Le Soldat rose

d’enfance Casagenas, Picasso très affecté tomba dans la période bleu ses peinture était tristes et froides. A la suite de sa en 1904 il s’installe à Paris. A l’arrive à Paris Pablo retrouve goût à la vie est tombe amoureux ce qui suscite la période Rose. De 1908 à 1914 il rencontre Georges Braque, c’est avec lui qu’il invente le cubisme. Pablo Picasso meurt à Mougins en France en 1973. Auteur : Pablo PICASSO Technique : Huile sur toile Dimensions : 780cm x 350cm Réalisée entre le 1er mai et

Qu’il est bien seul, qu’il aime à deviser un peu En se chauffant les pieds, le soir, au coin du feu, Et comme il n’entend rien aux choses maritimes, Le fossoyeur et lui sont devenus intimes. Car c’est, à la campagne, un causeur assuré Qu’un soldat vétéran auprès d’un vieux curé. Celui-là, revenu dès longtemps au village, Invalide vaincu par la guerre et par l’âge, Trop vieux pour devenir laboureur ou marin, Est fossoyeur, et chante, aux grands jours, au lutrin. Or, c’est un compagnon agréable

aimait la mort - illustration : la jeune fille et la mort Page 8-9 : La Mort et le Bûcheron - illustration : La Mort et le Bûcheron Page 10-11 : Ce que c'est que la mort - illustration : La mort de Sardanapale Page 12-13 : la tombe dit a la rose - illustration : La mort du toréro Page 14-15 : Dom juan aux enfers - illustration : Le naufrage de Dom Juan Page 16-17 : Mort !- illustration : La mort de Marat Page 18-19: Si je trépasse entre tes bras, Madame - illustration : la piéta

Beaux-arts de Barcelone. Sa période bleue correspond aux années 1901-1903. Elle tire son nom du fait que le bleu est la teinte dominante de ses toiles à cette époque, qui a débuté avec le suicide de son ami Carlos Casagemas. Plus tard, il aura une période rose. Vers 1907, il fonde avec Georges Braque le mouvement cubiste qui consiste à décomposer les objets en couleurs et éléments géométriques simples (cônes, cylindres, et cubes), révolutionnant ainsi l’approche du monde visible. On peut distinguer trois

pied2 Qui vient nous remplacer Doucement dans l'ombre sous la pluie qui tombe Les petits chasseurs vont chercher leurs tombes. REFRAIN 3- C'est malheureux d’voir sur les grands boulevards Tous ces gros qui font la foire, Si pour eux la vie est rose, Pour nous c'est pas la même chose Au lieu d’ se cacher tous ces embusqués3 F’raient bien d’monter aux tranchées Pour défendre leurs biens, car nous n’avons rien. Nous autres les pauvres purotins4 Et les camarades sont enterrés là Pour défendre

la lettre. - Le ton. - L’harmonie imitative. - Des stances. - La comparaison. 10 1h - C d’Aragon. Analyser le poème. - La répétition, procédé d’insistance. - L’apostrophe. - la personnification et l’allégorie. - Le lai. 11 2h - La Rose et le Réséda d’Aragon. Analyser le poème, sa musicalité et ses symboles. - La périphrase. - La métaphore filée. - Le symbole. 12 2h - Blessé retournant à l’arrière, dessin d’Otto Dix. - Barbara de Prévert. - Texte d’Hubert Reeves, extrait

déjà presque à la terre, Un soulier laissé là par quelque mendiant. C'était un vieux soulier, sale, ignoble, effrayant, Éculé du talon, bâillant de la semelle, Laid comme la misère et sinistre comme elle, Qui jadis fut sans doute usé par un soldat, Puis, chez le savetier, bien qu'en piteux état, Fut à quelque rôdeur vendu dans une échoppe; Un de ces vieux souliers qui font le tour d'Europe Et qu'un jour, tout meurtri, sanglant, estropié, Le pied ne quitte pas, mais qui quittent le pied

de mieux saisir l'horreur et barbarie dans laquelle ces hommes demeuraient ce qui a engendré un grand traumatisme, de plus la plupart de ceux qui sont revenus au pays durent faire face à une société n'acceuillant plus les soldats en hérosce qui mène à une érrance des ces soldats dans l'épouvante suite à cette barbarie ce qui est éxploité dans de nombreux films "récents" comme par exemple "Gran Torino" de Clint Eastwood. Ce film est un film qui a su marquer l'histoire pas que du cinéma : en 1978 et

« han » terribles » Les champs lexicaux entrecroisés de l épouvante et de l'orage mettent en valeur le caractère exceptionnel de ce que vivent les soldats. Jamais une telle terreur n'a été ressentie par les hommes. L'horreur vient du ciel, telle une vengeance divine (les 7 plaies d’Égypte, le déluge, la destruction de Sodome et Gomorrhe). => Les soldats, imprégnés pour la plupart de religion, se demandent si Dieu ne les a pas abandonné pour les livrer à une telle barbarie. D'autres se demandent quels

 C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement :