Le Soldat Blessé

de la part du front français, les soldats voient leur colère s’accroître. Le front commence alors à protester. La première cause de ces protestations sont les conditions de vie des soldats. En effet, les conditions de vie dans les tranchées étaient exécrables : les combattants ne recevaient qu’un seul repas par jour qui, de plus, était froid, manquaient cruellement de sommeil à cause des bombardements d’artillerie, vivaient dans la boue et le froid. Les soldats étaient également affectés psychologiquement par

territoire, il autorise par la même occasion ces troupes à ouvrir le feu. La bataille de Lexington le19 avril 1775 est le signal de la rupture et du début de la guerre d'indépendance américaine. Au final, 273 Britanniques périrent, disparurent ou furent blessés contre seulement 95 colons. Le 23 aout 1775 le roi Georges III déclare les colonies américaines en rébellion. En 1775, les révoltés, appelés aussi insurgent, choisissent comme commandant en chef George Washington, originaire de Virginie, qui a combattu

la guerre les populations montrent plus de résignation que d'enthousiasme, de fait de l'entrée en guerre durant les moissons. Cependant le patriotisme l'emporte sur le pacifisme. Le gouvernement français avait préparé les troupes et les futurs soldats dés 1910, avec le passage du service militaire de 2 à 3 ans, il y a préparation militaire. Chacun pense que cette guerre sera comme toutes les autres et gagnée par l'art militaire traditionnel. On pense à un conflit court, quelques mois seulement

bombardement (que les soldats appelaient des marmitages). Tout à coup il commence à trouver la guerre longue et pas si bien. 2ème partie Maintenant les deux garçons sont des soldats habitués à la guerre, elle dure beaucoup plus longtemps qu’ils le croyaient et ils savent aussi que vraiment la guerre c’est horrible. Ils vont maintenant au combat, ils ont tués des hommes et fait des assauts. Mathias est tué au combat à cause des gaz asphyxiants. Lors d’une attaque Eugène est blessé et envoyé en permissions

La Pertes militaires irakiennes est de   ​ ●   100 000 morts selon la Coalition, 20 000 morts et 60 000 blessés selon l'Irak, entre 3 000 et 5  000 morts et entre 8 000 et 15 000 blessés selon plusieurs experts. 175 000 prisonniers de  guerre annoncés à la fin du conflit, chiffre réévalué à 86 000 dont 2 500 blessés.  Deplus les Pertes militaires alliées sont ​ au total de 240 morts et 776 blessés,   maintenant parlons des pertes civiles ...  Il n'existe aucun chiffre officiel sur les pertes civiles irakiennes

lors de la première guerre mondiale, sur le front de l’ouest, et concerne la vie d’une compagnie de soldats allemands, et notamment celle de Paul Bäumer. Sujet de l’histoire : C’est un témoignage réaliste sur l’horreur de la première guerre mondiale, où l’auteur allemand décrit, les atrocités de cette guerre, la perte de l’insouciance, la souffrance, la désillusion et la culpabilité des soldats, et donne finalement un message pacifiste. Genre : Il d’agit d’un roman historique. Résumé de l’histoire :

Somme, la difficulté qu’avaient les troupes françaises à tenir malgré le renfort des alliés anglais et américains, les blessés, les morts, les fils, les pères, les maris, les frères, dont on était sans nouvelles » (l.15-18) et leur douleur devant cette « bataille qui faisait rage » (l.20) ; la présence du soldat américain en uniforme (l.34) ; enfin l’évocation du départ du soldat : « son régiment partait pour la Somme. (…) La Somme, c’était cette bataille sans merci où tombaient tous les hommes »

l'énemie, qui est reliée par l’intermédiaire des boyaux aux secondes positions destinées a évacuer les blessés. Devant les tranchées de chaque camps, on peut voir un « mur » de barbelés qui est la délimitation entre le no mans land ( qui se trouve entre les deux camps ) et les fossés. Dans ces trous, il y avait différents abris creusés afin de protéger les soldats mais aussi de placer les blessés avant qu'il ne puissent etre évacués. Les conditions de vie dans ces endroits étaient exécrables voir

I. Présentation de l’œuvre Cette chanson vient d’une mélodie de Charles Sablon, Bonsoir M’amour en 1911. Le texte est écrit par des soldats de la grande guerre et connaît plusieurs versions, la chanson de Lorette en 1915 et la chanson de Craonne en 1917. Elle sera publiée en 1919 par Paul Vaillant-Couturier, écrivain, journaliste et homme politique français, mais interdite par le gouvernement en raison de ses paroles antimilitaristes. La censure sera levée par le président Valéry Giscard

Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante, Jette fidèlement son cri religieux, Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente! Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses ennuis Elle veut de ses chants peupler l'air froid des nuits, Il arrive souvent que sa voix affaiblie Semble le râle épais d'un blessé qu'on oublie Au bord d'un lac de sang, sous un grand tas de morts, Et qui meurt, sans bouger, dans d'immenses efforts. Dès l'avertissement Au