé de lui dire car il ne pouvait pas continuer à lui mentir et faire comme si de rien était .Dans sa voiture, il n'arrêta pas de se demander comment allait il faire pour lui annoncer la nouvelle. Devait il lui montrer tout de suite qu'il n'était pas très bien