Le Spectre Fiancé

ingambe dans cette scène de sueur et usaige. C’est un personnage fantastique, un squelette armé d’un fouet, qui court dans le sillon à côté des chevaux effrayés et les frappe, servant ainsi de valet de charrue au vieux laboureur. C’est la mort, ce spectre qu’Holbein a introduit allégoriquement dans la succession de sujets philosophiques et religieux, à la fois lugubres et bouffons, intitulée les Simulacres de la mort. Dans cette collection, ou plutôt dans cette vaste composition où la mort, jouant

reptiles : contraction de la bouche qui donne l’aspect d’un rire forcé S sagacité (p.159) (n.f.) sédatif (p.41) (n.m.) simagrée (p.134) (n.f.) siphon (p.148) (n.m.) sobriquet (p.47) (n.m.) sollicitude (p.72) (n.f.) soupeser (p.107) (verbe) spectre (p.26) (n.m.) suspicion (p.203) (n.f.) : perspicacité : somnifère : petite comédie destinée à tromper : bouteille contenant sous pression de l’eau gazéifié et munie d’un bouchon à levier : surnom moqueur : attitude de soins attentifs :

digne. II)Acte V, scène 4-6 Introduction: Un dénouement qu'on peut qualifié de tragique, comique mais aussi dramatique. Dom Juan s'est moque du ciel qui l'a pénalisé. C'est in dénouement vouait sur le surnaturel avec le statut du commandeur, le spectre et l'ouverture de la terre. Pb : Pourquoi peut-on dire que c'est un dénouement ambigu? Plan: I) Deux personnages opposés: Dom Juan et Sganarelle II) Un dénouement baroque(étrange, extraordinaire ,tragique-comique) III) La symbolique de la descente

au bras fort, La mère qui semblait montrer son enfant mort, Cheveux blancs, tête blonde, au milieu des squelettes, La belle jeune fille aux lèvres violettes, Côte à côte rangés dans l'ombre au pied des ifs, Livides, stupéfaits, immobiles, pensifs, Spectres du même crime et des mêmes désastres, De leur oeil fixe et vide ils regardaient les astres. Dès l'aube, on s'en venait chercher dans ce gazon L'absent qui n'était pas rentré dans la maison ; Le peuple contemplait ces têtes effarées ; La nuit, qui

dans cette scène 10 de sueur et usaige. C’est un personnage fantastique, un squelette armé d’un fouet, qui court dans le sillon à côté des chevaux effrayés et les frappe, servant ainsi de valet de charrue au vieux laboureur. C’est la mort, ce spectre qu’Holbein a introduit allégoriquement dans la succession de sujets philosophiques et religieux, à la fois lugubres et bouffons, intitulée les Simulachres de la mort. Dans cette collection, ou plutôt dans cette vaste composition où la mort, jouant

cette scène 10 de sueur et usaige. C’est un personnage fantastique, un squelette armé d’un fouet, qui court dans le sillon à côté des chevaux effrayés et les frappe, servant ainsi de valet de charrue au vieux laboureur. C’est la mort, ce spectre qu’Holbein a introduit allégoriquement dans la succession de sujets philosophiques et religieux, à la fois lugubres et bouffons, intitulée les Simulachres de la mort. Dans cette collection, ou plutôt dans cette vaste composition où la mort,

d’abord qu’elle a contribué au méfait et demande à mourir aux côtés de sa sœur, ce qu’Antigone récuse. Créon ordonne alors l’emprison- nement temporaire des deux jeunes filles, après les avoir traitées de folles.  Survient Hémon, fils de Créon et fiancé d’Antigone. Si de prime abord il semble prêt à obéir à son père, très vite il tente de le persuader qu’il devrait revenir sur sa décision et épargner Antigone. Rapidement, Hémon accuse Créon de défier les Dieux en refusant les rites sacrés à un mort

aussitôt dans une chambre, et cette terrible apparition me tourmentait durant toute la nuit. - J'étais déjà assez avancé en âge pour savoir que l'anecdote de la vieille servante n'était pas fort exacte, cependant l'Homme au Sable restait pour moi un spectre menaçant. J'étais à peine maître de moi, lorsque je l'entendais monter pour se rendre dans le cabinet de mon père. Quelquefois son absence durait longtemps; puis ses visites devenaient plus fréquentes, cela dura deux années. Je ne pouvais m'habituer

ne parle qu’à travers lui. Une lecture de cette pièce sous l’angle du métathéâtre verrait en lamine une sorte de maître de cérémonie du jeu, faisant du théâtre dans le théâtre, en utilisant sa voix et son corps comme objets de médiatisation de spectres ou de personnages en latence qui vont tour à tour s’exprimer à travers lui. or, le théâtre dans le théâtre, nous le rappelle georges Forestier, est « l’expression d’une mentalité qui se complaît dans le même, le double : ressemblances et fausses

comme Monsieur Jourdain court après les honneurs ou comme Harpagon court après l’argent n’a pas l’air de comprendre tout à fait ce qui lui arrive. En fait, il est toujours à côté de la plaque. Quand à la fin de la pièce, il se retrouve devant un spectre venu l'exhorter à changer de vie, il ne pige que dalle : « Qui ose tenir ces paroles ? Je crois connaître cette voix », vocifère-t-il sans réaliser que sa dernière heure est arrivée - la réplique la plus drôle de la pièce quand on y pense : Dieu lui